Pourquoi Les Joueurs De Tennis Prennent 3 Balles; De nombreux joueurs de tennis reconnaissent que les racines de cette pratique sont enracinées à la fois dans la science et la superstition, mais que cela n’a probablement pas d’importance.
Selon les recherches, les balles avec plus de poils roulent plus lentement et rebondissent plus haut. Couvrir le sol et élever le ballon sont des éléments essentiels de la stratégie de jeu de ce joueur, c’est pourquoi il choisit ce ballon (Rafael Nadal, par exemple).
La balle de tennis s’appelle un “esteuf” et est formée de fibres et recouverte de cuir (à l’origine du tennis). Louis XI promulgua une ordonnance sur leur création le 24 juin 1480, pour éviter les accidents causés par des bourres défectueuses qui transformaient l’esteuf en un projectile mortel “Sans adjonction de sable, craie, chaux, cendre, mousse, ni poudre, beaux esteufs de bon cuir et la farce sont produites.
Avant de choisir d’abandonner, le joueur lance les balles et examine leurs surfaces poilues. Au lieu de celui-ci, utilisons celui-ci. Le ramasseur de balles lui fournit ensuite la balle dont il a besoin pour qu’il puisse faire de son mieux pour la balle.
Selon le troisième joueur mondial, Novak Djokovic, il s’agit d’un rituel d’avant-match courant. Je trouve que mon service est plus efficace lorsque j’utilise une balle de tennis neuve ou très fraîche.
Il y a six balles en jeu, donc un joueur peut en analyser aussi peu que trois, jusqu’à quatre, jusqu’à cinq ou aussi peu que trois avant de servir. Roger Federer aurait déclaré: “De temps en temps, je prends trois ballons et je choisis les deux meilleurs.”
Les moins utilisés m’offrent un petit avantage de service
En conséquence, nous pouvons nous assurer que chaque balle est de la même qualité. Cependant, l’objectif de quatre ou cinq semble excessif. À mon avis, le numéro trois est suffisant.
Pensez-vous que l’efficacité du service de la n°1 française augmenterait si elle utilisait une balle avec la date de sortie la plus récente ? Je ne peux pas imaginer une déclaration plus inexacte. Djokovic concède : “En réalité, cela ne fait aucune différence.” Dans ce cas, cependant, la composante mentale est l’aspect le plus important.
En conséquence, il est possible que votre sélection de balle devienne illogique. Même dans les moments les plus tendus d’un match, Justine Henin renvoyait le ballon dont elle se servait pour marquer un point à son adversaire. Bien sûr… Pas forcément toujours.
Néanmoins, quand il y a un plus grand sentiment d’urgence, il y a plus d’urgence. Ce collectionneur a été choisi ; s’il échoue, nous tenterons le suivant. Quand il s’agit de retrouver notre sentiment d’estime de soi, nous insistons sur les petits détails.
Lorsque six ballons sont disponibles, il est d’usage pour les sportifs de choisir les plus récents et les moins utilisés, en supposant qu’ils sont en meilleur état. Après des coups violents répétés, le feutre se dilate et les qualités aérodynamiques de la balle se modifient, la faisant se déplacer plus lentement.
Certains joueurs passent leur temps à choisir le ballon, tandis que d’autres se contentent de celui qui leur est donné. Dès lors, Marion Bartoli reconnaît qu’elle accorde peu d’attention à de tels détails dans son travail. “Généralement, je sers en premier et je reçois la première balle dans un match de tennis. Il me demande de lever mes balles plus souvent.
Cependant, depuis que j’ai grandi en jouant avec des balles tellement usées
qu’il ne restait plus de peluches, j’ai pris l’habitude d’utiliser n’importe quelle balle. N’est-il pas vrai que le service de la n°1 française serait plus efficace si elle utilisait toujours la balle la plus récente ? Il n’y a pas plus d’ambiguïté. Djokovic admet : “En réalité, cela ne fait aucune différence.” Cependant, l’élément mental prime dans ce cas.
Cependant, Rafael Nadal n’a pas cette conviction. Richard Gasquet, quant à lui, adore jouer avec la balle “gagnante”. Rafael Nadal, quadruple champion de Roland-Garros, a déclaré : “Je n’utilise jamais le même ballon deux fois de suite.” Rafael Nadal croit aux superstitions en matière de tennis. Observez comment il positionne ses bouteilles d’eau devant sa chaise.
Le major Wingfield a déclaré que le ballon était composé de caoutchouc et gonflé d’air. Il y a vingt ans, Charles Goodyear a inventé le mécanisme qui permet aux balles de rebondir correctement. Au début du XXe siècle, un producteur américain a imaginé d’augmenter leur durée de conservation en les pressurisant et en les scellant hermétiquement. Dans cette situation, les blancs constituent la majorité.
Il a d’abord été testé par des organisateurs d’activités interurbaines américaines, et il sera utilisé à l’avenir comme graphique de communication. Avant l’adoption par Wimbledon de la “petite balle jaune” en 1986, la majorité des courts de tennis à travers le monde utilisaient la “petite balle jaune”.
Pour le reste du match en simple ou en double, il est courant que chaque joueur échange son service. Lorsque le joueur au service réalise un as de service, il doit se placer derrière la ligne de fond. Si le serveur ne livre pas la première balle de service, qui est généralement frappée avec un degré de risque, il est également autorisé à utiliser une deuxième balle de service. En revanche, le receveur peut renvoyer le service depuis n’importe quel endroit sur le terrain.
Après un match, les ballons usagés sont en réalité aussi beaux que les neufs. De plus, ils semblent être plus sales Étant donné que les événements du circuit professionnel utilisent les ballons pendant environ neuf matchs, la modification n’est pas considérable. Après chaque point, sélectionner une balle permet aux joueurs de reprendre leur souffle et de se préparer pour le suivant.
Malgré cela, un nombre important de joueurs cherchent la troisième balle
Les gars demandent trois balles de tennis et placent la deuxième balle de service dans leurs poches. De plus, la perception qu’a le joueur de l’importance du ballon est une considération.
Les jeunes joueurs sont soumis à moins de restrictions. En France, la manche est considérée comme gagnée lorsqu’un joueur a cinq jeux contre deux pour son adversaire et un avantage de deux jeux. Si les scores restent à égalité après quatre tours, un “jeu décisif” sera joué. Une alternative consiste à jouer quatre matchs consécutifs, le dernier match de chaque tour servant de match décisif.
Lorsque les deux joueurs ont trois points (40/40), il y a égalité. Dès qu’un joueur marque un point, il obtient un “avantage” sur ses adversaires. Un joueur qui détient actuellement l’avantage doit marquer un point de plus pour gagner la partie.
Pour que le jeu soit égalisé une deuxième fois, le joueur en tête doit marquer le point suivant. Depuis plus d’une décennie, la réglementation des prestations est en vigueur.
Au tennis, il existe différents types de fautes uniques. Le mot « out » (ou « faute » en anglais) est utilisé pour désigner lorsqu’une balle tombe au-delà des limites du terrain de jeu (les lignes étant situées à l’intérieur du terrain). L’équipe adverse obtient le point.
L’adversaire reçoit un point si le ballon atterrit de son côté du but, même si aucune faute n’a été commise. Selon l’arbitre, il ne devrait y avoir aucune “faute” pour un ballon atterrissant dans le filet.