Affaire reiser jean marc; Aux assises du Bas-Rhin en France, le procès de Jean-Marc Reiser, accusé du meurtre de l’étudiante Sophie Le Tan à Strasbourg en 2018, a commencé. Le gars au t-shirt vert et au masque est entré dans le box des accusés après avoir reconnu avoir tué et démembré sa victime de 20 ans. Alors qu’il prenait sa place sur la jetée, son expression était détachée. Les tensions dans la salle d’audience étaient fortes.
La mère de Sophie Le-Tan a dû être évacuée de la salle d’audience après s’être évanouie avant le début de l’audience. Représentant Jean-Marc Reiser, il a fait remarquer : “L’élément humain sera là à chaque étape, et ce sera une épreuve terrible pour la famille de Sophie Le Tan.”
L’ADN de la victime a été découvert sur une scie dans le sous-sol de sa maison après un examen approfondi. L’état de la victime a rendu impossible la détermination de la cause du décès ou de toute suspicion d’agression sexuelle si l’accusé a cité des coups et une chute comme raison de l’incident.
Jean-Marc Reiser a déclaré au début de son procès qu’il n’avait jamais voulu qu’elle meure, malgré le fait qu’il lui a fallu plus de deux ans pour admettre avoir tué l’étudiante de 20 ans et jeté son enfant dans une forêt. corps mutilé”
Il a dit : « Je n’avais pas l’intention de commettre un meurtre et je nie toute préméditation de ma part. Les rapports de son enquêteur étaient souvent lus publiquement devant les tribunaux. Sa mère a fourni à la police le signalement exact du père de Jean-Marc Reiser (84 ans). Un “garçon sérieux” qui “ne fait jamais de mal aux femmes”.
Est-il vrai que Jean-Marc Reiser a assassiné une dame en colère après qu’elle ait refusé ses avances ? Le jury, composé de deux femmes et quatre hommes, aura la chance d’examiner les témoignages jusqu’au 5 juillet. Si le témoignage de Jean-Marc Reiser est une indication, le sujet sera examiné vendredi. Suite à sa condamnation pour viol en 2003, il a été acquitté dans une affaire de disparition faute de preuves suffisantes et condamné aux assises.
Il a reconnu que la jeune étudiante strasbourgeoise
de Cernay avait péri dans la baignoire de la résidence Schiltigheim, rue Perle, où elle était venue rendre visite. Il revendique une “explosion de colère” après son rejet de ses avances, mais nie la préméditation et l’intention meurtrière.
Elle a été prise en charge par le personnel de secours de la Croix-Rouge. Jusqu’à présent, huit membres de la famille Le-Tan ont été répertoriés comme accusés dans le cadre d’une procédure judiciaire. Lors de l’audience, deux oncles, deux cousins et un cousin se sont constitués parties civiles, selon leur conseil Me Welzer. Il y a treize parties civiles impliquées dans ce scénario.
Au cours des sept jours d’audience, 26 témoins et dix spécialistes ont été mis à la barre, et trois salles ont été réservées au public et aux médias. Lundi marquait le début du procès de Jean-Marc Reiser au tribunal de la fondation Bas-Rhin à Strasbourg. où vécut autrefois Pierre Bodein ou “Pierrot le Clown”
Il soutient que ce n’était pas un piège, qu’il a mal compris les émotions de la victime et qu’il a perdu l’équilibre lorsqu’elle l’a repoussé. Elle a perdu connaissance après qu’il l’ait frappée au visage à plusieurs reprises dans les toilettes pour hommes.
Il a ajusté ses commentaires au fur et à mesure que l’enquête se poursuivait. Il n’arrêtera pas de mentir jusqu’à ce qu’il le fasse. En tant que meurtrier, il devra bientôt faire face aux répercussions d’un acte horrible qu’il a commis. La majorité de notre discussion portera sur Sophie, une jeune fille vaillante que tout le monde admire. Il n’y a pas de place pour la paresse ici.
Jean-Marc Reiser, alors propriétaire du véhicule, avait 37 ans. Photos? Il affirme que les prostituées de Prague ont approuvé sa construction. Selon la vérification, l’une des dames vues sur les images est l’ex-maîtresse du suspect. Elle soutient qu’elle n’a aucun souvenir d’avoir été posée ou abattue de cette manière.
Si l’accusé avoue avoir drogué son ex-amant pour assouvir un désir,
il n’admet pas la deuxième allégation. En 2001, bien qu’il ait été reconnu responsable de deux viols, il a été reconnu coupable et condamné à la prison à vie. Plusieurs de ses anciens collègues ont également détaillé d’horribles incidents de violence. Une dame affirme que Jean-Marc Reiser l’a entraînée dans les bois, où elle a été maltraitée pendant au moins une heure.
Au fur et à mesure que de nouvelles informations émergeaient, Jean-Marc Reiser a révisé son précédent récit des événements. L’homme qui prétendait avoir amené Sophie Le-Tan à son domicile n’était pas impliqué. Puis il l’a informée que le sang dans son appartement était le résultat d’une blessure à la main qu’elle avait subie.
Jean-Marc Reiser était soupçonné d’avoir participé à la disparition d’une autre jeune femme avant le meurtre de Sophie Le Tan. En 1987, une vendeuse de 23 ans nommée Françoise Hohmann a fait la même chose en sonnant à sa porte puis en restant complètement silencieuse.
En raison du manque de preuves, le gars a été disculpé dans cette affaire et déclaré innocent. En février 2020, le parquet de Strasbourg a décidé de rouvrir cette affaire “contre X” vieille de 30 ans et classée. Deux juges d’instruction ont été inculpés de « séquestration arbitraire criminelle » et de « dissimulation de cadavres ».
Le lundi 27 juin, le palais de justice du Bas-Rhin risque d’être bondé de spectateurs de le service commémoratif de rancoise Hohmann. Me Giuriato, l’avocat de la défense de Jean-Marc Reiser, a conseillé : “Il doit être condamné sur la base des faits concernant Sophie Le-Tan, et non pour des circonstances étrangères”.
Malgré les obstacles, la famille de Sophie Le-Tan attend beaucoup de l’initiative. Devant les assises du Bas-Rhin, le procès de Jean-Marc Reiser s’ouvrira à Strasbourg lundi 27 juin. L’homme de 61 ans a été arrêté pour suspicion de meurtre. Le jour de son 20e anniversaire, l’étudiante a visité son appartement à Schiltigheim et a découvert qu’il avait avoué sa mort. D’autre part, il a nié à plusieurs reprises toute connaissance préalable du stratagème.
Le premier témoin oculaire est un visiteur de la prison de Besançon.
En 1999, elle rencontre pour la première fois Jean-Marc Reiser. Ce type, décrit comme gentil et curieux, correspond à la description. Cet individu a deux personas distincts. En ce qui concerne l’individu possédé par un démon détenu, je ne le connaissais pas avant sa capture. Elle est méticuleuse.
Selon Jean-Marc Reiser, “je n’avais pas l’intention de tuer qui que ce soit, et je nie la notion de préméditation”. Je ne suis pas coupable.” “Je suis innocent.” “J’aime la conversation bien organisée.”
Le tribunal a ensuite remis le rapport d’interrogatoire à la mère de Jean-Marc Reiser, qui n’a pas pu être présente en raison de son âge avancé. Elle déclare qu’il avait “de nombreuses petites amies” et qu’il était qualifié de “beau fils”. En plus, elle raconte un mec solitaire qui adorait vagabonder.
I Pierre Giuriato a rencontré Jean-Marc Reiser au tribunal et a souhaité qu’il communique ses sentiments et ses opinions avec plus de franchise. “Nous n’avons aucune attente pour Reiser”, ajoute-t-il, malgré le fait que les procès d’assises sont tristement célèbres pour leurs résultats inattendus. Un assassin condamné. un assassin qui a commis plusieurs délits et est connu pour sa dureté “La famille a peu d’attentes envers lui.