Chombart De Lauwe Famille; Famille et foyer, Vol. I. L’architecture et les sciences humaines vont de pair. COMBAT de LAUWE, publié en 1959, compte 18 photos en noir et blanc et 218 pages. L’autre moitié. Une expérience dans laquelle des instruments sont utilisés pour collecter et enregistrer des données. En 1960, le Centre national de la recherche scientifique publie 364 pages et 24 annexes.
Paris
Paul-Henry Chombart de Lauwe est né dans une famille catholique entre l’aristocratie et la bourgeoisie du nord de la France. Après la mort de son père au combat en 1920, il est le seul membre d’une grande famille encore en vie (six frères et sœurs).
Parce que son père est mort jeune, il pense que la famille a été poussée aux marges du cercle social dont elle faisait partie. Cela lui a donné envie d’obtenir un diplôme de philosophie et de devenir peintre, comme sa sœur aînée.
Jeune homme, il aimait aller souvent à Montmartre. A la fin de la deuxième année, P.-H. Chombart de Lauwe a dû quitter l’école et vivre deux ans à la campagne pour pouvoir terminer seul son baccalauréat.
Il a pu le faire avec l’aide d’un ami qui était pilote et possédait un petit avion de ligne. Il a dû quitter son pays d’origine, l’Afrique, car sa santé empirait. En 1938 et 1939, il travaille avec Paul Fauconnet pour terminer une thèse sur la jeunesse en Europe.
Parce que la situation était si mauvaise, il a fait des enquêtes en Italie et en Allemagne et a changé d’avis. Après avoir obtenu son baccalauréat, il se rend à la Sorbonne pour étudier les Beaux-Arts et la philosophie.
Il a pu le faire avec l’aide d’un ami
qui était pilote et possédait un petit avion de ligne. Il a dû quitter son pays d’origine, l’Afrique, car sa santé empirait. En 1938 et 1939, il se rend en Italie et en Allemagne pour parler aux gens dans le cadre de sa thèse sur la jeunesse européenne, dirigée par Paul Fauconnet.
Il a abandonné l’Europe parce que la situation y était devenue si mauvaise. Il est allé à la Sorbonne pour étudier les Beaux-Arts et la philosophie après avoir obtenu son diplôme de lycée. Marcel Mauss enseigne à l’Institut d’Ethnologie, où il s’intéresse à l’ethnologie et commence à parcourir la collection du Musée de l’Homme.
Marcel Mauss enseigne à l’Institut d’Ethnologie, où il s’intéresse à l’ethnologie et commence à parcourir la collection du Musée de l’Homme. En 1935, Griaule l’aide à planifier un voyage au Cameroun, qu’il effectue avec un ami pilote et propriétaire d’un petit avion de ligne.
Il a dû quitter son pays d’origine, l’Afrique, car sa santé empirait. Paul Fauconnet a arrêté de travailler sur un projet sur la jeunesse européenne à cause de la mauvaise situation en Europe à l’époque. Le projet, qui comprenait des enquêtes en Italie et en Allemagne en 1938 et 1939, a été suspendu en raison de la mauvaise situation en Europe.
Quand on parle de l’aménagement du territoire en France pendant les Trente Glorieuses et des différentes idées en sciences sociales à l’époque, il faut rappeler l’œuvre de Paul-Henry Chombart de Lauwe1.
Même si les sujets et les méthodes qu’il a étudiés dans les années 1950 étaient importants, peu de chercheurs universitaires en parlent aujourd’hui.
L’interdisciplinarité et la recherche-action des chercheurs,
ainsi que l’utilisation des « habitants participatifs » par les élus, les aménageurs et les architectes, étaient autant de méthodes de recherche nouvelles à l’époque dans le domaine de l’aménagement urbain.
Chombart s’inquiétait de ce que pensaient les citadins et du regard qu’ils portaient sur les ouvriers parisiens. Cela montre que lors de la planification des villes, les objectifs des personnes qui y vivent doivent être pris en compte, et pas seulement leurs «besoins», ce qui est une idée utilitaire et technocratique. D’autre part, contrairement à une image qui est au milieu,
a été la première personne à se soucier de ce que le gouvernement local avait à dire. En prenant Durkheim ou Halbwachs comme point de départ, Chombart de Lauwe entame ses réflexions théoriques sur la ville dans une perspective morphologique, en s’intéressant à la répartition des hommes sur le terrain, à leurs déplacements dans la ville, aux formes des agglomérations et des habitations.
Dans le cadre du groupe d’ethnologie sociale qu’il a créé en 1949, Chombart de Lauwe a effectué des recherches sur Paris et ses environs en 1952. Ses résultats suggèrent que le diagramme radioconcentrique de Burgess pourrait être utilisé de manière judicieuse (voir ci-dessus).
Halbwachs persuade Chombart de Lauwe d’ignorer certaines suggestions bourgeoises afin qu’il puisse utiliser la science pour étayer la manière dont le plan de Chicago est mis en place. Cela inclut de ne pas parler de la croissance démographique, de la succession ou des vagues de personnes par rapport à leur position sociale.
Il a été l’un des premiers à étudier la vie familiale et la cité, et il a fait beaucoup de travaux originaux encore peu connus dans l’histoire des sciences sociales.
Cette relative obscurité peut être due au fait
que les contributions d’un auteur dont les convictions n’ont pas été façonnées par les idéologies dominantes sont difficiles à classer dans une seule catégorie.
Se rendre à Uriage entre 1940 et 1942 était tout aussi important dans ce projet que de rejoindre la Mission de Paris après la guerre. L’idée derrière L’École des cadres de Pierre Dunoyer de Segonzac devait aider les gens à se remettre sur pied par l’éducation.
L’étude des problèmes qui affectent les personnes et les lieux. En novembre 1942, Chombart de Lauwe se rend à Alger pour enquêter sur la façon dont le gouvernement de Vichy a menti pour obtenir ce qu’il voulait. Il a été envoyé dans un escadron de chasse de la Royal Air Force à cause de cela.
Plusieurs champs académiques s’intéressent à ces personnes, dont l’ethnologie, la sociologie, l’anthropologie et la géographie humaine. Lucie Kellermann (L’Harmattan, 1994) a rassemblé tous les livres issus de leur travail. Cela mène à des idées sur des choses comme l’exploration aérienne, la vie de famille et la façon dont les femmes sont perçues dans la société moderne.
La structure institutionnelle de ce projet doit inclure le Musée de l’Humanité, où Chombart de Lauwe a créé le Groupe d’Ethnologie Sociale et lancé le service de photographie aérienne, ainsi que les sociologues de l’école de Chicago et l’amoureux de l’urbanisme de Robert Auzelle.
A cette époque, recherche et action sont indissociables pour P.-H. Chombart de Lauwe, et il cherchait toujours des moyens de réunir les deux. Son travail avec les grévistes au début des années 1950, par exemple, lui a donné envie de se pencher sur la vie ouvrière. Cela a conduit à ses recherches sur les familles de travailleurs, la situation des femmes au travail et leurs maisons.
Durant son passage à l’université, Chombart de Lauwe dirige le CEGS, devenu le Centre de sociologie urbaine (CSU). Un jeune universitaire marxiste du nom de P.-H. Chombart de Lauwe pense que cette séparation de la sociologie urbaine réelle a été en partie causée par une trop grande croissance du pouvoir.