Jeune fille tuee refus d obtempérer; Outre le chauffeur, une deuxième plainte sera déposée contre X. Deuxièmement, l’avocat accuse les policiers d’avoir tiré avec leurs armes en état de légitime défense, ce qu’ils n’étaient pas autorisés à faire.
Selon l’avocat de Rayana, qui s’est entretenu mercredi avec RTL, sa famille va porter plainte contre le conducteur présumé en fuite et la police. Le samedi 4 juin, des flics ont abattu Rayana, une passagère indienne de 21 ans. Me Sylvie Noachovitch, selon l’Agence France-Presse, compte porter plainte au nom de la famille.
“Selon la famille des morts, le chauffeur les a tués en refusant de s’arrêter à la demande des passagers. Ils veulent aujourd’hui l’inculper d’homicide involontaire (mercredi, ndlr). Elle a dit que sa désobéissance délibérée à des pratiques prudentes et sûres avait entraîné la mort de ce petit enfant. Selon M.E. Noachovitch, Rayana ignorait le chauffeur qu’ils avaient rencontré dans un bar ou son passé criminel.
Selon elle, le conducteur s’est « porté volontaire » pour ramener les trois passagers à leur emplacement d’origine. À deux reprises, cet individu a enfreint la loi. Puisqu’il est au centre d’une fenêtre brisée et refuse de coopérer, les flics lui tireront à nouveau dessus.
De plus, la famille est prête à déposer un rapport de police contre X.” M. Noachovitch a précisé que les policiers étaient inculpés de “violences intentionnelles ayant entraîné la mort sans intention de la délivrer” puisqu’il n’y avait plus de menace pour leur vie au moment du tir.
Le seul objectif de l’accusation est d’accélérer le processus. Dans l’affaire du meurtre de deux jeunes hommes au Pont-Neuf, un policier a été déféré devant un juge d’instruction et inculpé de meurtre. Selon un magistrat du siège, cela n’a rien à voir avec sa culpabilité, mais la décision du parquet a enflammé les forces de l’ordre.
Le passager assis à l’arrière ne portait pas de ceinture de sécurité,
selon la police. Mohamed, le chauffeur de 38 ans, était farouchement opposé à toute collaboration. Sur le boulevard Barbès, le véhicule s’était arrêté. Selon la version utilisée, il peut y avoir des changements. Ibrahima S., 36 ans, a été informé par un témoin que le conducteur n’a pas immédiatement essayé de redémarrer la voiture, mais a plutôt suivi le flux de la circulation. Il y a des renforts de police en route vers cet endroit en cas d’urgence.
après avoir conduit un véhicule à moteur sous l’influence de l’alcool et des opiacés. Compte tenu de ses antécédents d’infractions liées à la drogue, de la méfiance institutionnelle et du comportement illégal des deux autres passagers,
il est difficile de supposer qu’Ibrahima est sérieux. Tous ces facteurs soulèvent des questions sur la sincérité d’Ibrahima. Si l’on compare le TAJ du passager à celui du conducteur, le dossier de traitement des antécédents judiciaires (TAJ) de ce dernier semble nettement plus large et approfondi.
Ce samedi-là, elle décrit comment elle et son petit ami sont entrés en collision avec les deux gars avec qui ils conduisaient. La conductrice reconnaît finalement qu’elle s’est trompée et déclare : « Le conducteur est fautif », ajoutant : « Il n’a tué personne au cours de sa poursuite. Personne n’a été blessé ni projeté au sol sur la chaussée.
Les candidats aux écoles de beauté sont plus susceptibles d’être furieux que par le passé. “Je suis furieux que les flics aient pu mieux gérer le problème. Malgré le fait qu’ils étaient fautifs, ils n’étaient pas tenus de licencier immédiatement l’employé. Tirer sur quelqu’un, en particulier dans la tête, est une mesure extrême. la circulation, le véhicule a été pris dans un goulot d’étranglement. » gémit-elle.
Ce matin, nous avons appris que la famille du passager grièvement blessé avait porté plainte contre le conducteur de la voiture. Mardi, la police a interpellé le chauffeur dans le cadre d’une enquête pour “tentative de meurtre sur personne détenant un pouvoir officiel”. Les trois policiers ont été relâchés sans inculpation.
Pour corriger cela, une reconstruction est nécessaire.
Des témoins qui ont tout observé m’ont détaillé leurs observations. L’avocat a garanti que les instructions couvrent tout. La famille a trouvé que le policier et le chauffeur étaient décevants. Me Noachovitch a dit : « Si cet enfant n’était pas parti, il serait vivant aujourd’hui.
La jeune femme raconte alors que le conducteur a pris un virage serré et est entré en collision avec un autre véhicule. Elle tente alors d’obtenir une réponse de sa partenaire de siège avant, Rayana : “Je pensais qu’elle s’était évanouie. J’ai cherché à plusieurs reprises à l’appeler en criant ses initiales. Malgré cela, j’ai pu observer que son cou coulait du sang et que son corps était en désordre.”
Selon Inès, ils ont ensuite été menottés et “placés sur un coin de scène pendant plus de trois heures en plein jour devant du public”. Aussi, “Nous n’avons pas pu prendre rendez-vous avec le médecin.” Aujourd’hui, la jeune femme annonce sa détermination à participer aux “efforts de justice”. Nous sommes maintenant à Rayana. Notre combat n’est que pour cette cause. J’ai quelque chose pour elle. C’était une personne charmante. Elle était magnifique, et je n’avais que 21 ans à l’époque…
Une enquête sur les actes des trois policiers impliqués dans l’incident a été lancée. Ils avaient été détenus par la police pendant 48 heures avant leur libération mardi. Conformément à la législation, il est maintenant temps de recueillir plus d’informations. Le service de police, l’IGPN, a émis une demande d’information publique.
Mardi, le chauffeur a été placé en garde à vue dans le cadre d’une enquête pour “tentative d’assassinat sur agent public” et “refus aggravé d’obtempérer par mise en danger d’autrui”.
Comme on peut le lire,
“la famille déposera également une plainte supplémentaire contre X pour agression malveillante entraînant la mort sans but de la donner et pour meurtre involontaire”, il semble que chacun des trois agents participants fera face à deux accusations. “Les flics ne peuvent pas invoquer la légitime défense puisqu’il n’y avait plus de menace”, poursuit-elle, ajoutant qu'”il n’y avait pas de danger” au moment du tir.
Quand elle a fini de raconter son histoire depuis l’arrière du véhicule, elle a dit : “Je suis en colère parce que les flics ont peut-être adopté une autre ligne de conduite.” “Il n’y a aucune justification pour que quelqu’un ouvre le feu immédiatement, même si c’est lui le coupable.”
Après une soirée à Pigalle, le couple a tenté d’obtenir un transport jusqu’à chez lui, mais un chauffeur qu’ils avaient rencontré plus tôt dans la soirée et qui avait accepté de les y conduire a refusé de les récupérer.
Ils affirment que quatre agents à bicyclette ont arrêté un véhicule parce que le conducteur ne portait pas sa ceinture de sécurité. S’il avait refusé de se soumettre à l’inspection, il aurait été pris dans la circulation et incapable de s’échapper. Une fois de plus, il s’est conformé aux cris des policiers pour qu’il parte.
Il aurait fait semblant de mettre le véhicule en stationnement avant de redémarrer le moteur. Selon les autorités, il aurait alors frappé un policier, incitant les autres policiers à ouvrir le feu.
Un juge a été désigné pour examiner les meurtres de policiers de Paris, a annoncé mardi le parquet. Selon Laure Beccuau dans un communiqué, une enquête pénale pour “violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné la mort sans l’intention de la fournir” a été ouverte, et “la garde à vue des trois policiers a été retirée pour complément d’enquête”. .”