Licenciement sous traitant orange; Depuis la perte d’un important contrat avec le célèbre opérateur de télécommunications Orange, Scopelec connaît des difficultés. Mercredi, l’entreprise a présenté un plan d’urgence prévoyant le licenciement de “plusieurs centaines d’employés”. L’organisation de 3 600 personnes a également annoncé le départ de son président du conseil d’administration.
Le sous-traitant d’Orange Scopelec est en danger depuis qu’il a perdu un gros contrat avec l’opérateur télécom. Mercredi, l’entreprise a dévoilé un plan de secours qui prévoyait le licenciement de “plusieurs centaines” de salariés. Selon une personne ayant connaissance de l’incident, seuls 500 à 550 salariés devraient être concernés. C’est moins que le taux de licenciement annuel déclaré de 800 employés.
En plus des plus d’un millier de reprises volontaires ou salariales par d’autres entreprises du secteur qui ont déjà eu lieu pour ce groupe de 3 600 travailleurs depuis le début de la crise fin 2021, ce nombre va augmenter. En raison de la perte de parts de marché d’Orange,
Dans le cadre du processus de sécurité, l’entreprise a déclaré dans un communiqué de presse publié mercredi que l’entreprise devrait encore licencier plusieurs centaines d’employés, mais qu’elle tentera de le faire d’une manière conforme à ses devoirs sociaux.
Orange a confié à Scopelec l’installation de la fibre optique et la maintenance du réseau cuivre. Cette transaction, qui s’est conclue fin mars, représentait 40% du chiffre d’affaires prévu pour 2021 de l’entreprise de 475 millions d’euros. À la mi-novembre, elle a appris que le contrat avait été perdu.
L’entreprise affirme qu’Orange ne les a pas informés de ce problème à l’avance et qu’ils n’ont donc pas pu s’y préparer. Les principales caractéristiques du plan de conservation des traites de Scopelec ont été présentées devant le tribunal de commerce de Lyon le 30 juin. Cette proposition doit être autorisée avant la rentrée de septembre. Orange doit rappeler à son sous-traitant ses responsabilités.
Scopelec a également annoncé
que son président du conseil d’administration, Thomas Fopiani, partira “dans les prochains mois”. La direction a “entamé le processus” pour trouver son remplaçant. Sans le contrat Orange, qui a expiré fin mars, le chiffre d’affaires prévu de 475 millions d’euros pour 2021 pourrait tomber à 300 millions d’euros.
Ce plan, selon la direction, “permet d’échapper au scénario de crise et dépend uniquement de la tenue par Orange de ses promesses à terme”. Scopelec a tenté, en vain, de lutter contre la rupture de contrat par le biais du système judiciaire. Le tribunal de commerce et la cour d’appel de Paris se sont prononcés respectivement mi-avril et fin juin contre les recours de l’entreprise contre Orange.
De plus, l’État « a donné son accord de principe » pour cesser de percevoir les impôts et les cotisations sociales jusqu’à ce que le plan de sauvetage soit achevé. Elle a également cédé “la quasi-totalité” de sa dette de 100 millions d’euros en près de 8 mois
Nous avons aidé Ciri à concevoir une méthode pour aider Scopelec. Nous avons fait de nombreuses tentatives pour les aider, mais ils n’ont jamais accepté aucune de nos offres. Orange a déclaré: “Nous avons toujours de bonnes intentions, mais nous sommes conscients que Scopelec continue de dire non.”
Même sans les marchés d’Orange, précise le groupe dans un communiqué diffusé mercredi, l’entreprise devrait encore licencier plusieurs centaines de salariés. « Dans le cadre de la procédure de sauvegarde, l’entreprise s’efforcera de mettre en œuvre une restructuration sociale qui respecte au mieux ses engagements sociaux.
Scopelec a également annoncé que son président du conseil d’administration, Thomas Fopiani, partira “dans les prochains mois”. Selon l’administration, la recherche de son remplaçant a “commencé”. L’entreprise apprécie toutes les contributions de Thomas Foppiani durant son mandat, mais surtout ses efforts durant
Après avoir brutalement perdu ces contrats,
il a passé les sept derniers mois à négocier anxieusement avec l’Etat et Orange pour défendre les droits légaux de Scopelec et sauver un maximum d’emplois”, a précisé le groupe. Orange a confié à Scopelec l’installation de la fibre optique et la maintenance du réseau cuivre. Depuis sa création en 1973, l’entreprise a servi de sous-traitant à l’opérateur actuel.
Le premier client de l’entreprise était Orange. La perte de contrats devrait coûter à la plus ancienne coopérative française 150 millions d’euros par an, soit 40% des 475 millions d’euros qu’elle devrait gagner annuellement en 2021.
Depuis que la résiliation du contrat a été révélée en décembre 2021, environ 700 personnes ont recherché d’autres opportunités d’emploi au sein ou à l’extérieur de l’organisation. Cependant, plusieurs centaines de techniciens en Normandie, Charente, Occitanie, Auvergne-Rhône-Alpes et Nouvelle-Aquitaine risquaient toujours de perdre leur emploi en raison de la décision d’Orange de cesser ses activités.
L’entreprise affirme qu’Orange ne l’a pas prévenue de ce problème à l’avance et qu’elle n’aurait pas eu le temps de se préparer à la fin du contrat, annoncée mi-novembre 2021 et conclue fin mars 2022. Scopelec a présenté le Commercial urt de Lyon avec les principales composantes de leur projet de PSE le 30 juin. En septembre, le projet de PSE doit être revu en profondeur en amont. Orange doit rappeler à son sous-traitant ses responsabilités.
Orange doit rappeler à son sous-traitant ses responsabilités. Scopelec a de nombreux contrats avec Orange, et les étapes de transition indiquées par Orange étaient insuffisantes pour Scopelec. La chute des contrats avec Scopelec, selon Orange, s’inscrit dans un “contexte général de baisse d’activité” dans la maintenance du réseau cuivre et le déploiement de la fibre, qui, selon lui, va diminuer de 20% au cours des prochaines années. .
Scopelec a également annoncé que son président du conseil d’administration, Thomas Fopiani, partira “dans les prochains mois”. Selon l’administration, la recherche de son remplaçant a “commencé”. L’entreprise respecte les contributions de Thomas Foppiani depuis son embauche, mais surtout au cours des sept derniers mois tendus.
Après avoir perdu ces contrats de manière inattendue,
il a collaboré avec l’État et Orange pour trouver un moyen de protéger les droits légaux de Scopelec et de sauver autant d’emplois que possible. C’est le point sur lequel l’organisation veut insister.
L’entreprise a installé et entretenu les réseaux cuivre et fibre optique d’Orange. Cette transaction, qui s’est conclue fin mars, représentait 40% du chiffre d’affaires prévu pour 2021 de l’entreprise de 475 millions d’euros. L’entreprise affirme qu’elle n’a pas été en mesure de se préparer à la perte du contrat car Orange ne l’a informée du manque à gagner qu’à la mi-novembre.
“Le cabinet salue les efforts de Thomas Foppiani tout au long de son mandat, en particulier au cours des sept derniers mois anxieux”, ajoute le groupe. “Pendant cette période, il a travaillé avec l’État et Orange pour défendre les droits légaux de Scopelec et maintenir le plus d’emplois possible suite à la perte soudaine de ces contrats.
Orange a confié à Scopelec l’installation de la fibre optique et la maintenance du réseau cuivre. Ce contrat devait générer 40% du chiffre d’affaires total de l’entreprise de 475 millions d’euros en 2021. L’entreprise affirme qu’Orange ne l’a pas informée de ce problème avant la mi-novembre lorsqu’elle a appris qu’elle avait perdu le contrat.