Raymond poulidor cause de sa mort; Nous avons été informés par la famille de Raymond Poulidor qu’il est décédé tôt mercredi matin à Saint-Léonard-de-Noblat, Haute-Vienne, à l’âge de 83 ans. Il “est décédé ce matin” à 2 heures du matin, selon son épouse Gisèle : “Il avait un cœur très épuisé.” Sa femme l’a admis au centre hospitalier Saint-Léonard de Noblat début octobre, et il y est depuis, selon les membres de sa famille.
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Nous avons été informés par la famille de Raymond Poulidor qu’il est décédé tôt mercredi matin à Saint-Léonard-de-Noblat, Haute-Vienne, à l’âge de 83 ans.
Depuis le 18 octobre, l’ancien coureur français était hospitalisé pour “forte fatigue”. Gisèle Poulidor a refusé de clarifier l’état de Raymond, déclarant simplement: “Depuis le dernier Tour de France, Raymond est plutôt épuisé.”
Les gens ont donné à Poulidor le surnom de “Poupou” parce qu’ils valorisaient son esprit sportif et son humilité plus que ses réalisations. Il est né aux Gouttes, petit hameau de la Creuse, Masbarraud-Mérignat, le 15 avril 1936, dans une famille modeste.
Raymond Poulidor s’y est rendu avant 2 heures du matin ce matin, selon sa femme Gisèle. Il était complètement et complètement fatigué. Selon son épouse, il a été admis à l’hôpital Saint-Léonard de Noblat début octobre et y demeure depuis. Après l’hospitalisation de Raymond, sa femme a fait remarquer qu’il était “très épuisé” depuis le Tour de France.
Poulidor, parfois appelé “Poupou”, était une figure légendaire du cyclisme et de l’athlétisme français qui résidait à Saint-Léonard-de-Noblat, ville traversée par le Tour de France 2016. Les anciens champions de la Grande Boucle Bernard Hinault et Bernard Thévenet l’ont ensuite rejoint pour fêter ses 80 ans autour d’un gros gâteau.
Didier Deschamps a fait l’éloge de Raymond Poulidor,
un “géant du sport français”, lors d’une conférence de presse tenue la veille du match des Bleus. ” Mon père a marqué les Français et les Français tant qu’ils étaient encore actifs, malgré le fait que j’étais vraiment jeune et immature. Son échec à remporter le Tour de France n’a pas diminué sa popularité. Selon l’entraîneur de football de la France, cela dépassait ses réalisations.
Mercredi, l’Union Cycliste Internationale (UCI) a rendu hommage à Raymond Poulidor avec un hommage publié en anglais et en français. “L’UCI est en deuil suite au décès de la légende du cyclisme Raymond Poulidor. En ce moment, nos pensées et nos prières vont à sa famille.
Raymond Poulidor était deuxième au classement du Tour de France mais premier dans le cœur des Français. C’était un champion avec un excellent bilan, du style et de la générosité. Quant aux valeurs limousines, il y adhère totalement. L’ancien président a exprimé ses sympathies à sa famille proche et à ses amis dans un message Facebook.
Après le décès de Raymond Poulidor, Les Décodeurs du Monde ont souligné que le cycliste était souvent au centre de nombreuses courses. Selon l’équipe de vérification des faits du journal, “Poupou” s’est classé deuxième dans 65 des 477 courses auxquelles il a participé. Ses victoires incluent la Flèche Wallonne, Paris-Nice (1972 et 1973) et Milan-San Remo.
La longue description de l’histoire de France par Raymond Poulidor est un récit bien connu. Comme il le faisait depuis des décennies, Raymond Poulidor est revenu au Village Départ du Tour de France en juillet. Il semble avoir un visage rond avec de petits yeux. Un pilier du passé Malgré son épuisement, il était un membre dévoué et vital de l’équipage de la caravane.
Il était doué pour établir des relations durables. Il prenait des rendez-vous et accompagnait des personnes tout en parlant d’une voix grave. pour fournir des détails supplémentaires Son histoire était si captivante qu’il a décidé de rester sur place et de la partager avec d’autres. L’un des contes les plus connus de France, il a traversé la campagne, détruit des champs et ouvert les portes de la mythologie.
S’ils ne me regardent pas quand je passe ou s’ils arrêtent
de me regarder au restaurant, personne ne me regardera. Je suis une pièce d’échecs dans le jeu de la renommée. J’aime interagir avec les habitants. Lorsque j’étais assuré de la victoire, ma popularité était déterminée par le nombre de points pip que j’accumulais.
Une crevaison ou une chute a radicalement changé la situation. Il était facile de déterminer l’étendue de l’influence d’une personne lorsqu’elle prononçait des propos chargés d’émotion ou qu’elle était manifestement submergée par l’émotion. Il a joué un rôle important dans la construction de ce lien.
Raymond Poulidor a affronté les meilleurs des meilleurs tout au long de sa carrière. Antoine Blondin l’a un jour qualifié de « quadragénaire » car il affrontait dans la quarantaine Louison Bobet et Eddy Merckx. En 1974, il remporte le Pla d’Adet et se classe à nouveau deuxième derrière le Belge.
Le public a continué à le féliciter, à demander sa signature et à partager des histoires à son sujet. Car tout le monde a un souvenir commun de la splendeur de « Poupou », qui s’est transmise à travers les siècles. Avec ses commentaires humoristiques et son sourire constant,
On l’admirait plus que son plus grand adversaire, Jacques Anquetil, qui l’empêcha de donnerng le maillot jaune même pour une seule journée. Il a terminé huit fois parmi les trois premiers du Tour de France, l’épreuve la plus renommée au monde.
En 1974, Raymond Poulidor a peut-être vu l’arc-en-ciel d’un titre mondial au terme d’un long et difficile parcours montréalais. Eddy Merckx a une nouvelle fois empêché le Français de remporter un sprint à deux après une très (trop ? trop ?) longue ligne droite, durant laquelle le Français avait pris les commandes.
Il est prudent de conclure que Raymond Poulidor a passé le reste de sa vie à cheval. Mathieu van der Poel, l’un des coureurs les plus renommés issus du circuit mondial, est directement attribuable à la participation de son grand-père à la caravane publicitaire du Tour de France, dont il a docilement pris le poste d’ambassadeur.
Christian Olivier, journaliste pour RTL,
affirme que Louison Bobet s’est irrité en 1959 lorsque Poulidor, alors inconnu, a trouvé une méthode pour l’offenser. Raymond Poulidor a été acclamé par un grand groupe de proches lors d’une course en Corrèze, près de chez lui dans la Creuse. A la fin de la course, Bobet s’enquiert, “Qui est ce Poulidor ?” il s’est admirablement comporté. Christian Olivier précise : “C’est le début de l’histoire d’un petit Français simple et courageux.”
Poulidor a représenté la France tout au long des années 1960. Nous regardions le Tour de France sur une petite télévision en noir et blanc au camping ou l’écoutions à la radio tout en voyageant vers notre destination dans la R16 de papa. Lorsqu’il triomphe en 1974, cette scène d’anthologie française orpheline du Pla d’Adet avait l’oreille rivée à la radio et allait éclater de joie. Les moins de quarante ans ne peuvent pas comprendre l’époque que nous décrivons.