Nejeh Ben Farhat Accident; Nejeh Ben Farhat a été tué dans un accident de voiture. Nejeh Ben Farhat, un militant bien connu et reconnu du Mouvement des gilets jaunes français lié au Marxisme-Léninisme-Maosme, est décédé brutalement le mardi 15 novembre 2022, laissant sa famille, ses proches et ses amis le cœur brisé et bouleversé.
Nejeh serait décédé des suites de blessures potentiellement mortelles subies dans un accident de voiture début janvier. Il était originaire d’Yvetot, en France, et vivait à Paris depuis de nombreuses années.
Sa mort a été annoncée le lundi 14 mars 2022 et depuis lors, sa famille proche, ses amis et ses proches ont partagé un torrent de condoléances, de commentaires et de souvenirs d’elle sur divers sites de médias sociaux.
Joachim Loysel, un utilisateur de Facebook, a fait part de la tragique nouvelle en écrivant : “Notre camarade gilet jaune Nejeh Ben Farhat est parti subitement…” C’était un excellent coéquipier… Il était toujours prêt à aider les autres dans leur quête d’un plus société solidaire, démocratique, égalitaire et écologique.”
Ils ont chanté “Liberté, liberté” devant les nombreux CRS stationnés devant le Palais-Royal, qui abrite le Conseil d’Etat et le Conseil constitutionnel. Des messages tels que “passe de honte”, “boycott complet” et “refuse d’être un cobaye” ont été affichés sur des affiches.
Après le départ de plusieurs manifestants vers 20h30, il ne restait plus qu’environ 200 personnes sur la place du Palais-Royal, ainsi qu’une dizaine de véhicules CRS.
“Il n’est pas naturel que neuf personnes (du Conseil constitutionnel) fassent des choix concernant notre liberté”, a déclaré Nejeh Ben Farhat, 42 ans, un militant “gilet jaune” qui se disait l’un des organisateurs du rassemblement. “Ceux en CDD ou en intérim (non vaccinés et sans laissez-passer, ndlr) ne seront pas licenciés, mais ils seront suspendus sans solde”, a expliqué ce technicien télécom, “pour qui il y aura deux populations” : “un privilégiés” et “nous qui perdrons notre capacité à aller au cinéma, au café ou à chercher un emploi”.
Je ne suis pas anti-vaccination ;
j’ai tous mes vaccins ; mes enfants ont tous leurs vaccins ; ce sont des vaccins sûrs qui ont prouvé leur efficacité ; ils sont sur le marché depuis des années ; par contre, ce vaccin qui nous a été délivré, (…) nous n’avons que six mois de recul, donc je ne suis pas en mesure de prendre une décision”, a déclaré à l’AFP-TV une femme au foyer, Frédérique Baron.
Vendredi, le Journal officiel a publié un projet de loi qui étend l’utilisation du laissez-passer sanitaire à d’autres lieux publics et oblige les gardiens à être vaccinés. À partir de lundi, un certificat de vaccination, un test PCR négatif pour le Covid-19 ou une preuve de guérison de la maladie seront requis pour entrer dans les cafés et restaurants, les salles de spectacle ou les salons professionnels, ou même pour voyager sur un long vol, train ou autobus.
La manifestation à Saint-Brieuc est scindée en deux volets : l’un organisé par le mouvement M. Philippot et d’autres formations d’extrême droite, et l’autre par des organisations et partis de gauche (Attac, Confédération paysanne, EELV, LFI) et locaux” gilets jaunes.”
Des manifestants manifesteront également contre la réforme de l’assurance-chômage et des retraites à Toulouse, où les installations de l’Ordre des Infirmiers ont été vandalisées jeudi et vendredi soir, notamment via l’usage de badges anti-sanitaires.
Le samedi 7 août, des manifestations contre la prolongation du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour les soignants sont prévues dans plus de 150 localités pour le quatrième week-end consécutif. A ce jour, plus de 44 millions de Français (65,9% de la population) ont reçu au moins une dose de vaccin contre l’oronavirus.
Nejeh Ben Farhat, 42 ans, une manifestante gilet jaune parisienne, a commenté jeudi soir la décision des Sages du Conseil constitutionnel de soutenir les principes de la loi santé votée par le Parlement le 25 juillet. “Nous avons eu le sentiment qu’une partie importante de la population avait accepté son destin”, a-t-il déclaré.
Ce technicien des télécoms s’identifie comme l’un des organisateurs de la principale manifestation parisienne de samedi, qui débutera à 11 heures près de la station de métro Pont de Neuilly (Hauts-de-Seine) et se conclura par une marche vers le centre-ville en début d’après-midi.
La dépression est un effet secondaire typique d’un accident vasculaire cérébral.
Son étiopathogénie serait différente selon le temps écoulé depuis l’AVC. La dépression serait la conséquence de lésions cérébrales acquises au cours des premiers mois, selon les auteurs anglo-saxons qui ont soutenu et soutenu cette théorie biologique.
Trois autres manifestations sont prévues à Paris, la police s’attendant à ce que 10 000 personnes y assistent. L’une d’elles aura lieu devant l’Ecole militaire à 14h30, à la demande de Florian Philippot, ancien numéro deux du RN et président des Patriotes (VIIe). Nicolas Dupont-Aignan a déclaré qu’il serait là pour soutenir les militants français qui tentent de faire révoquer le permis.
La manifestation à Saint-Brieuc est divisée en deux rassemblements : l’un organisé par le mouvement M. Philippot et d’autres d’extrême droite-w formations, et une autre organisée par des organisations et partis de gauche (Attac, Confédération paysanne, EELV, LFI) ainsi que des gilets jaunes locaux.
Toutes les études, 24 heures après la marche, pointaient le même scénario : une mince foule coincée entre deux cordons de CRS de chaque côté de l’avenue de l’Hôpital, qui aurait franchi les grilles de la Pitié Salpétrière sous les gaz lacrymogènes. Et sans épuiser les ressources hospitalières, comme le montrent les images de Nejeh Ben Farhat d’une unité de soins intensifs.
Vendredi 3 mai à 9 heures, Valérie Pécresse (LR) s’en est prise à “la culture de l’excuse” sur France Info, accusant ce “mouvement de foule” d'”activités humiliantes” au nom du “parti de l’ordre” : “Quelle savons-nous les choses ignobles qu’ils ont pu commettre ?” Parce que la foule animée obscurcit la probabilité de danger. Dans le discours collectif, la populace est séparée du peuple par sa dangerosité et sa charge éruptive et agressive, tout comme les torchons se distinguent des serviettes (certaines sont grossières, d’autres raffinées et légitimes).
Il s’agit d’une recherche transversale,
descriptive et analytique de 40 patients victimes d’AVC âgés de 65 ans et plus au service de neurologie du CHU Habib Bourguiba à Sfax. Les patients ayant des antécédents d’AVC récurrent, d’accident ischémique transitoire, d’antécédents psychiatriques personnels, de vigilance réduite, d’aphasie ou de handicap intellectuel important ont été exclus.
Les données de l’étude ont été recueillies auprès des patients et des dossiers médicaux. Un questionnaire a été créé qui comprenait des informations sociodémographiques, des antécédents médicaux et psychiatriques (personnels et familiaux), des comportements toxicomanies et des informations sur l’AVC (particularités cliniques, prise en charge et retentissement médico-social de l’AVC).
Jeudi 5 août, quelques centaines de manifestants à Paris ont crié « Macron, ton laissez-passer, on n’en veut pas » en réponse à la décision du Conseil constitutionnel de légitimer une prolongation du laissez-passer sanitaire et la vaccination obligatoire pour les soignants.
Ils ont crié “Liberté, liberté!” devant les CRS stationnés devant le Palais-Royal, qui abritent le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel. Les messages sur les affiches incluaient « Passe de la honte », « Boycott complet » et « Refuse d’être un cobaye ».