Elodie Menant Fille De Marc Menant; Élodie Menant est une actrice, chanteuse, réalisatrice et écrivaine française née à Paris le 28 mai 1992. Élodie Menant a fréquenté le Cours Florent après avoir terminé ses études de mathématiques (Math sup et Math spé), où elle a étudié avec Laurent Natrella et Jean-Pierre Garnier tout en suivant parallèlement des cours de chant et de danse.
Sa carrière musicale professionnelle débute par une interprétation de la comédie musicale Le Soldat rose de Louis Chedid.
Élodie Menant a remporté le Prix de la Révélation Féminine au Festival Off d’Avignon 2 & 3 en 2011 pour l’adaptation scénique de La Pitiédangeré de Stefan Zweig. En 2014, elle adapte et met en scène le court roman du même auteur La Peur, qu’elle interprète et met en scène alternativement pour la quatrième fois.
“Pierrette de la lune”, elle était décrite comme une petite enfant, la tête en l’air, débordante de vitalité et d’un fort désir d’apprendre la vie. Elle était passionnée par tout : l’éducation et toutes les disciplines, l’athlétisme (même les sports à prédominance masculine), le théâtre, le chant, les randonnées en forêt, la faune et l’astronomie,
entre autres. « Va à Polytechnique et tu pourras tout réussir », lui conseillait son père lorsqu’elle était plus jeune. Malgré le fait qu’elle ait concouru en Mathématiques Sup Math Spé, elle a choisi de consacrer son temps au théâtre,
à la danse et au chant. Elle travaille actuellement au théâtre en tant qu’actrice, metteure en scène et dramaturge. Elle joue et chante également avec sa propre entreprise, “La compagnie Carinae”.
Thibaud Houdinière, coproducteur et diffuseur de mon émission,
a contribué à me convaincre d’endosser le rôle de metteur en scène. Je n’y avais jamais pensé auparavant. Bien que je pense qu’être acteur n’empêche pas d’être réalisateur, je pense qu’avoir été ou être acteur empêche de réaliser. Les acteurs devraient, à mon avis, continuer à s’essayer à la mise en scène de temps en temps, car cela les aide à apprécier les préoccupations et les défis auxquels nous sommes confrontés.
Vive Nouméa !!! Il sera annoncé prochainement où nous montrerons la magnifique oeuvre de Michèle Laurence “Après une si longue nuit”, mise en scène par Laurent Natrella de la Comédie Française. Cependant, je dois admettre que j’ai hâte de m’entraîner et de me produire en Nouvelle-Calédonie ! N’est-ce pas une opportunité unique dans une vie ?
En 2014, Élodie Menant réalise le drame La Peur de Stefan Zweig. Après une nomination aux Molières et plus de 500 représentations, la jeune fille revient avec un hommage musical à Arletty. Rencontre avec une comédienne à la fois audacieuse et pétulante.
Élodie Menant : J’aimerais avoir quatre ans car je suis insatiablement curieuse de tout. Bien que mon emploi le plus récent ait été celui d’actrice, j’aime tout autant chanter et composer. Je n’ai mis en scène qu’une seule pièce jusqu’à présent, Fear de Stefan Zweig, et c’était très amusant. Il est possible que je revienne sur un texte que j’apprécie, mais je devrai faire un choix, car je ne souhaite pas interpréter et réaliser en même temps.
Je travaille exclusivement sur des sujets qui ont du sens pour moi, me nourrissent et me poussent à grandir. Je suis fasciné par les questions sous-jacentes sur nos limites et nos obligations qui surgissent à chaque nouvel événement théâtral auquel je participe. Dans la pièce sur Arletty, par exemple, l’artiste définit les paramètres de son indépendance.
Au lendemain d’une si longue nuit, un film comme La pitiédangeré, qui se concentre sur la fraternité et la reconstruction de soi face à la souffrance, invite à s’interroger sur la nature de la pitié et sur les circonstances dans lesquelles un tel sentiment pour les autres pourrait se retourner contre nous. J’apprécie que vous vous penchiez sur la manière dont les individus doivent se comporter pour s’épanouir tout en faisant preuve de respect envers les autres.
Elle a été nominée aux Molières 2020 dans les catégories “révélation féminine”
et “acteur dans un second rôle” pour sa prestation dans la production théâtrale de Montparnasse “Est-ce que j’ai un visage comme Arletty”. Elle recevra le Molière du dévoilement féminin et le Molière de l’interprétation musicale en 2020 pour son œuvre “Do I Have a Face from Arletty”.
Christine Kelly commence la présentation en précisant que Charlotte d’Ornellas s’est rendue au théâtre avec la fille de Marc Menant pour assister à la représentation. Les animateurs de Facing the News discutent de la façon dont le spectacle est devenu une famille et discutent de la coutume du spectacle de monter une pièce ensemble. “
Je pourrais jouer le progressif”, plaisante Mathieu Bock-Côté (je pourrais être le progressif). Le chroniqueur donne ensuite le surnom de “trans gourgandine” à Dimitri Pavlenko dans la ligne suivante.
Arletty est un personnage secondaire dans un drame mettant en vedette Élodie Menant, la fille de Marc Menant. Christine Kelly prévient la chroniqueuse : “On ne va pas non plus lui consacrer toute l’émission.” De l’autre côté, la journaliste a affirmé avoir passé un bon moment en voyant la performance avec son enfant de sept ans. Les remarques de Christine Kelly au sujet de Marc Leading sont à la fois sincères et éclairantes.
Nous avons rencontré Éric Bu avec lel’intention de collaborer à un écrit. J’avais suivi les cours de Florent, et avec nos professeurs Danielle Darrieux, Jean Gabin et Arletty, nous avions parcouru tous les films des années 50. Cette image m’est venue à l’esprit après qu’un de mes amis ait été chargé d’interpréter la partition d'”Ambiance” à l’Hôtel du Nord.
Étant donné qu’Arletty était une vraie personne connue pour ses films et ses interviews, cette comédie musicale me propose un défi personnel important. Du coup, sachant que j’allais être attendu au tournant, je me devais d’être convaincant dans mon interprétation.
Il n’y avait rien qui pouvait être fait en excès ou insuffisamment pour éviter la calamité. J’étais sous beaucoup de tension quand il s’agissait de décider comment le personnage serait développé. Le reste du temps dépend entièrement de vous.
Du fait que je réalise régulièrement des doublages dans lesquels je change de voix,
notamment pour des émissions de télévision animées, l’accent était assez perceptible dans mon cas. J’ai acquis une tendance à alterner entre les voix d’une sorcière, d’un petit enfant et d’une jeune fille,
ce qui est plutôt agréable… De plus, j’assiste à des cours de formation vocale, qui m’aident à développer ma technique et à placer mes sons plus précisément. Non seulement j’étais intrigué par l’accent d’Arletty, mais aussi par son enthousiasme, que je désirais mieux comprendre. J’ai été vraiment prise par son langage corporel, notamment par la façon dont elle bougeait ses bras, ses mains et son corps.
Elle a joué dans le film Après une si longue nuit de Laurent Natrella en 2016, qu’il a réalisé et Michèle Laurence a écrit.
Est-ce que j’ai un visage ? est la biographie musicale d’Arletty. Johanna Boyé a coécrit et mis en scène 5 et 6 avec Éric Bu en 2018. Elle a reçu le Molière en 2020 pour sa prestation dans la révélation théâtrale, et la pièce a reçu le Molière la même année pour sa prestation dans le spectacle musical 7 .