Jacqueline jencquel jeune; Jacqueline Jencquel, une combattante française pour le droit de mourir dignement, est née à Tien-Tsin, en Chine, le 28 octobre 1943, et est décédée à Paris le 29 mars 2022. Konbini a gagné en notoriété lorsqu’elle a déclaré son intention d’utiliser suicide avant la date limite de janvier 2020.
Jacqueline Jencquel a été hantée par l’histoire que sa mère lui a racontée au sujet de sa grand-mère, qui s’est battue pour sa vie et a même exigé que son mari l’étouffe. Sa grand-mère est décédée à l’âge de 38 ans d’un cancer du sein, la dernière goutte de l’histoire de sa famille.
Selon Jacqueline Jencquel, le suicide assisté est une fin délibérée à une vie bien vécue, pas un ultime effort. D’autre part, un père français, avocat, et une mère russe, polyglotte qui a fui l’URSS de Staline pour la Chine. Il y a deux frères pour Jacqueline Jencquel.
Jacqueline Jencquel a rencontré son premier mari alors qu’elle travaillait à Londres comme professeur de français. Ils se sont ensuite rendus en Allemagne. Jacques Jencquel a épousé un chef d’entreprise à cet endroit et a voyagé avec lui au Venezuela.
Elle a été vice-présidente de l’ADMD de 2014 à 2017 et a collaboré à l’ouvrage collectif allemand “Der organisierte Tod”, publié en 2016. (Mort préméditée)
Je crains de ne pouvoir vous aider pour le moment. Je ne peux pas prétendre être militante dans un écrivain alors que je ne suis qu’une vieille dame égocentrique qui refuse de reconnaître qu’elle doit modifier son mode de vie, ce qu’elle ne peut plus se permettre. Je ne prétends pas être un militant.
Sans aucun doute, la grande majorité de la population mondiale souffre de douleurs chroniques. Quel est le but de ma vie ou de ma mort ? Même si votre travail est de la foutaise, la possibilité de le publier est un luxe en soi. Personne ne devrait se tourner vers moi comme source d’inspiration. Une personne qui a la capacité de mourir à volonté.
Mes livres, photographies et souvenirs préférés sont placés en cercle autour de moi. Je ne suis pas certain de pouvoir inviter qui que ce soit. Je ne vois aucune raison de ne pas le faire. Une législation déroutante interdit d’aider quiconque en péril. Quel est le pire scénario ?
Êtes-vous certain de vouloir voyager ?
Cela dit, j’ai l’âge suffisant pour mourir. Il est possible que vous vieillissiez plus rapidement. Ce n’est pas la mort qui est ma plus grande peur, mais la dépendance et la dégradation. Je n’ai aucune envie de vieillir.
Tout dépend de moi. Tout est parfait. C’est un droit fondamental protégé par la Constitution américaine. Malgré cela, je suis incapable de communiquer mon enthousiasme à ceux qui comptent pour moi. De plus, il se dégrade.
Vous ne la saisirez jamais si vous ne réalisez pas que cette liberté ne profite à personne, parlementaires français. N’est-il pas étrange que ce règlement me prive de ma famille après ma mort ? Je veux en savourer chaque instant pour bien l’apprécier.
C’est l’heure du combat ! Nous ne l’avions pas prévu et n’avions fait aucune préparation pour cela. C’était comme si ce n’était pas déjà évident. J’approche du point où je ne peux plus être un parent raisonnable. Il n’est pas nécessaire d’augmenter le prix. Enfin, l’heure est arrivée.
Il est difficile de préparer et d’organiser un décès comme on le ferait pour un mariage ou un baptême. C’est quelque chose que j’aurais dû faire il y a deux ans. D’un autre côté, la naissance de mon petit-fils le même jour que mon anniversaire semblait miraculeuse.
Son message d’adieu a été publié sur le site du journal suisse “Le Temps” le 29 mars. Enfin, elle plaide pour la reconnaissance de “l’interruption volontaire de la vieillesse” comme un droit humain fondamental. Mon objectif est que la loi soit modifiée pour permettre à d’autres, comme moi, de passer l’hiver de leur vie avec les personnes qui leur sont chères.
Il est possible que vous vieillissiez plus rapidement. J’ai plus peur de la dépendance et de la décrépitude que de la mort. Tout au long de sa vie et de sa mort, il a été impliqué dans un conflit politique avec l’establishment.
La candeur avec laquelle Jacqueline communique la distingue.
Quand on parle de sexualité, elle déclare : “Je ressens toujours du désir, mais je ne baise plus !” Mon attention n’est pas piquée par les hommes de mon âge. Malgré mon respect pour les femmes en forme et attirantes, je n’envisagerais jamais de me déshabiller devant une.
C’est une forme critique d’évasion pour elle quand elle sent qu’elle a perdu tout frisson et tout intérêt. D’autre part, la passion de Jacqueline pour l’art et la littérature n’a pas diminué. Il continue d’assister à des rassemblements sociaux et prolonge ses sorties nocturnes. Elle est cependant apaisée par l’idée que l’anesthésie qu’elle reçoit l’empêchera de développer une dépendance.
“La vieillesse est une maladie incurable”, écrivait-elle sur son blog avant sa mort, archivé par le quotidien suisse Le Temps. Elle a peur de plus que la mort, la dépendance et l’humiliation. J’ai vécu la vie que j’ai cherchée toute ma vie. Vous avez le choix et le droit, mais je suis catégorique sur le fait de ne pas vieillir.
Elle poursuit en déclarant qu’elle a passé toute sa vie à se battre pour le droit de choisir d’avoir ou non des enfants, et maintenant elle revendique le droit de choisir d’avoir ou non la vieillesse. Elle est furieuse contre les parlementaires français, qui n’ont jamais cautionné cette pratique. « Je suis condamnée à mourir seule, les yeux rivés sur les photographies de mes enfants », raconte Jacqueline Jencquel.
En ce qui concerne le philosophe Damien Le Guay, Jacqueline Jencquel soutient une perspective individualiste de l’humanité à travers son argumentation individualisée pour l’expansion sans restriction des droits de l’homme.
Jacqueline Jencquel a exprimé ses regrets pour la frénésie médiatique qu’elle avait endurée dans une interview du 31 décembre 2020 à l’hebdomadaire Marianne. Malgré la réalité que “l’on n’est pas maître de son destin”, elle reste ferme dans ses convictions et son désir de choisir sa destination finale de manière indépendante.
notamment à la suite de l’épidémie de Covid-19. Malgré sa détresse à l’idée d’une mort prolongée et douloureuse, une membre de l’Association pour le droit de mourir dans la dignité s’est livrée ce jour-là pour militer pour la dignité des personnes âgées et la légalisation du suicide assisté en France.
A quoi bon attendre d’être en âge de sortir seul du bateau si,
comme le disait le général de Gaulle, la vieillesse s’apparente à un naufrage ? “Je ne veux pas dépérir tout au long de ma vie”, dit-elle à la fin de son voyage de 30 minutes à travers l’une des équations monétaires dont elle a la solution.
La procédure d’appel a commencé. Erika Preisig, par exemple, a soutenu le Dr Pierre Beck, vice-président d’Exit Suisse Romande, lorsqu’il a été poursuivi à Genève pour avoir aidé une femme âgée à se suicider. Lorsque son conjoint est décédé d’une leucémie, elle a refusé de vivre. Elle l’avait juré devant un notaire public et le lui avait promis.
En conséquence, elle ne mérite pas de sympathie. Son état apparemment bon au moment de sa mort a suscité beaucoup d’attention. “L’extérieur est en excellent état, mais la plomberie c’est une autre histoire.” Je suis le seul à connaître son identité. À cause de l’ostéoporose, j’ai des tremblements, des problèmes d’estomac et des maux de dos, et je me sens mal à l’aise lorsque je prends mon ordonnance.