Affaire Sabine Dumont; L’enquête pénale contre Sabine Dumont a débuté le 27 juin 1987, à Bièvres, Essonne. Sabine Dumont, une fillette de 9 ans, a été kidnappée cet après-midi. Près de Valhalla, sur la State Route 118, son cadavre a été découvert le lendemain. Le lendemain, le SRPJ de Versailles ouvre une enquête de police.
En raison de l’enlèvement et de la mort d’autres jeunes filles au printemps 1987, les enquêteurs pensent que ce meurtre a été commis dans un contexte précis.Affaire sabine dumont L’enquête pénale contre Sabine Dumont a débuté le 27 juin 1987, à Bièvres, Essonne. Sabine Dumont, une fillette de 9 ans, a été kidnappée cet après-midi.
Près de Valhalla, sur la State Route 118, son cadavre a été découvert le lendemain. Le lendemain, le SRPJ de Versailles ouvre une enquête de police. En raison de l’enlèvement et de la mort d’autres jeunes filles au printemps 1987, les enquêteurs pensent que ce meurtre a été commis dans un contexte précis.
Les enquêteurs suivent plusieurs pistes à la recherche d’un tueur en série ou d’un pédophile, mais en vain ; l’affaire reste non résolue.
Originaire de Bièvres, Essonne B 1, Sabine Dumont est née le 3 juillet 1978. Sa famille compte au total six membres, elle étant la plus petite. Elle a un père qui travaille dans la sécurité chez Matra. Assistante maternelle B 2 Geneviève 3 est sa mère et gardienne.
Huguette Lemaire B 3 a été la première enseignante de Sabine Dumont à l’école Beaver, où elle a commencé sa scolarité officielle. Elle a développé un intérêt pour l’art impressionniste au cours de sa deuxième année de collège et a même signé ses propres pièces de Sabine Renoir. Elle aime aussi composer de la poésie B 4, ce qu’elle fait à l’occasion.
L’incident s’est produit le 27 juin 1987.
Sabine Dumont, une fillette de neuf ans, avait été retrouvée morte avec le N 118 ce jour-là. Plusieurs parties de son corps nu avaient été brûlées. La jeune de Bièvres est allée à la librairie du coin chercher de la peinture pour sa sœur, qui venait d’accoucher, afin de commencer à peindre un portrait. Après être rentrée chez elle, elle a été kidnappée puis assassinée.
29 ans après les crimes, une recherche ADN des proches a été autorisée l’année dernière. Si un parent du tueur est enregistré dans les bases de données de la police, cette technologie de pointe analyse la génétique pour établir si le meurtrier est lié à la victime. Nos preuves indiquent que cette stratégie a réussi puisqu’une centaine de personnes avec des correspondances ADN ont été trouvées à la suite de la recherche. Pour aller au fond de ce mystère, les détectives doivent procéder à un recoupement approfondi de tous ses profils.
Christian Dumont, le père de Sabine, signale sa disparition au commissariat de Palaiseau alors qu’il rentre du travail. La gendarmerie locale et les bataillons anti-criminalité, ainsi que la police municipale de Bièvres, sont immédiatement appelés à l’action. Alors que la tempête s’intensifie, la chasse aux restes du jeune devient de plus en plus désespérée.
Même au coucher du soleil, Sabine est introuvable. Le lendemain, la situation prend une tournure catastrophique lorsque de nouvelles fouilles sont autorisées. Plus de 24 heures après son enlèvement, Sabine est retrouvée morte dans un fossé sur la route de Favreuse.
Les marques du cordon d’étranglement sont clairement visibles sur le visage du bébé. Son corps avait été violé sexuellement, selon les résultats de l’autopsie. Selon la technologie actuelle, même si le sang de l’agresseur peut se trouver sous ses ongles, il ne peut identifier son groupe sanguin qu’à A+.
Comme point de départ, un rapprochement est fait avec trois cas de disparitions antérieurs.
Entre mai et juin 1987, Virginie Delmas, Hemma Davy-Greedharry et Perrine Vigneron ont tous été enlevés en région parisienne. Les autorités soupçonnent qu’un tueur en série est en liberté à la suite de ces événements bizarres, qui suivent tous le même schéma. En raison du manque de preuves et de l’absence de témoins, cette enquête traîna en longueur et finit par aboutir.
Les scientifiques feront preuve de prudence jusqu’à ce que les résultats de l’étude soient connus. “Si Gouardo a été vu près du périmètre de la scène de crime, nous le savons. Il y a de fortes chances qu’il y ait quelque chose à enquêter. En revanche, il manque des éléments matériels ou scientifiques.” une source militaire nous dit que
Ils peuvent être en mesure d’éclairer certains aspects. Geneviève Dumont doutait de la piste de Raymond Gouardo : “Quelque chose ne semble pas juste pour ce personnage… Mais pour avoir confiance, il faut avoir la foi. L’enquête va continuer même s’il n’est pas le sujet.” une nouvelle enquête sera lancée s’il s’avère qu’il s’agit de lui.
Vous aurez les résultats d’ici une semaine ou deux.” Nous n’aurons qu’à attendre. Après 22 ans d’anticipation, nous obtenons enfin ce que nous attendions depuis le début. Elle confie : “Nous ne sommes pas tout à fait dans deux semaines…” La mère de Sabine espère que la vérité finira par être découverte.
La papeterie n’est qu’à vingt minutes à pied, mais sa mère ne la laisse pas sortir de la maison sans elle. Elle doit prendre une décision rapide en raison de la menace d’une tempête. Sous la pluie, elle achète sa peinture dans une papeterie puis sort. Elle refuse de se faire conduire par un voisin qu’elle connaît depuis que sa mère lui a appris à ne jamais monter dans la voiture d’un inconnu ou d’un ami.
Située à proximité de la sortie Vauhallan sur la route de Favreuse,
Sabine Dumont est une petite commune aux abords de la route nationale 118. Seule une piste cyclable sépare la route rurale à sens unique. Au moment des événements, une entreprise de sécurité de caravanes appelée B 29 utilisait également une approche d’exploitation.
Il semble que la victime wpoignardé dans le dos alors qu’il se reposait dans un fossé infesté de ronces. Seuls son visage et ses cheveux partiellement brûlés sont visibles. Une canette de white spirit, des mégots de cigarettes Philip Morris et une corde sont découverts à côté du cadavre. Sabine B, 39 ans, a des cicatrices d’étranglement visibles sur le cou
Selon l’étude des restes de la jeune fille, elle a été étranglée et violée avant sa mort. Du sang peut être vu sous les ongles de la victime. Le groupe sanguin de Sabine est O-, et le seul type de B 31 pouvant être étudié en 1987 est A+ B 32.
Sans tests génétiques, des échantillons de sang, de fesses et de cordon ne peuvent plus éclairer les circonstances.
Une marque de pneu supplémentaire a également été vue près du cadavre de la victime. Peu de temps avant sa découverte, les détectives l’avaient abandonné à cet endroit. Les chaussures et sous-vêtements appartenant à Sabine sont interdits. Les enquêteurs soupçonnent le tueur de les avoir comme trophées afin de se souvenir d’eux.
Trois ans après le viol et le meurtre de Delphine Boulay,
Gérard Lebourg est le premier suspect. Parce qu’il n’était pas à Paris au moment de l’enlèvement de Sabine, il a été rapidement blanchi de toute implication dans l’affaire.
En 1995, un autre Robert Black a été arrêté, bien qu’il ait également un alibi. La police scientifique a prélevé un morceau d’ADN sur le t-shirt de Sabine en 1999. Les profils FNAEG n’ont rien à voir avec cela puisque cela n’a aucun rapport. Une fois de plus, l’agresseur de Sabine a échappé à l’arrestation…
Contrairement aux idées reçues, l’enquête des enquêteurs est loin d’être terminée. Ils ont annoncé en 2016 qu’ils avaient embauché une société d’ADN pour rechercher des proches de la famille. C’est l’espoir des parents de Sabine que les progrès de la technologie les aideront à trouver la personne responsable de la mort de leur fille. “
Nous nous battons pour le droit de Sabine à la justice. En tant que famille, nous avions toujours espéré que la vérité éclaterait enfin dans cette affaire. Venger les victimes et traduire en justice les auteurs de ces atrocités. Nous ne perdons pas espoir, cependant, compte tenu des années d’efforts des enquêteurs” En 2016, les colonnes du Parisien le disaient.