Affaire hennequin ; Jean- Baptiste Hennequin a tué trois personnes au Grand Hôtel de Saint-Quentin en 1997. Le jeudi 2 décembre 2021, RMC Story diffusera un nouvel épisode sur l’affaire. C’est une actualité qui intéresse les Français. Au Grand Hôtel de Saint-Quentin, dans les Hauts de France, un veilleur de nuit a fait irruption dans la suite privée de l’hôtelier et de son épouse, Jean-Baptiste Hennequin, 62 ans.
Il a ensuite agressé sexuellement eux et ont pris leurs vêtements. Il tue ensuite le propriétaire du restaurant, Léo Roupioz, 72 ans, et sa compagne, Gisèle Kuntzler, 69 ans, qui travaillaient tous les deux au restaurant. Tout d’abord, le tueur prend le groom et le tient jusqu’à ce que la réceptionniste vienne. Il a quitté les lieux avec une arme à la main. Voici comment cela a fonctionné : il a volé la voiture de sa troisième victime. C’était une Polo et elle a été retrouvée à Amiens neuf jours après l’avoir prise à Paris. Pour qu’il fasse ce qu’il veut, son corps disparaît dans les airs.
Présumé d’un nom : Triple tueur : Quatre mois après avoir pris la fuite, il a été arrêté par la police au Paris Hilton sous un faux nom Lors de son procès en 1999, il a été condamné à la prison à vie avec une peine de sécurité irréductible de 22 ans , à laquelle il a été condamné le jour même où il a été condamné à la prison à vie. La police a trouvé le groom pris au piège dans le sous-sol.
Jean-Baptiste Hennequin a d’abord attiré l’attention des autorités grâce à la personne qui leur a d’abord parlé de lui. Après avoir tué des innocents, le tueur a conduit sa moto jusqu’à Paris. Là, il change son nom en Jean Dampierre et s’engage dans l’armée.
En 1997, Jean-Baptiste Hennequin, 61 ans, veilleur de nuit au Grand Hôtel de Saint-Quentin (Aisne), assassine sauvagement ses deux surveillants et la réceptionniste. Il n’a présenté aucune excuse lors de son procès et s’est présenté comme la seule victime de la tragédie. Il avait fait l’objet de critiques quotidiennes et d’un manque d’éloges de la part de ses supérieurs pendant des mois, le tout dans le but de le persuader de prendre sa retraite ? L’accusé, qui a été condamné à la prison à vie avec une peine de sûreté de 22 ans à Laon, n’a pas ébranlé le jury.
Un triple homicide s’est produit à l’hôtel Hennequin
En janvier 1997, trois corps sont découverts au Grand Hôtel de Saint-Quentin. Le meurtrier, Hennequin, n’a toujours pas expliqué pourquoi il avait commis cet acte odieux. Le 20 janvier 1997 au matin, deux employés du Grand Hôtel de Saint-Quentin ne peuvent pénétrer dans les lieux et le téléphone reste sans réponse. Pour accéder à l’hôtel, ils préviennent la direction d’un commerce voisin qui leur délivre un laissez-passer. Le Grand Hôtel est plongé dans l’obscurité et la solitude.
Léo Roupioz a une suite au deuxième étage. Personne ne semble répondre. En pénétrant dans la chambre, ils découvrent Léo Roupioz, 72 ans, mort dans une mare de sang. A ses côtés se trouve Gisèle Kunstler, la maîtresse de 66 ans qui est aussi la gérante de l’établissement. Les deux victimes ont été tuées de violents coups de poing à la tête. L’hôtel avait été bouclé par une escouade de casques bleus au moment où la police est arrivée.
Dans l’hôtel vide, les enquêteurs recherchent la réceptionniste et le garçon d’étage. L’hôtel est complètement vide. Michèle Fabris, la réceptionniste, a été retrouvée morte au sous-sol. Elle avait 32 ans. Le garçon de chambre est retrouvé emprisonné dans un cellier adjacent. Suite au meurtre, un jeune homme horrifié identifie rapidement le veilleur de nuit comme l’auteur.
Une découverte surprenante au Grand Hôtel
Le 20 janvier 1997 au matin, les pompiers de Saint-Quentin interviennent sur un incident au Grand Hôtel, hôtel bien connu de la région, réputé pour sa qualité et sa situation centrale au n° 6 rue Dachery. Lorsque les pompiers arrivent sur les lieux, ils découvrent le directeur de l’hôtel et sa compagne, Léo Roupioz et Gisèle Kunstler, morts sur le sol de la chambre 101. Les victimes ont très probablement été mutilées après avoir été abattues au couteau. Les pompiers trouvent sur leur dos une lettre anonyme alléguant que deux individus ont été assassinés.
Les flics arrivent et découvrent que le groom, la réceptionniste et le veilleur de nuit ont disparu
Après qu’un incendie se soit déclaré dans un atelier de la rue de l’Est, les pompiers ont été dépêchés. À leur arrivée, le quartier est en ruines et ils apprennent que de nombreux incendies ont été allumés, tous allumés par des incendiaires. Ils découvrent que l’atelier en question appartient à Jean-Baptiste Hennequin,
le veilleur de nuit du Grand Hôtel. Les autorités ont été décontenancées par la coïncidence, alors elles ont cherché Hennequin pendant que d’autres agents parcouraient l’hôtel de fond en comble à la recherche d’informations susceptibles de les aider à comprendre ce qui s’était passé.
Ils découvrent un prisonnier nommé Philippe Bertrand, incarcéré, au sous-sol de l’hôtel. Jean-Baptiste Hennequin, le veilleur de nuit, l’a immobilisé en usant de la même démarche que la réceptionniste, invoquant une potentielle fuite d’eau au sous-sol. Hennequin a menacé le jeune marié avec son arme et lui a dit qu’il avait tué les deux patrons ainsi que la jeune femme, selon le jeune marié. Les détectives suivant ses instructions ont découvert Michèle Fabris, la réceptionniste de l’hôtel, morte dans la cave à vin de l’hôtel.
Une enquête a été menée
Michèle Fabris et Gisèle Kunstler ont reçu une balle dans l’oreille gauche puis ont été tuées à coups de hachette, selon l’examen des trois corps. Léo Roupioz, quant à lui, a été frappé cinq fois avec une hachette mais a survécu. Selon Philip Bertrand, Jean-Baptiste Hennequin a tué la réceptionniste, et les détectives soupçonnent désormais Hennequin du triple crime.
De plus, ce dernier a découvert que Jean-Baptiste Hennequin avait volé la recette de Mme Fabris dans un hôtel et laissé une note sur le bureau de la réceptionniste indiquant « Absence définitive de l’intéressé ». Le rapport constate également que Jean-Baptiste Hennequin et le réalisateur s’entendaient bien, mais que sa relation avec Gisèle Kunstler était mouvementée. Michèle Fabris, qui entretenait de bonnes relations avec Mme Kunstler, lui aurait dit tout ce qu’il lui aurait confié, selon le veilleur de nuit.
Il a fallu quatre mois à la police pour le retrouver alors qu’il se cachait dans un hôtel du Xe arrondissement de Paris. Après avoir avoué ses crimes et déclaré qu’il n’aimait pas les patrons, il a été condamné à la prison à vie. Le tribunal a ensuite donné raison à lui. Une série d’aveux qui ont fait perdre confiance au grand public.
Le Parisien précise que le Grand Hôtel de Saint-Quentin a fermé ses portes le 6 septembre 2019. Le commerce, qui était ouvert depuis 1955, a dû fermer car il n’y avait pas assez de monde pour le louer. Même si l’hôtel dispose de 24 chambres qualifiées d'”agréables”, le journal précise que “le taux d’occupation est inférieur à 50%”.
La réputation de la ville a été ternie pendant longtemps après que Jean-Baptiste Hennequin a été tué dans un triple meurtre, ce qui a fait mal paraître la ville. RMC Story diffusera un nouvel épisode de “Obtenir l’accusé”, qui est animé par Dominique Rizet et Rachid M’Barki, le jeudi 2 décembre 2021 à 21h05. L’émission reviendra sur ce meurtre. Assurez-vous de vous présenter à l’heure à votre réunion!
En mai 1997, un directeur d’hôtel du 10e arrondissement de Paris a déclaré que la recette entière de son restaurant lui avait été volée, et il était très en colère à ce sujet. Il a dit qu’un client était à blâmer pour le gâchis. Toutes les chambres sont contrôlées par la police parisienne. Ils trouvent une arme avec des munitions ainsi que des articles de journaux sur un “triple meurtre du Grand Hôtel” survenu à Saint-Quentin quelques mois plus tôt lorsqu’ils perquisitionnent la chambre d’un dénommé “Monsieur Jean Dampierre”. Les autorités ne savent pas qui est le suspect.