Anne pingeot jeune; Anne Pingeot est une historienne de l’art Anne pingeot jeune Julie gayet enceinte de françois hollandenée le 13 mai 1943 à Clermont-Ferrand. Elle est conservatrice honoraire au musée d’Orsay. Mazarine Pingeot, auteur de nombreux romans, revient constamment sur les thèmes de la famille, de la maternité et de l’enfance dans son ouvrage 3.
Ses parents sont François Mitterrand, président de la République française de 1981 à 1995, et Anne Pingeot, historienne de l’art. Mazarine, la fille voilée du président de la République, et la révélation publique de la deuxième famille du président de la République en fonction en 1994, alors que leur existence était jusque-là secrète, ont suscité un large intérêt médiatique.
Mazarine Marie Pingeot, la fille adultère de François Mitterrand avec Anne Pingeot, a fréquenté l’école Saint-Benoît de Paris et le lycée Henri-IV. En septembre 1994, elle s’inscrit à l’École Normale Supérieure de Fontenay-Saint-Cloud. Mazarine Pingeot a obtenu un diplôme d’associé en philosophie en juillet 19976 et a depuis travaillé comme maître de conférences à l’université de Provence à Aix-en-Provence, au lycée Colbert à Paris Xe et à l’université Paris-VIII.
Anne Pingeot est la fille de Thérèse Victoire Marie Antoinette Chaudessolle et de François René Pierre Pingeot (fils de Lucien Frédéric Henri Pingeot et de Marie-Antoinette Chambriard, inventeur du briquet à gaz). Thérèse Chaudessolle est la petite-fille de Guillaume François Félix Chaudessolle, avocat et président de l’ordre de Clermont-Ferrand, et d’Émile Fayolleb, maréchal de France arrivé à ce poste après la Première Guerre mondiale 5, 4. De ce fait, à travers elle mère, Anne Pingeot est l’arrière-petite-fille du président de l’Ordre de Chaudessolle et du maréchal de France Fayolle.
une jeune femme de vingt ans du 8e arrondissement de Paris),
où François Mitterrand est fréquemment vu, plus ou moins discrètement. Succombée à l’amour de Mitterrand en 1965, la jeune femme succombe à ses charmes. Elle débute sa carrière au musée d’Orsay en 1973 en tant qu’experte en sculpture du XIXe siècle et devient finalement conservatrice des sculptures du musée.
Elle est l’auteur de nombreuses œuvres d’art et commissaire de plusieurs expositions consacrées à son sujet de prédilection. En 1986, elle co-organise une importante exposition au Grand Palais sur la sculpture du XIXe siècle. Le président Mitterrand, qui était aussi devenu son épouse de fait 8 , la consulta fréquemment alors qu’elle travaillait sur le projet du « Grand Louvre ».
En 2001, elle est nommée au Comité des travaux historiques et scientifiques sur l’archéologie, les civilisations médiévales et modernes. Elle a pris sa retraite en 2008 et enseigne aujourd’hui à l’École du Louvre. Lorsque la correspondance de François Mitterrand, Lettres à Anne (1962-1995) et le Journal pour Anne (1964-1970), sont publiés chez Gallimard, Anne Pingeot choisit de lui réserver un seul et unique discours pour France Culture et un historien, Jean-Nol Jeanneney.
Dans ce dialogue libre, assuré et exaltant, Anne Pingeot et Jean-Nol Jeanneney retracent un demi-siècle d’une grande histoire d’amour, de la première rencontre à la mort de François Mitterrand. Ils discutent modestement mais ouvertement de tout : amour et politique, culture et amitiés, secret et République, etc. Il s’agit de bonheur, de surprises et d’expériences uniques, ainsi que de difficultés, de chagrins et d’insécurités.
De plus, Anne Pingeot évoque l’image d’un homme avec une “vaste compréhension de ce qu’était la politique, depuis le terrain”. Elle raconte l’existence de Mitterrand en tant que député provincial avant qu’il ne monte à la plus haute autorité, ajoutant : « Chaque hameau était marqué… C’était systématique. Il interagissait avec la population de manière authentique. Je l’ai d’abord suivi.
Il était au courant de tout. C’est ainsi qu’il a acquis la sagesse qui manquait aux autres. Ils ont perdu la trace de ce que c’est. C’est une proximité avec les gens, mais une grande distance avec les idées. » Parce que Mitterrand était soucieux de « rester toujours libre », selon Anne Pingeot, c’était essentiel.
Cette conversation s’achève par la lecture de “Les dés”,
article inédit de l’ancien président sur le rapport entre l’homme public et le hasard, qui commence par “La loi du hasard a le mélancolique attrait de la philosophie”. L’amour de François Mitterrand pour les jeux de hasard vient de sa fascination pour les dés utilisés dans le jeu de l’oie. Comme le montre l’habile décision d’Anne Pingeot de défier De Gaulle en 1965, lorsqu’il obtint 45 % des voix : « Là, il était encore un joueur. C’était incroyable de commencer là-bas. Parce que De Gaulle était tout-puissant, personne ne voulut l’accompagner, lui permettant de partir. Et la fortune était de son côté, car Lecanuet n’aurait pas existé si de Gaulle n’avait pas été élu dès le premier tour.
Selon Paris-Match, Anne Pingeot a rencontré François Mitterrand pour la première fois lorsa 14 ans. Ses parents, parents éloignés de la famille Michelin, possèdent une maison de vacances à Hossegor dans les Landes. Ils font la connaissance de celui qui reste l’unique adjoint de la Nièvre. Anne Pingeot, née en 1943, n’avait que trois ans de plus que le fils aîné des Mitterrand, Jean-Christophe Mitterrand.
François Mitterrand l’a repérée pour la première fois à l’âge de 18 ans lors d’une représentation théâtrale. “Ce n’était que le début des années 1960.” Après les parties de golf, on prenait l’apéritif avec le père Pingeot, raconte Gilbert Mitterrand, l’un des trois fils du président à Point. J’ai rencontré Anne à l’instant. Sauf le jour des funérailles, je crois que je n’ai eu que trois conversations avec elle dans toute ma vie.”
Anne Pingeot s’est imposée comme leader dans son entreprise en quelques années. “Elle nous a réintroduit dans la sculpture française du XIXe siècle : Degas, Bonnard, Gauguin…”, a assuré au Journal du dimanche un conservateur du musée d’Orsay. Elle travaille au musée d’Orsay, fondé par l’ancien président Valéry Giscard d’Estaing. On lui doit la récupération des sculptures des Six Continents, déterrées dans une poubelle nantaise et qui trônent désormais dans la cour de l’ancienne gare, comme le décrit L’Obs.
Tout au long de sa carrière, elle a travaillé sur de nombreux projets artistiques.
Elle a contribué à la création du musée d’Orsay et a ensuite collaboré à une grande exposition au Grand Palais en 1986. Elle a également conseillé François Mitterrand sur son projet “Grand Louvre”. Elle a enseigné à l’Ecole du Louvre de Paris jusqu’en 2008, date à laquelle elle a pris sa retraite. Elle est membre de la Société d’Histoire de l’Art Français et a été nommée en 2001 au Comité des Œuvres Historiques et Scientifiques grâce à son expertise sculpturale. De plus, elle a été nommée conservatrice honoraire du musée d’Orsay.
Anne Pingeot entretient une relation amoureuse de longue date avec l’ancien président français François Mitterrand. Depuis la parution en 2016 du livre Lettres à Anne, qui comprend plus de 1200 lettres écrites par François Mitterrand entre 1962 et 1995, ce récit a été minutieusement enregistré. Mazarine Pingeot est née de cette liaison à Avignon le 18 décembre 1974.