Affaire besson le point; Mardi, les deux présumés victimes de viol de Luc Besson, Sand Van Roy, et l’écrivain de Paris Le Point, Aziz Zemouri, ont été reconnus coupables de diffamation pour un article d’octobre 2018.
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Etienne Grenelle, le directeur de la publication du Point, et M. Zemouri ont écopé respectivement d’amendes de 3 000 euros et 2 000 euros pour leur participation à l’enquête. En outre, ils doivent verser à Sand Van Roy un total de 3 000 € de dommages et intérêts, plus 2 000 € de frais de justice. Retirez la route dangereuse de la zone.
Interrogé sur la possibilité pour l’actrice belgo-néerlandaise de déposer “une autre accusation pour viol datant de plusieurs mois contre un inconnu”, M. Zemouri a précisé dans un article publié sur lepoint.fr que l’actrice aurait déposé “une autre accusation pour un viol remontant à plusieurs mois contre un inconnu.”
Luc Besson s’est “rappelé” qu’elle en avait discuté avec lui devant les enquêteurs, selon ce récit. À son avis, c’est incorrect car il insiste pour nettoyer son nom. Selon The Point, leurs affirmations sont “de la pure fiction”. Selon l’avocat de Sand Van Roy, Me Antoine Gitton, les enquêteurs et le parquet de Bruges ont tous deux indiqué qu'”aucune plainte en Belgique contre un inconnu” n’avait été déposée.
Dans la ligne qui lui est spécifiquement adressée, il “sous-entend” que Sand Van Roy “porte des accusations sans fondement de viol”, ce qui constitue une diffamation. L’honnêteté d’Aziz Zemouri et de Point a été mise en doute. Ils ont déposé une “photo extraite d’une demi-feuille” comme “un extrait de l’audition de Luc Besson” devant la police.
Selon le juge, cette capture d’écran n’a aucune valeur probante et n’apporte aucune preuve qu’elle n’a pas été modifiée.Alors que Grenelle et Zemouri ont été innocentés des accusations de diffamation dans l’affaire suivante de Mme Van Roy, ils ne l’ont pas été.
Les directeurs de publication du “Point”,
Etienne Grenelle et Aziz Zemouri, ont écopé respectivement d’une amende totale de 5 000 euros et 3 000 euros. Sand Van Roy doit également être indemnisé d’un montant total de 3 000 euros pour dommages et frais de justice. Retirez la route dangereuse de la zone.
Ils se réfèrent à ces affirmations “Point” comme “pure fabrication”. Me Antoine Gitton, l’avocat de Sand Van Roy, a été informé par les enquêteurs et le parquet de Bruges qu’il n’y a jamais eu de plainte en Belgique contre un inconnu.
A l’occasion, le journaliste a tenté de “faire avancer (sa) défense” et de “prendre fait et cause” pour Luc Besson, a entendu le tribunal. Dans la ligne qui lui est spécifiquement adressée, il “sous-entend” que Sand Van Roy “porte des accusations sans fondement de viol”, ce qui constitue une diffamation.
Point et Aziz Zemouri n’ont pas été récompensés pour leur honnêteté. Au cours de l’audience, les policiers se sont vu présenter un extrait de l’audition de Luc Besson, qu’ils ont qualifié d’aveu “image composée d’une moitié de feuille”. En raison de sa comparution, le tribunal a déterminé que cette capture d’écran “n’avait aucune valeur probante” et “fournit aucune preuve qu’il n’ait pas fait l’objet d’une modification.”
Malgré cela, Sand Van Roy a pu blanchir Etienne Gernelle et Zemouri dans une action en diffamation distincte. Cette fois, l’accent est mis sur un reportage de décembre 2018 concernant sa confrontation avec un réalisateur. Même si les propos étaient “clairement destinés à rabaisser Sand Van Roy”, le tribunal ne les a pas jugés diffamatoires.
Selon M. Zemouri, une actrice belgo-néerlandaise aurait déposé “une autre accusation de viol datant de plusieurs mois contre un inconnu” en Belgique. Luc Besson s’est “rappelé” qu’elle en avait discuté avec lui devant les enquêteurs, selon ce récit. Selon lui, ces allégations de viol sont sans fondement.
Selon The Point, leurs affirmations sont “de la pure fiction”.
Me Antoine Gitton, l’un des avocats de Sand Van Roy, a commenté : « Il n’y a jamais eu de plainte en Belgique contre un inconnu. Cela a été confirmé par les enquêteurs et le parquet de Bruges.
Comme méthode pour “renforcer la défense (de Luc Besson)”, le juge conclut que le journaliste “semble parfois prendre fait et cause pour Besson”. Dans la ligne qui lui est spécifiquement adressée, il “sous-entend” que Sand Van Roy “porte des accusations sans fondement de viol”, ce qui constitue une diffamation.
L’honnêteté d’Aziz Zemouri et de Point a été mise en doute. Au cours de l’audience, les policiers se sont vu présenter un extrait de l’audition de Luc Besson, qu’ils ont qualifié d’aveu “image composée d’une moitié de feuille”. En raison de sa comparution, le tribunal a déterminé que cette capture d’écran “n’avait aucune valeur probante” et “fournit aucune preuve qu’il n’ait pas fait l’objet d’une modification.”
Selon The Point, leurs affirmations sont “de la pure fiction”. Selon l’avocat de Sand Van Roy, Me Antoine Gitton, les enquêteurs et le parquet de Bruges ont tous deux indiqué qu'”aucune plainte en Belgique contre un inconnu” n’avait été déposée.
L’article du Point, selon la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, “discrédite la procédure engagée par (Sand Van Roy) et sous-entend qu’aucune preuve tangible n’étayerait les affirmations de Luc Besson.”
Depuis mai de cette année, des actrices ont accusé des cinéastes de les avoir abusées sexuellement. En mai, il a profité du rejet d’un recours. L’accusé a interjeté appel en réponse à l’accusation. Comme méthode pour “renforcer la défense (de Luc Besson)”, le juge conclut que le journaliste “semble parfois prendre fait et cause pour Besson”.
Luc Besson s’est “rappelé”
Qu’elle en avait discuté avec lui devant les enquêteurs, selon ce récit. À son avis, c’est incorrect car il insiste pour nettoyer son nom. Selon The Point, leurs affirmations sont “de la pure fiction”. Selon l’avocat de Sand Van Roy, Me Antoine Gitton, les enquêteurs et le parquet de Bruges ont tous deux indiqué qu'”aucune plainte en Belgique contre un inconnu” n’avait été déposée.
L’article du Point, selon la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, “discrédite la procédure engagée par Sand Van Roy et laisse entendre qu’aucune preuve concrète ne viendrait étayer les accusations portées contre Luc Besson”.
Comme méthode pour “renforcer la défense (de Luc Besson)”, le juge conclut que le journaliste “semble parfois prendre fait et cause pour Besson”. Dans la ligne qui lui est spécifiquement adressée, il “sous-entend” que Sand Van Roy “porte des accusations sans fondement de viol”, ce qui constitue une diffamation.
Sand Van Roy a rejeté cette vision, déclarant que le juge était “faux”, et a discuté avec son avocat de l’exactitude et de l’exhaustivité des faits juridiques. Jamais auparavant Luc Besson n’avait été confronté à une preuve tangible aussi accablante.
Dans sa déclaration liminaire, l’avocat du plaignant a mis en doute la crédibilité de Luc Besson en citant des preuves qui “contredisent directement” les affirmations de Besson, comme une photographie qui a été remise aux unités médico-judiciaires ce jour-là documentant “les coups et blessures sur le corps de la partie civile » qui appuient les allégations de viol de la partie civile.