Accident rafale cognac; Le scénario du pire a été évité. Dimanche, deux Rafale sont entrés en collision lors d’un meeting aérien à Cognac (Charente), selon une source militaire, l’avion a pu atterrir sans conflits ni blessés alors qu’il s’agit d’un événement inhabituel.
Deux Rafale de la 30e Escadre de chasse de la base de Cognac-Chateaubernard “se sont touchés en l’air” lors de leur présentation tactique à 12h40, selon le colonel Nicolas Lyautey, qui commandait l’installation. Le toit d’une maison à Gensac-la-Pallue adjacente a été endommagé lorsque l’avion s’est écrasé, et l’un des avions “a perdu une partie de sa dérive”.
Une maison a été démolie à Gensac-la-Pallue lorsqu’un aileron arrière de l’un des avions s’est écrasé à proximité. Les deux vols ont atterri sans incident et personne n’a été blessé au sol, selon l’AFP.
Des enquêtes sur l’incident sont menées par l’armée de l’air française et l’administration locale. L’un des voisins de la maison, qui habite à quelques mètres de là, a rapporté ce qu’il a observé au quotidien Sud-Ouest. Il y avait de la poussière partout quand nous sommes sortis, se souvient Sandra. “Cela ressemblait à un coup de feu”, a-t-elle ajouté.
Le salon de l’aéronautique de Cognac est un événement majeur organisé chaque année à l’aéroport de Cognac-Chateaubernard. L’équipe de voltige de la Patrouille de France se produira tout au long de l’événement de deux jours, qui comprend des performances statiques et en vol.
La communauté attend maintenant de savoir pourquoi les deux avions de chasse sont entrés en collision. Il est difficile de dire ce que disent les policiers, les pompiers et les gendarmes travaillant sur les lieux de la situation.
Il n’y a eu aucun mort,
Et trois enquêtes ont déjà été lancées, ajoute le colonel Lyautey. La seule chose qui compte dans l’aéronautique, c’est la sécurité. Nous devons aller au fond des choses et clarifier les choses.
Le commandant de Cognac Air Meeting a indiqué que deux Rafale ont effectué une démonstration complète le deuxième jour. Les enquêtes administratives et judiciaires suivront à l’issue de l’enquête technique.
Selon des témoins, l’avion effectuait un vol en formation dans le cadre du spectacle aérien national de La Fosa lorsque la collision s’est produite vers 12h40. Au cours de la fin de semaine, plus de 30 000 personnes ont assisté à la conférence.
“Une partie de sa nageoire” s’est détachée et a endommagé une habitation d’un hameau voisin, selon le colonel Nicolas Lyautey, qui a corroboré cette information.
Quand c’est arrivé, j’étais en train de déjeuner. De loin, je pouvais voir une chambre sur le sol. Malgré un grand nombre de flics, un voisin nous a fourni une photo. Heureusement, personne n’était à la maison à ce moment-là, selon un habitant de la rue où sont tombés les débris, qui s’est confié à l’AFP. Sa description de l’objet le décrivait comme “environ 1 mètre de long et 40 centimètres de large”.
Une situation comme celle-ci ne se présente pas très souvent. La dernière fois que cela s’est produit, c’était en avril 2010, lorsque la patrouille française s’entraînait, selon le bureau de presse de l’armée de l’air. Il y a douze ans, c’était la dernière fois que j’en entendais parler.
C’était comme un coup de feu, selon beaucoup de ceux qui l’ont entendu. Une habitation du hameau de Gensac-la-Pallu a été démolie par la collision, mais personne n’a été blessé.
Trois enquêtes ont déjà été ouvertes.
En aéronautique, une seule chose compte : la sécurité. Aux commandes de l’aérodrome, le colonel Lyautey dit au groupe : “Nous devons découvrir ce qui s’est passé.”
Les avions qui sont entrés en collision l’ont fait sans incident. Environ 30 minutes de la séance auraient été interrompues, selon France 3 Aquitaine. Trois enquêtes sont actuellement en cours pour déterminer la cause exacte de ce drame.
L’un d’eux, dit-il, “a un peu perdu de sa dérive”. A proximité, une maison de Gensac-la-Pallu en a été endommagée lors de son effondrement. Bien que les deux avions aient bien atterri, le commandant a signalé qu’aucune victime n’avait été signalée à la suite des atterrissages. Une enquête technique est en cours et des enquêtes administratives et judiciaires devraient suivre.
Il “a atterri sur le trottoir” après avoir “abîmé le toit” et “casse des tuiles”, selon un habitant anonyme de Gensac-la-Pallue qui s’est entretenu par téléphone avec l’AFP. Sa description de l’objet le décrivait comme “environ 1 mètre de long et 40 centimètres de large”.
Quand c’est arrivé, j’étais en train de déjeuner. De loin, je pouvais voir une chambre sur le sol. Malgré un grand nombre de flics, un voisin nous a fourni une photo. Heureusement qu’il n’y avait personne à la maison à ce moment-là !
Découverte à huit kilomètres de la BA709, cette pièce a été retrouvée rue de Gensac-la-Pallu, un hameau de France. Le plan canard du deuxième Rafale a été sévèrement endommagé.
Des pierres tombant sur des résidences à Gensac-la-Pallu, près de la base aérienne de Cognac-Chateaubernard, les ont endommagées mais personne n’a été blessé. “Ça a fait comme un coup de feu, alors on s’est précipité dehors et on a vu de la poussière partout”, raconte un voisin rural au quotidien aquitain.
Jusqu’à présent, personne ne sait ce
qui a provoqué la collision des deux avions. Il y a déjà eu trois je Des enquêtes ont été lancées sur cet incident, selon le commandant de la base aérienne, le colonel Lyautey.
Sa description de l’objet le décrivait comme “environ 1 mètre de long et 40 centimètres de large”. “Cela s’est produit alors que je déjeunais. Il y avait beaucoup de policiers dans le quartier, mais un voisin nous a fourni une photo montrant la pièce par terre. “Je suis tellement content qu’il n’y avait personne à la maison à ce moment-là!”
Le maire Bernard Mauzé a déclaré : « Nous avons eu de la chance », dans le journal Sud Ouest. Selon des responsables locaux, trois enquêtes ont été lancées pour déterminer ce qui a causé le crash des deux avions de chasse.
Deux Rafale de la 30e Escadre de chasse de la base de Cognac-Chateaubernard “se sont touchés en l’air” lors de leur présentation tactique à 12h40, selon le colonel Nicolas Lyautey, qui commandait l’installation. Le toit d’une maison à Gensac-la-Pallue adjacente a été endommagé lorsque l’avion s’est écrasé, et l’un des avions “a perdu une partie de sa dérive”.
En tant que voisin de la maison démolie, ce type a informé le journal South West de ce qui s’était passé. Il y avait de la poussière partout quand nous sommes sortis, se souvient Sandra. “Cela ressemblait à un coup de feu”, a-t-elle ajouté.
Il y a une file d’attente de personnes qui attendent de constater par elles-mêmes à quel point les choses sont devenues terribles sur les cartes du Chemin des Gas. Un gros “morceau” de toiture est visible au sol, et il y a encore des tuiles partout. “
Nous avons de la chance”, a déclaré Bernard Mauzé, maire de cette petite ville. Enfant, il se souvient de l’accident du Bourget en 1967. (93). A quelques centaines de mètres du stade, un pilote de la Patrouille de France a été tué dans un accident sur le terrain.
Lorsqu’on lui a demandé si la peur était plus qu’une simple honte, il a répondu: “Je ne suis pas sûr.” On en a fait grand cas. Les riverains ont exprimé leur mécontentement. Est-ce que ça va continuer ? C’est une nouvelle conversation, dit le mari de Sandra, Frédéric. Il est clair pour Jules, son petit-fils, que « ça donne une image horrible ».