Pauline déroulède accident; Pauline Déroulède, espoir en para-tennis, dit : « J’ai laissé un peu de moi-même dans cette calamité.
Dans une entrevue avec Flavie Flament, Pauline Déroulède raconte comment elle s’est remise d’un accident de voiture qui l’a laissée avec une jambe brisée et comment elle espère remporter une médaille d’or olympique.
Elle a récemment appris que le conducteur qui l’a blessée dans le 15e arrondissement de Paris l’an dernier sera décédé début novembre 2021. De ce fait, il n’y aura pas de procès. Il est indigné par la révélation qu’il a été impliqué dans un accident et qu’il a perdu un membre.
Le bonheur, comme le malheur, n’est jamais vraiment complet. Il y a plus de deux ans, la jambe gauche de Pauline a été amputée en raison des circonstances horribles de son drame. Quand il s’agit de tennis en fauteuil roulant en France, elle devient une vraie perspective. Alors qu’elle réfléchit à son avenir, elle réfléchit à sa carrière. Nous sommes nés pour travailler ensemble.
Pauline déroulède accident
Au cours du mois d’octobre 2018, Pauline a attendu sur son scooter stationnaire à Paris que son amie achète un bouquet de fleurs dans une boutique du 15e arrondissement. C’est alors qu’elle subit le choc de sa vie : elle est percutée par une voiture au carénage et projetée à plusieurs mètres dans les airs. Pendant cette période, le conducteur de 90 ans n’a pas pu garder le contrôle du véhicule. À 28 ans, Pauline a dû se faire amputer la jambe gauche sous le genou.
Plus de rage a été générée par cet accident que tout autre. Du fait que je n’étais pas dans la circulation, mon accident n’était pas différent des autres. ” J’étais dans un endroit qui aurait dû me faire sentir en sécurité. Je me promenais dans une rue de la ville au moment de cette rencontre. Dans un en une fraction de seconde, nous arrivons au camp des morts, Pauline Déroulède dit qu’elle s’est trouvée au mauvais endroit au mauvais moment ce jour-là.
Se plaindre de quelque chose.
Ce n’est malheureusement pas le genre de maison que je recherche. Quelques heures après l’accident, elle a annoncé aux personnes présentes dans la salle de réveil qu’elle prévoyait de participer aux Jeux paralympiques de Paris 2024. Après l’accident, tout m’est passé par la tête et je me suis convaincu que la meilleure façon de guérir serait de participer aux Jeux depuis chez moi en tant que spectateur.
Ce drame n’est pas terminé, mais je m’efforce de le transformer en quelque chose de positif… Outil d’auto-guérison et de motivation pour sortir du lit le matin, le sport devient sa première source d’énergie. Pour le Comité Paralympique et Sportif Français, elle a participé à La Relève, un programme de détection (CPSF).
Selon Pauline, elle s’entraîne deux heures par jour et joue au tennis de deux à quatre heures par jour du lundi au vendredi. Peu importe si vous n’avez jamais occupé de postes de haut niveau auparavant, car la jeune femme joue au tennis depuis l’âge de sept ans et est titulaire d’un certificat qui lui permet d’enseigner aux enfants. C’est une évidence après avoir réfléchi au paratriathlon pendant si longtemps que le tennis en fauteuil roulant est une prochaine étape logique.
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Selon le récit de la femme, elle a eu une sorte de discussion sur ses projets d’avenir avec le chauffeur. “Je voulais lui parler parce que j’avais peur qu’il meure avant le procès.” Elle affirme que ses médecins, ses proches et son avocat l’avaient tous préparée pour ce moment. Comme il me l’a expliqué, le fait qu’il ait lâché le volant à plusieurs reprises signifiait qu’il était bien conscient qu’il ne pouvait plus conduire.
Une nouvelle cause a émergé pour Pauline Déroulède depuis : la création des rendez-vous médicaux obligatoires à vie. Ces tests serviraient à valider les capacités de conduite des personnes passant les examens. “Tout se passe comme prévu”, a-t-elle insisté. Pour aider à former des médecins de soins primaires à effectuer des examens de santé des conducteurs, je travaille avec l’organisation à but non lucratif Road Safety International. Des efforts supplémentaires sont déployés pour éduquer le public.
Le 27 février, je suis remonté dans le temps.
Elle dit: “J’ai fait mon premier pas.” Mais j’ai eu le soutien de ma famille, de mes amis et de ma compagne Typhaine pour m’aider à traverser cette période difficile. Je ne suis pas encore complètement guéri, mais les retours positifs que j’ai reçus m’ont redonné espoir. À la fin du mois de mai, elle a finalement été autorisée à rentrer chez elle. Tout est revenu à la normale, malgré la perte d’un membre et l’ajout d’une prothèse supplémentaire.
Sa décision n’a été une surprise ni pour lui ni pour sa famille. Ils en étaient contents. “Le sport a toujours été une partie importante de ma vie. Ils savaient exactement ce que je faisais. Les Jeux olympiques sont un objectif énorme pour moi, un objectif que j’ai depuis que je suis enfant. J’avais besoin d’atteindre cet objectif apparemment impossible. si je voulais vivre. Elle dit que sa famille a été très favorable à sa décision.
Pendant des années, Pauline était indécise quant au sport dans lequel concourir aux Jeux olympiques de Paris 2024. À l’âge de 15 ans, elle est devenue monitrice de tennis, mais elle n’avait pas l’intention de se lancer dans le tennis en fauteuil roulant. “Parce que j’avais l’idée fausse que le tennis handisport ne pouvait se jouer qu’en fauteuil roulant, j’ai dû faire face à un gros obstacle psychologique.” Selon Pauline, classée 2/6, “je n’avais aucune idée que je pouvoir faire ce que je veuxfaire en fauteuil roulant.”
Une nouvelle vision de la vie se forme lorsque la vie d’une personne subit un changement radical. C’était la plus grande crainte de Typhaine que Pauline le rejette. Pauline, en revanche, a eu une toute autre expérience. Après l’avoir trouvée au sol, elle se souvient des premiers mots que son partenaire a dû lui dire à son réveil. Sa promesse à Pauline, “Je t’aimerai pour le reste de ma vie”, a-t-il dit, et Pauline l’a prise à cœur. Son flanc sera fermement occupé par Typhaine en tout temps.
Pauline avait bon espoir que les médecins seraient capables de « recoller » sa jambe une fois arrivée à l’hôpital. Un médecin lui a tout de suite dit que cela ne marcherait pas. Après sa guérison, sa vie était sur le point de prendre une tournure radicale pour le mieux.
Un an après le drame, la jeune femme est toujours hantée par les souvenirs de son malheur et la douleur qu’il a causé à sa famille. La personne qui prétend être déchirée entre le désespoir et la rage dit : « Je ne suis en aucun cas réparé. Elle dit: “Je ne suis pas sûre de le faire.”
À l’approche de la date de son procès,
Pauline Déroulède rencontre les autorités gouvernementales afin de leur faire part de son message sur la difficulté d’obtenir une carte de personne handicapée. Mais cela ne la décourage pas; elle s’attend à ce que la guerre dure un certain temps. Mes accidents et ceux des autres pourront être déclarés bénéfiques si ces démarches sont réalisées.
À la suite du décès de Pauline Déroulède, elle a été hospitalisée pendant plusieurs mois, où elle a subi une intervention chirurgicale puis s’est rétablie. Le jeune athlète a pu se tenir debout pour la première fois le 27 février, quatre mois seulement après son accident. Pour la première fois depuis longtemps, je sortis de mon sommeil. En tout cas, j’ai eu la chance d’avoir le soutien de mes proches, ainsi que ma compagne Typhaine et sa famille.
Le chemin est encore long, mais les témoignages que j’ai reçus des autres m’ont conforté dans ma confiance », raconte-t-elle. Une prothèse à 120 000 euros lui a été rendue possible car elle est sportive et l’accident a été Elle a finalement pu quitter l’hôpital à la fin du mois de mai et les vacances d’été ont officiellement commencé le jour de la rentrée.