Philippe Bilger Malade; Philippe Bilger, 68 ans, quittera ses fonctions à la fin du mois. Il veut travailler pour un cabinet d’avocats bien connu, où son droit de croire et de parler sera bien connu. Cet anarchiste de droite n’a pas l’intention de renoncer à son droit à la liberté d’expression.
Une grande scène de la cour d’assises de Paris avait une affaire de plus à lui confier. C’était le cas auquel il allait être confronté à la fin. Le 28 septembre a été choisi par quelques amis proches. Au menu, prévenus et avocats qui travaillent sur de grosses affaires pénales, comme Dupond-Moretti et d’autres affaires de Saint-Palais. Cambriolages et poursuites en voiture, rafales de coups de feu sont également au menu.
Un seul coup de téléphone le 12 septembre a tout fait s’effondrer. Le président est malade et l’affaire a été abandonnée. Lors des “petites assises” de Philippe Bilger (une petite salle d’audience aux fenêtres drapées de drapeaux tricolores) en juin, Philippe Bilger a remis son dernier acte d’accusation sans se rendre compte qu’il avait fini.
Philippe Bilger, ancien avocat général, est désormais très doué pour écrire et parler de droit. Les gens le voient à la télé et à la radio tout le temps. Il a écrit plusieurs livres et est un expert des médias sociaux (il a un blog, un compte Twitter très actif et une chaîne YouTube). Tant de choses différentes dont il parle et écrit nous ont rendus un peu nerveux pour commencer à lire son livre le plus récent. Il parle et écrit sur tout, de la justice à la politique en passant par le cinéma, ses acteurs, la littérature, le sport, les autres et lui-même.
La cour d’assises fut le lieu où il passa la majeure partie de sa vie. Beaucoup de gens qui fréquentent l’ancienne maison du magistrat ont une “passion”, ou une “obsession”, pour lui (en dehors du box des accusés et des bancs des parties civiles). Au fil du temps, le feu des reportages s’estompe ; l’accessoire a disparu et les souvenirs ont été effacés de votre esprit ;
Parce que c’est ce qui rend ce livre possible.
Les gens ne savaient pas que le père de Philip Bilger était un dirigeant d’un syndicat d’agriculteurs en Alsace au début des années 1900. Il avait également un lien longtemps caché avec la cour d’assises en raison de son amour du droit et parce qu’il a longtemps travaillé à la cour. Même si je ne pense pas être un expert de chaque partie de sa méthode, je ne pense pas que je devrais tout accepter ou tout rejeter.
Je savais qu’en tant que citoyen, cependant, je serais confronté à quelqu’un qui était très bon dans son travail et travaillait bien avec les autres, même s’il devait travailler seul en raison de sa position de pouvoir, que les gens voulaient et vénéraient. Il a travaillé seul mais avec compétence et sans arrogance ni suffisance.
Cela dérange la classe politique que le meilleur d’un président qui n’a pas aimé une aventure ou un succès fulgurant mais qui a tenu les promesses que sa singularité troublante laissait entendre les dérange. S’ils veulent être de bonne foi, nous avons le droit de l’exiger.
Tout n’est pas complètement ou même près d’être interdit. Cette personne n’agit pas de bon goût, et l’organisation pense que c’est un “suicide professionnel”. Il dit que. Elle a dû faire face à cela alors que l’avocat général la réprimandait. Si Philippe Bilger avait été emmené par une police de haut vol, le procureur général aurait demandé à le voir.
En France, très peu de gens savent qui est un juge. Il a été élevé en regardant la télé et en écrivant des livres, ce qui fait de lui l’une des rares personnes que l’on connaît (il a sorti Le Bal des plaignants chez Fayard début 2012). A l’approche de la retraite, il s’offre le luxe d’être un super-héros, évitable, intarissable, inclassable, déplaisant, voire irremplaçable selon son humeur.
Puis il dit : “Je commence à me sentir comme une anomalie, un malaise, au milieu de l’ambiance joyeuse et conviviale, comme si je ne pouvais y arriver qu’avec le bout des lèvres, ou avec la mort de mon existence. Je ne sais pas comment je vais y arriver.”
Parce que je ne le connaissais pas personnellement, son intelligence intellectuelle, son éloquence et son honnêteté m’ont toujours donné envie d’en savoir plus sur lui même si je ne le connaissais pas personnellement.
On nous a posé une question au procès de l’assassin de René Bousquet, Christian Didier. Il voulait qu’il soit reconnu coupable. Parce que ça n’a pas marché.
le début d’un nouveau travail
Lorsque Philippe Bilger a commencé à travailler comme avocat en 1970, c’était une grosse affaire. En 1972, il est juge d’instruction à Lille. En 1976, il est député à Bobigny, et en 1982, il est conseiller général principal à Paris. Sa carrière n’a été qu’intéressante. Lorsqu’il travaillait comme procureur, il a jugé Christian Didier, François Besse, Bob Denard et Émile Louis.
C’est arrivé juste avant le défilé militaire du 14 juillet 2002. Maxime Brunerie a tenté de tuer le président Jacques Chirac avec un couteau sur les Champs-Élysées. En 2004, il est l’avocat général de Maxime Brunerie dans son procès. Dans son acte d’accusation, il parle du désir de l’accusé d’avoir une “brillante scintillante” qui “effacerait une vie grise”. Mais le verdict va bien plus loin que cela.
Il a pu obtenir pour Hélène Castel une peine si sévère qu’elle sortirait de prison quinze ansans plus tard, avec beaucoup de regret.
Philippe Bilger a travaillé pour “D’Alverny, Demont et Associés” contre rémunération du 3 octobre 2011 à décembre 201220.5. Après cela, il a créé une organisation pour aider les gens à améliorer leurs compétences en communication orale. Vingt et un Lorsqu’il a travaillé comme consultant juridique, il a créé sa propre entreprise en 2013.
Depuis janvier 2020, Philippe Bilger va leur poser chaque mois la question 32 sur la fréquence protestante et y répondre à leur place. Des gens comme Ségolène Royal, présidente de Sud Radio, et Didier Masto, président de Sud Radio, sont également là.
Rokhaya Diallo a déposé une plainte officielle après qu’un auditeur ait tenu des propos racistes lors de l’émission du 21 décembre 2020. Aucune des autres personnes de l’émission n’a répondu en sa faveur ou n’a critiqué les commentaires. Philippe Bilger annonce à la foule que Danièle Obono va leur tomber dessus, et les gens écoutent.
L’objectif de créer une « institution de la parole », qui lui trottait dans la tête depuis longtemps, en est une des raisons. L’entraîneur, Hubert d’Alverny, dit que ce n’est pas une séance type. En raison de la personnalité de Philippe Bilger et des personnes qu’il amène à la table, il fera une grande différence.
“Philippe Bilger dit la même chose”, dit-il. Par la suite, il envisage de commencer une nouvelle robe. Ses paroles seront toutes contre la mort quand il parlera.