Adeline affaire conclue; Affaire de France 2 a conclu avec Adeline Jaquet en tant que nouvelle actrice. Elle s’est engagée à tout dire à Télé Star à son arrivée. Entrevue.
Adeline Jaquet : Un acteur de la performance a trouvé son chemin vers mon flux Instagram. J’avais un marché aux puces en Suisse, qu’elle a découvert. Elle a reconnu mon accent québécois lorsque je lui ai laissé un message sur sa boîte vocale. Nous avons progressé jusqu’à une séance d’entraînement et une entrevue une étape à la fois. Au fil des événements, on m’a offert l’opportunité de tourner le premier jour de production.
Avant de rejoindre le casting, aviez-vous une connaissance préalable de la série ? Dans ma position de Québécois vivant en Suisse, je n’avais aucune idée de ce qu’était le programme. J’ai jeté un coup d’œil et je suis immédiatement tombé amoureux de l’idée. Je l’ai justifié en me disant que je partais à l’aventure. J’ai senti que les acteurs et le personnel de la pièce étaient authentiques et faciles à vivre. Cela n’allait qu’empirer à partir d’ici.
Dans quelle mesure vous êtes-vous intégré avec le reste des clients, Malgré les difficultés, tout s’est déroulé sans accroc. Le tournage est revenu à la normale, et tout le monde semblait sincère à ce sujet. La qualité du travail est excellente. J’ai été bien reçu par les acheteurs et le reste du personnel. Pour quelqu’un qui n’avait jamais travaillé à la télévision auparavant, ce fut une expérience révélatrice.
En tant que photographe qui travaille avec seulement quatre clients à la fois, il est difficile de choisir un favori. Les relations et les échanges sont tous deux présents. Anne-Catherine Verwaerde et moi avons fait connaissance puisque je travaille comme brocanteur en ligne avec une clientèle plus jeune. Stéphane Vanhandenhoven, Djamel Bentenah et Julien Cohen étaient les autres avec qui j’étais. Tout le monde était sympathique avec moi et m’a pris sous son aile.
L’une des premières choses que vous avez remarquées a-t-elle touché une corde sensible chez vous ? Oui. Il est clair que les greniers français regorgent de trésors. La petite boîte à bijoux abrite des lustres XXL… Les acheteurs apprécient la variété. Sans domaine d’expertise spécifique, je peux travailler sur n’importe quel sujet. Ils sont bien protégés même à bas prix !
Qui es-tu? Mes racines sont au Québec, où tu as grandi. J’ai d’abord étudié les relations internationales. J’ai ensuite étudié la communication et le marketing. Ma décision de dévier du cours a été motivée par les aspects numériques et commerciaux.
Les antiquités sont devenues une passion pour moi bien plus tard dans ma vie, peut-être même après mon déménagement en Suisse. Taton était le premier endroit où je suis allé parce que j’avais un peu d’espace libre. Dès que j’ai appris que la Suisse avait un marché en hausse, j’ai saisi l’opportunité.
Vous êtes d’abord allé sur le web. J’ai pris cette décision parce que je voulais faire appel à une population plus jeune. Parce que je suis capable d’apporter une aide individualisée, c’était aussi une question de confort.
Si oui, qu’espérez-vous, les marchés aux puces sont promus dans le cadre du plan. C’est aussi l’occasion de montrer le travail d’artistes locaux, grâce à La vie des objets.
Ce sera à discuter avec les grands patrons si l’expérience est décisive et que les téléspectateurs sont là, mais j’aurai sûrement envie de revenir !