Delphine Jubillar Wiki; Delphine Aussaguel s’appelle Delphine Aussaguel et est née en 1987. Son père est décédé lorsqu’elle avait douze ans, au cours d’une période d’adolescence marquée par le deuil. Pendant la majeure partie de son enfance, sa famille a résidé à Gaillac, un petit village près d’Albi. En 2007, elle s’inscrit à l’école d’infirmières IFSI d’Albi, France, après avoir obtenu son baccalauréat en sciences médico-sociales.
Elle a obtenu son baccalauréat de l’université en 2010. Diplômée de l’école d’infirmières, l’infirmière a été embauchée par la clinique Claude en 2011. Le service gastro-intestinal est dirigé par Bernard d’Albi. En juillet de la même année, elle épouse Cédric Jubillar, qu’elle avait rencontré lors de l’anniversaire d’un ami commun en 2005.
Louis (né en 2014) et Elyah (née en 2015) sont nés d’un couple à Cagnac-les-Mines, France (né en 2019). La situation de sa fille est aggravée par le fait qu’elle vient de perdre sa mère. Elle est décédée en octobre de la même année après avoir reçu un diagnostic de maladie neurologique à l’âge de 60 ans.
À l’été 2020, la jeune femme décide de divorcer de son conjoint. Même s’ils vivent toujours dans la même maison, le couple décide de divorcer. Car à cause du travail de plâtrier de Cédric Jubillar, ils rencontrent des difficultés financières. Deborah Jubillar est portée disparue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020.
Le matin du 16 décembre, la police est informée de la disparition de Cédric Jublar. Des affaires d’enlèvement et de séquestration brutale ont été présentées devant le tribunal de Toulouse le 23 décembre 2020, et une information judiciaire a été déposée le même jour. Par ailleurs, la gendarmerie a organisé une patrouille citoyenne en même temps que la patrouille programmée.
Biographie
Delphine Aussaguel (son nom de jeune fille) vivait dans le Tarn, en France, au moment de sa naissance. Son père est mort quand elle avait douze ans, et sa jeunesse a été irrévocablement changée. Elle a grandi à Gaillac, une ville près d’Albi, en France, avec ses trois frères et sœurs. Après avoir obtenu son baccalauréat en sciences médico-sociales en 2007, elle a été admise comme étudiante à l’école d’infirmières de l’IFSI à Albi, en France. L’infirmier a été affecté au service gastro-intestinal de l’hôpital Claude-Bernard d’Albi en 2011.
Elle rencontre Cédric Jubillar lors d’une fête d’anniversaire chez une amie commune en 2005, et ils se marient en juillet 2013. Le couple fonde une famille à Cognac-Les-Mines avec la naissance de deux enfants, Louis (né en 2014) et Elyah ( né en 2015). (né en 2019). De l’autre côté, la jeune femme pleure la mort de sa mère. Elle est décédée d’une maladie neurologique en octobre 2016 à l’âge de 60 ans.
La jeune femme décide de divorcer de son mari à l’été 2020. Alors que le couple vit toujours ensemble, les démarches de divorce s’enclenchent. De plus, ils connaissent des difficultés financières suite aux travaux de plâtrage de Cédric Jubillar. Delphine Jubular aurait disparu entre le 15 et le 16 décembre 2020. Cédric Jublar s’en est allé le 16 décembre au petit matin et a été porté disparu auprès des autorités. Le 23 décembre 2020, le tribunal de Toulouse a ouvert une information judiciaire pour enlèvement et séquestration. La gendarmerie a également prévu une battue citoyenne organisée pour le même jour.
Cédric Jubillar a pris cette décision le 5 janvier 2021. Le 18 juin 2021, il sera inculpé d’homicide volontaire sur conjoint. Le 8 juillet 2021, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse a indiqué aux avocats de Cédric Jubillard qu’il est maintenu en détention malgré leurs demandes de libération. Le 15 décembre 2021, la nouvelle compagne de Cédric Jubillard est interpellée à Gaillac, dans le Tarn, pour “complicité de recel de cadavre”. Le sort de Delphine est encore inconnu à la mi-décembre 2020.
La jeune femme n’a toujours pas été localisée après de multiples fouilles et perquisitions, incitant les enquêteurs à la soupçonner d’être une criminelle. Cédric, le mari de sa femme, a été inculpé d’« homicide volontaire par conjoint » et condamné à six mois de prison au bout de six mois. Il n’a jamais cessé de clamer son innocence et de présenter de multiples requêtes pour sa libération, qui ont toutes été rejetées. Le nouveau compagnon de Cédric est appréhendé et détenu pendant plus de 30 heures avant d’être relâché, exactement un an après le début de l’affaire. Dans un mois, une autre série de fouilles importantes commencera, cette fois plus près de la maison du couple. Nous revenons au début de notre enquête après plus d’un an.
Entre le 15 décembre et le 16 décembre 2020, elle a disparu
La gendarmerie de Cagnac-Les-Mines a reçu un appel de détresse d’un Cédric Jubillar inquiet le matin du 16 décembre 2020. Un de ses enfants le réveille en pleine nuit pour découvrir que sa femme, Delphine, a disparu . Parce que ses horaires à la clinique d’Albi sont décalés, cette infirmière de 33 ans doit veiller sur ses deux chiens, qui seraient rentrés sans elle la veille au soir.
Son téléphone n’était plus dans un rayon de deux milles de sa maison quand il s’est réveillé le lendemain matin. Cette maman de deux petits enfants, selon le procureur de la République d’Albi, n’a aucun antécédent de fuite ni de fragilité. En conséquence, une enquête sur une “disparition étrange” est actuellement en cours.
“Recherche” et “Citizen Beat”
Le lendemain, un effort de recherche massif a été entrepris, avec des gendarmes parcourant les forêts et les champs avec des chiens de suivi et faisant du porte à porte. Le 18 décembre, un hélicoptère et des drones ont survolé la zone pour recueillir des preuves. Des plongeurs ont dragué le Tarn et ses plans d’eau environnants le week-end suivant. Les gendarmes ont organisé une “chasse citoyenne” le 23 décembre, une semaine après la disparition, en réponse à un appel public à l’aide dans leurs recherches. La recherche implique 1 800 personnes, dont le mari de Delphine, mais aucune preuve d’un lien avec la disparition n’a été trouvée.
Soutien militaire pour de vastes fouilles
Lundi 17 janvier 2022, une nouvelle phase dans la recherche de Delphine Jubular débute, avec des fouilles près de la maison du couple commençant par des ressources inédites, dont une unité de l’armée. Selon le colonel Drignac, le 17e régiment du génie parachutiste de Montauban, accompagné des gendarmes, a été chargé de rechercher à proximité d’une ferme de Cagnac-Les-Mines incendiée en avril 2021. Selon les enquêteurs, il pourrait y avoir des jours, voire des semaines, de recherche devant nous.
Au printemps 2021, les gendarmes ont mené une perquisition à l’endroit où Cédric Jubular se vantait auprès d’un codétenu d’avoir enterré Delphine. Cédric Jubillar décide finalement de lancer une fête civique le 5 janvier 2021, après de longues délibérations. Le 18 juin 2021, Cédric Jublar est inculpé d’homicide volontaire dans le cadre d’une plainte pénale. Cédric Jubillard était détenu en prison malgré les demandes de libération de ses avocats lorsque la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Toulouse a reçu un courrier le 8 juillet 2021.
L’enquête et les recherches continuent, Cédric reste en prison
Un corps a été découvert près de Gaillac dans le Tarn le 15 décembre 2021, et le nouveau compagnon de Cédric Jubillar a été interpellé pour “complicité de recel de cadavre”. Le téléphone de Delphine Jubular disparaît mystérieusement avec elle. Il arrête de diffuser dans un rayon de deux kilomètres de son domicile dans la matinée du 16 décembre. Il a continué à envoyer des messages jusqu’à 7h48, ce qui est la dernière fois que nous le voyons utiliser son terminal téléphonique. Il met alors en place un relais près de sa maison, mais pas celui qu’il utilise habituellement lorsque Delphine est là.
Delphine n’a pas pu utiliser la lampe de poche de son téléphone cette nuit-là car la rue était sombre et personne n’a pu localiser sa voiture avant qu’elle ne s’enfuie. Le 13 janvier 2021, un message vide est envoyé depuis son compte Facebook, alors qu’elle est la seule à connaître les mots de passe de connexion. Plusieurs idées ont été proposées à la suite des investigations des examinateurs sur le matériel informatique des 15 disparus, dont un défaut logiciel, un piratage, voire un dysfonctionnement (voir ci-dessous). Si les gendarmes avaient été là, l’argument pirate aurait gagné.