Affaire martine escadeillas; Le 8 décembre 1986, un comptable de 24 ans du quartier toulousain de Ramonville est porté disparu. Ses restes n’ont jamais été découverts. Un ami de cette période a été arrêté et accusé du meurtre d’un autre ami de cette époque. Le 1er juillet à Toulouse, en France, il sera évalué.
Avant il y a trente-cinq ans. Martine aurait eu soixante ans aujourd’hui. Étant donné qu’elle ne savait pas ce qui s’était passé ce matin de décembre, elle n’aurait pas autant pleuré ses frères et ses parents s’ils étaient tous décédés avant cette date.
La jeune secrétaire-comptable de 24 ans amène Thierry à l’arrêt de bus à 7h45 le 8 décembre 1986, pour sa première journée de travail. Elle rentre ensuite à la maison pour se préparer au travail avant de retourner au bureau. Après avoir garé sa voiture dans l’allée, elle se rend à son appartement au troisième étage, où elle disparaît.
La gouvernante l’informe dans l’escalier. Simone fouille frénétiquement le bâtiment par terreur, seulement pour découvrir quelque chose de sinistre dans le sous-sol. Le sol est recouvert de bijoux brisés provenant de la boîte à bijoux de sa sœur et il y a une grande mare de sang à proximité. Son autre sœur, Nicole Escadeillas, l’informe, Mariann Escadeillas, que “Nous craignions qu’elle ait été assassinée, et son décès a été confirmé.
Les gendarmes ont fait irruption au domicile de Martine à Ramonville-Saint-Agne, une commune proche de Toulouse, après avoir reçu une notification rapide. Le petit déjeuner est servi dans la salle à manger, où une jeune femme attend sous peu. Le fer a été activé. La gendarmerie a été chargée de résoudre une affaire extraordinairement complexe. Des enquêtes locales permettent de recueillir le témoignage d’un médecin exerçant dans le même immeuble qu’un voisin.
Cet individu est recherché par les autorités qui fouillent également les lieux de travail des copains de la femme. Martine est une jeune femme insouciante dans la fleur de l’âge. Il y a six ans, elle et Thierry ont développé une relation amoureuse saine. Ils adorent passer du temps avec leur groupe proche de compagnons passionnés de moto. Ce sont des individus jeunes avec des profils standards, et ils sont très moyens.
Après son arrestation en 2019,
l’ancien coéquipier et ami de football du jeune secrétaire a affirmé avoir été poussé par les gendarmes à faire ses affirmations. Une semaine plus tard, il a publié une déclaration de rétractation. Selon son témoignage devant le tribunal, il a avoué alors qu’il était en garde à vue en raison de “la pression, du stress et de l’anxiété”.
Les proches et connaissances de Martine Escadeillas ne font pas confiance à ce compte. Quiconque exprime publiquement son scepticisme quant à ses « pressions », y compris son avocat, l’avocat général ou même le président, devrait être tenu pour responsable. Avant de déclarer que l’incident impliquant la vidéo de l’accusé ne semblait pas en être un, M. David a admis qu’il y a des cas où la garde à vue a horriblement mal tourné.
Il reconnaît qu’il était en vacances au moment du meurtre présumé. D’ailleurs, il affirme ne pas s’être enfui à Lyon début 1987. D’après ses fiches de paie, il a quitté l’entreprise des mois plus tard et a continué à “recevoir des nouvelles de Thierry” après s’être installé à Lyon.
Les membres de la famille de Martine espèrent que sa dépouille sera localisée et qu’on leur fournira des informations. Nicole Saint-Blanca, l’une de ses sœurs, a déclaré à la barre : “Il faut nous permettre de pleurer pour lui donner des funérailles convenables.” Parce que je suis en vie depuis 36 ans, je peux comprendre leur situation. Selon Jol Bourgeon, « Si j’avais commis ce meurtre, je me serais fait un devoir de vous dire où se trouvait le corps de la victime.
Au moment du dépôt de l’affaire civile, l’ex-amant de Martine Escadeillas, ses deux sœurs, son frère, son beau-frère et d’autres étaient là dans la vaste salle. Jol Bourgeon était un ami de la jeune femme disparue sans jamais être localisée. Même s’il a avoué l’avoir tuée 32 ans après sa disparition, lorsqu’il a finalement été appréhendé en 2019, il a refusé de révéler l’emplacement du corps. Cependant, il s’est excusé une semaine plus tard.
Ce témoin est le voisin de Martine Escadeillas.
Cette femme a affirmé avoir vu un homme chauve se pencher sur deux personnes immobiles aux premières heures du 8 décembre 1986. Elle ne sait pas si la lumière était allumée ou éteinte une fois que les circonstances ont changé. La récréation a prouvé que, contrairement à ses affirmations, elle n’aurait pas pu voir ce qu’elle prétendait avoir vu de son emplacement.
L’une des plaintes de la robe noire est l’échec du témoin à sauver la femme au rez-de-chaussée. En conséquence, le chaos se produit dans la salle d’audience. Finalement, c’est l’avocat général qui a calmé tout le monde en expliquant que personne n’avait composé le 911 car le témoin n’était pas la seule personne dans l’immeuble à ce moment-là. Au moment d’écrire ces lignes, les restes de Martine Escadeillas restent non identifiés.
Elle a déclaré que le fait que la jeune fille ait pu rejeter l’homme a déclenché sa rage et a conduit au meurtre. A cause de l’homme. En raison du manque “d’empathie” de et de son départ précipité du quartier après le drame, elle s’étonne qu’il n’ait pas été identifié plus tôt.
C’est la troisième fois que le document est consulté. L’homme de 55 ans, récemment devenu père pour la deuxième fois, fait l’objet d’une enquête de la police française sur commission rogatoire de la direction de la recherche de Toulouse.
Plus tard, ils ont découvert que Jol Bourgeon, une organisation récemment créée, avait démissionné de l’Éducation nationale après la disparition de Martine. Finalement, il choisit de s’installer en Isère et de devenir menuisier.
Il était déjà sorti avec une jeune femme qui avait accepté de se faire faire les ongles et les cheveux à la manière de Martine Escadeillas. Selon cette ex-petite amie, Jol Bourgeon lui a fait cadeau d’audition d’une petite montre en or avec un cadran perlé turquoise.
De plus,
les chercheurs saisissent toutes les données obtenues depuis 1986 à l’aide de l’outil Anacrim, qui a déjà fait ses preuves. Nos analystes criminels et comportementalistes ont convenu que la nouvelle théorie de Jol Bourgeon était plausible, et nous avons examiné les preuves à la lumière de celle-ci.
Jol Bourgeon est coupable, selon l’avocat du clan Escadeillas, et il n’y a pas lieu de contester. Frédéric David fait référence aux aveux des accusés à la police. Selon l’avocat, les circonstances du meurtre sont très claires :
Dès son arrivée, il fait savoir à Martine Escadeillas que son ami n’est pas fiable et déclare son attachement éternel à la femme qu’il est venu rencontrer. Comme ils se battent sur une série de marches avec des bords de marche, un décès est probable. La situation est désastreuse.
Le jury était composé d’une femme et de cinq hommes, qui semblaient tous quelque peu déconcertés par les preuves de la défense et de l’accusation. Dans cette affaire, il n’y a pas lieu de contester la culpabilité de Joël Bourgeon. Nicolas Ruff, avocat général, affirme qu’il est l’assassin et non un suspect dans la mort de Martine Escadeillas.