Damien Abad Et Sa Compagne; L’une des deux femmes qui ont accusé le nouveau ministre des Solidarités, Damien Abad, de viol, a déclaré dimanche à l’AFP qu’elle était “soulagée” que sa plainte ait été découverte dans Mediapart, où elle avait tenté de raconter son histoire aux Républicains.
“Je suis ravie qu’il sorte enfin”, a déclaré Margaux, dont le nom de famille ne doit pas être prononcé en public. Après le dépôt de la plainte, j’ai frappé à plusieurs portes dans une tentative injuste d’exhorter quelqu’un à agir.
Damien Abad, un homme de 42 ans nommé vendredi ministre des Solidarités, a été mis en examen samedi par Mediapart pour viol. Il affirme “avec une certitude absolue” que ce n’est pas le cas. Margaux est l’une des deux femmes qui accusent l’ancien président des députés LR de les avoir agressées sexuellement en 2010 et 2011.
Mediapart a également évoqué le sujet. Elle a dit: “Cependant, personne des républicains ne m’a approché.” “Ce qui nous fait le plus mal, c’est qu’il est partout et que personne ne semble le remarquer”, poursuit-elle. “Cela ne fait aucune différence pour moi qu’il soit au gouvernement ou non. Le fait qu’il n’y ait pas de nouvelles victimes me rend triste.”
Lorsqu’elle était vice-présidente des Jeunes démocrates à Paris, en janvier 2011, elle l’aurait trouvé un soir à Paris, et ils auraient eu une relation sexuelle d’abord consentie puis forcée, avec “irrespect, l’injonction et la persévérance” écrites partout dessus.
Deux jours après l’annonce de la nouvelle administration d’Emmanuel Macron, des rumeurs ont commencé à circuler selon lesquelles Damien Abad, un ancien républicain qui a changé de parti et est maintenant le nouveau ministre des Solidarités, aurait agressé des enfants.
Elle a cependant refusé de signer sa plainte.
L’enquête est close et aucune suite ne sera donnée, selon le parquet de Paris, la plaignante n’étant pas présente. Une deuxième plainte sera déposée pour les mêmes allégations.
L’individu était à l’époque membre du Parlement européen (MPE) et dirigeant des Jeunes centristes-Nouveau centre. Par la suite, il y a des SMS de flirt. Selon le procès, l’individu sélectionné devient rapidement “insistant”, disant des choses comme “Allez, j’attends ton coup”. Dans un chat obtenu par SMS, Médiapart s’enquiert, “Votre visage et vos seins ensemble ?”
Elle raconte avec quelle acharnement et ténacité le député européen et président des jeunes du Nouveau Centre de Médiapart a tenté de la faire épouser. Alors qu’il l’aurait poussée à consommer plus d’alcool qu’elle n’en avait besoin, ce qui aurait conduit à un rapport sexuel auquel elle aurait consenti et par la suite à une pénétration anale qu’elle ne souhaitait pas.
Il n’y a aucune réalité à ces allégations d’agression sexuelle. J’affirme que je n’ai jamais contraint une dame à faire quoi que ce soit. Je nie avoir jamais abusé de mon autorité dans l’un de mes postes précédents.
Mes interactions sexuelles ont toujours été mutuellement satisfaisantes tout au long de ma vie. “Ces accusations sont basées sur des actes ou des commentaires que je ne peux pas faire en raison de mon état”, explique-t-il.
En réaction aux accusations portées contre son ministère, la Première ministre Elisabeth Borne a déclaré : “Évidemment, je n’ai pas été informée”. “Personne ne devrait pouvoir s’en tirer avec un harcèlement ou une agression sexuelle de ce genre. Nous devons continuer à aider les femmes qui ont pu être victimes.
Puis, il a été député européen de 2009 à 2012.
Il a été membre du conseil régional de Rhône-Alpes de 2010 à 2015. De 2015 à 2017, il a présidé le conseil départemental de l’Ain. Damien Abad a servi dans la cinquième circonscription de l’Ain pendant deux mandats. En 2012, il a été initialement élu, et en 2017, il a été réélu. Il a été le chef des Républicains à l’Assemblée nationale en 2019.
Damien Abad n’est pas d’accord avec les accusations portées contre lui et son incompétence est sa principale défense. Ses accusations ont été rendues publiques au lendemain de la nomination de Damien Abad au poste de ministre des Solidarités, de l’Autonomie et des Personnes handicapées.
Le 22 mai, la Première ministre Elisabeth Borne a déclaré qu’elle n’était pas au courant des allégations et s’est engagée à être ferme : “Je serai très claire : le harcèlement et les agressions sexuelles ne peuvent pas continuer à rester impunis”. Je peux vous assurer que si de nouvelles pièces sont libérées ou que la justice est à nouveau volée, nous serons obligés de faire face à toutes les répercussions.”
Margaux et Chloé (alias) pensent que Damien Abad exploite son infirmité pour exercer une pression psychologique sur elle. Selon les éléments recueillis par Médiapart, les deux hommes affirment avoir repoussé Damien Abad mais ne l’ont pas fait “violemment” car ils ne voulaient pas le “bler”. “Je ne l’ai jamais sauvé,
Seul Damien Abad se défend contre les allégations. Le ministre ne pouvait compter sur aucun autre membre du Cabinet pour le protéger. Au lieu de cela, ils sont tous partis, pensant que leur collègue ne ferait pas bien dans cette circonstance.
Encore une fois, la nouvelle plainte de Margaux a été placée dans la file d’attente “pas de costume” parce que “l’infraction présumée n’était pas assez grave”. Le deuxième accusateur n’a pas déposé de plainte officielle, mais le 13 mai, elle a fait connaître sa présence en déposant un signalement contre Damien Abad auprès de l’Observatoire des abus sexistes et sexuels en politique.
Un exécutif majoritaire a informé RTL, et un ministre est d’accord, que Damien Abad ne restera pas au gouvernement puisqu’il est au centre d’un procès qui ne peut aboutir qu’à sa destitution.
Alexis Kohler et Thierry Solère l’ont rencontré à l’Elysée en privé entre le premier et le second tour de l’élection. Une nomination clandestine qui n’est pas restée longtemps cachée a alimenté les rumeurs selon lesquelles il aurait abandonné le parti républicain. Sous la pression de son parti, il a finalement mis sa démission par écrit.
Damien Abad a été aperçu sur les marches de l’Elysée avant d’entrer au Conseil des ministres. Le ministre accusé d’agressions sexuelles n’a pas répondu aux journalistes et a poursuivi sa route sans sourire. Les révélations de Médiapart ce week-end semblent l’avoir humilié. Si c’est la première fois qu’un membre de la nouvelle administration est lié à quoi que ce soit, la situation est sans précédent.
Il se défend en déclarant: “Les rumeurs selon lesquelles j’aurais peut-être drogué, déplacé, déshabillé et agressé une femme inconsciente sont répugnantes et difficiles à comprendre.”
Élisabeth Borne a dit : “Bien sûr, je n’étais pas au courant.” Je vais être clair : les agressions et harcèlements sexuels doivent rester impunis, et nous devons continuer à faire en sorte que les femmes qui ont pu être victimes de violences ou de harcèlement puissent s’exprimer librement et porter plainte.
Le législateur fait valoir que La République en marche n’a pas pris assez « au sérieux » les faits reprochés à Damien Abad. Le ministre accusé d’agressions sexuelles n’a pas répondu aux journalistes et a poursuivi sa route sans sourire. Les révélations de Médiapart ce week-end semblent l’avoir humilié.
Si c’est la première fois qu’un nouveau membre du cabinet est accusé d’actes répréhensibles si peu de temps après sa nomination, cela ne devrait pas être évoqué lors de la réunion ministérielle.