Henri guybet jeune; Henri Guybet est né le 21 décembre 1936 à Paris, France. Depuis 1964, il a joué dans plus d’une centaine de films. Guybet débute sa carrière dans le café-théâtre avec Coluche et Miou-Miou au Café de la Gare à la fin des années 1960. Dans Les folles aventures du rabbin Jacob, Sophia, la conductrice juive de Louis de Funès, est son premier grand rôle au cinéma. Le côté drôle de Georges Lautner ressort dans Pas de problème.
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Dans le film de 1978 Le Pion, Claude Jade incarne un “pion” nommé Bertrand Barabi, qui tombe amoureux de la mère d’un de ses élèves. Dans tous ses rôles, il était le seul personnage principal, et il était le seul à avoir joué un intérêt amoureux. Il fait plus de “nanars” et assume un deuxième rôle récurrent à la fin des années 1970. C’était un acteur bien connu du Boulevard.
En tant qu’acteur de soutien dans des comédies françaises, il a joué dans des films comme The Seventh Company in the Moonlight (1976), Le Retour du Grand Blond (1974) et A Few Too Quiet Gentlemen.
Depuis 1981, il n’a joué dans aucun film dont les gens se souviennent. En raison de cette décision, il accepte de jouer des personnages “sympathiques” dans les deuxième et troisième films de la trilogie de Robert, comme le soldat Tassin dans les deuxième et troisième films. Il ne voulait pas être flic ou patron du crime, par exemple.
La Septième Compagnie de Lamoureux. Finalement, son personnage s’est lassé des réalisateurs et des producteurs qui ne lui ont pas donné de rôles importants parce qu’ils pensaient qu’il était démodé. Parfois, ils lui donnaient un deuxième ou un troisième rôle dans des films à petit budget qui ne plaisaient pas à un large public.
Dans les années 1990, il n’a pas fait aussi bien que dans les années 1970 et au début des années 1980 où il a travaillé avec de grands réalisateurs comme Georges Lautner et Gérard Oury. Pour être honnête, son caractère n’a pas beaucoup changé au fil des ans. Il joue généralement des Français “réguliers” dans des comédies légères. Henri Guybet était aussi dans quelques publicités.
Henri Guybet,
le rire calme est un documentaire de 52 minutes réalisé sur lui en 2012 par le journaliste et réalisateur Gilles Botineau. Il revient sur toute sa carrière. L’occasion pour l’interprète de raconter son histoire et de penser à ses chers amis 6 PCT.
Il était aussi dans de vieux disques et “témoin” dans le documentaire 2020 de Guillaume Meurice sur le Café de la Gare du Marais à Paris et leur groupe de l’époque (Romain Bouteille, Dewaere, Miou-Miou, Coluche, Depardieu, lui-même).
Guybet a quitté le cinéma pour se concentrer sur le théâtre et jouer dans la sitcom Douce France à la fin de cette décennie. Dans les années 1990, il était également connu pour faire les voix de films d’animation.
Ici, le film qui a précédé le Splendid, où Henri Guybet se focalisera sur Coluche, Gérard Depardieu et Miou-Miou notamment, ajoute à ce qu’il a appris au cours de son parcours. Henri Guybet s’est rapidement fait connaître comme un acteur de soutien amusant dans un certain nombre de comédies bien connues après son apparition dans “Les Aventures de Rabbi Jacob”.
Peu de temps après, il a commencé à apparaître dans de nombreux films français, comme “On verra tout” de Pierre Richard et “La Moutarde monte au Nez”. On le voit aussi dans « On a trouvé la septième compagnie » de Pierre Mondy et « Pas de problème ! » de Jean Lefebvre et Bernard Ménez ! (où il remplace Aldo Maccione). Dans son second rôle qui revenait sans cesse, il a rapidement montré qu’il était un acteur d’attente.
“Je suis un acteur!” crie-t-il. “Et un acteur est comme un instrument de musique; il n’est pas seulement fait pour jouer des polkas.” Même s’il est prêt à jouer dans des films comme “Cop Story” avec Alain Delon, il est peu probable qu’il puisse un jour quitter le monde de la comédie.
Quel que soit le style,
Il devrait être capable de le chanter. Le problème vient du fait que “on ne m’appelle que pour des polkas…” J’ai tourné quelque chose de différent dans “Cop Story”, ce qui m’a fait plaisir de travailler avec Delon. Presque…
Il remontera sur scène et à la télé pour faire plus de ses pièces de théâtre de rue et téléfilms. Il a fait beaucoup de travail vocal, mais notre préféré est quand il joue Rex le dinosaure dans “Toy Story”. C’est une des raisons pour lesquelles on aime regarder le film en VF.
Il sera fier de la carrière d’acteur de son fils Christophe, qu’il pourra suivre. Si votre fils fait ce qu’il doit faire, vous pouvez être sûr qu’il ne vous a pas maltraité quand vous étiez plus jeune. On n’a pas pu s’empêcher de remarquer son talent au cours de sa longue carrière, qu’il décrit de manière claire et modeste.
Je ne suis pas la même personne que Bertolt Brecht. C’est la meilleure chose au monde de voir quelqu’un sourire, et je pense que tout le monde a besoin d’un bon rire. Nous pouvons dire beaucoup de choses différentes avec l’aide du ridicule. Ne nous leurrons pas en pensant que nous serons célèbres.
Henri Guybet a décidé de se concentrer sur son amour du théâtre, même s’il a eu du succès au cinéma. Il n’a pas tardé à donner des voix aux personnages animés. C’est ainsi qu’il donne au dinosaure Rex une voix française dans Toy Story 1 et 2. Il est également dans Chicken Run, Vaillant et 1001 Pattes. Ainsi, il n’est plus affiché sur la scène internationale.
Toy Story 4, qui sortira fin juin 2019, et la pièce A Funny Wedding for All, qu’il a écrit et réalisé. J’ai failli rejoindre le casting par accident lors de la sortie du premier épisode.
Cet été, j’ai fait des essais dans Ouest France,
et ma version a été conservée avec les autres à Los Angeles. C’est amusant de pouvoir faire la différence. J’ai l’impression de rencontrer de nouvelles personnes à chaque fois que je vais au cinéma.
La compagnie théâtrale du Café de la Gare, créée par Romain Bouteille, a une longue histoire de grands spectacles. Une fabrique médiévale d’éventails est en train d’être installée dans le passage Odessa à Paris, près de la gare Montparnasse.
Romain Bouteille, Coluche, Patrick Dewaere, Miou-Miou, Henri Guybet et Martin Lamotte ont travaillé ensemble sur ce projet. Coluche disait que les étrangers vivaient par concubinage et s’entendaient avec des gens qu’ils connaissaient déjà.
Gilles Bottineau, documentariste, a réalisé un film de 52 minutes sur Henri Guybet, le rieur silencieux, dans lequel il revient sur toute sa carrière. pour que l’acteur parle de ses expériences passées et félicite les autres personnes qui ont travaillé avec lui.
On parle du personnage Tassin des deuxième et troisième films de Robert. La Septième Compagnie de Lamoureux. Les producteurs et les réalisateurs ne voulaient pas lui confier des rôles majeurs au début parce qu’ils pensaient qu’il était trop vieux. Mais au fil du temps, ils ont appris à aimer son personnage.