Antonio Ferrara Mort; Le 12 mars 2003 à 4 h 15, un surveillant de la tour de guet numéro quatre de la prison de Fresnes entend une formidable explosion derrière la structure. Plusieurs hommes masqués avec des brassards de police portaient des cagoules. Ils commencent le feu. En tout, il y aura 84 effets Kalachnikov.
Des hommes non identifiés ciblent également les portes de livraison blindées. Deux gars se déplacent à une vitesse vertigineuse dans ce tunnel. L’entrée de la division disciplinaire de la prison a été frappée par une deuxième explosion importante.
Un gars peut être vu à travers le brouillard. Voici une photo d’un prisonnier. Dans l’automobile se trouvaient ceux qui l’ont aidé à s’échapper. À l’intérieur de la prison, seulement sept à huit minutes de séquences ont été capturées. Le prisonnier est identifié par le nom d’Antonio Ferrara.
Le ministre de la Justice Dominique Preben s’est rendu dans le quartier peu après l’événement. Une attaque aussi massive contre une prison française ne s’est jamais produite auparavant. Il est impardonnable qu’Antonio Ferrara se soit évadé de la prison de Fresnes. C’est une question d’honneur pour la police de le retrouver.
Rien n’indique que Christophe Molmy et Antonio Ferrara se livreraient à un jeu du chat et de la souris de plusieurs mois lorsqu’il découvrirait la présence de Ferrara pour la première fois. “Mon superviseur m’a remis la carte d’identité du sous-directeur de l’OCRB, qui comporte trois images de chaque profil et visage. Sous-directeur de l’OCRB (Office central pour la répression du banditisme). Techniquement parlant, il n’a pas besoin de ressembler à un membre de un groupe criminel organisé.”
Antonio Ferrara fait désormais l’objet d’une grande attention.
L’un des escrocs les plus notoires de la ville se lie rapidement d’amitié avec le voyou, qui a grandi dans un milieu d’inconduite suburbaine. Christophe Molmy a suivi ses traces en juillet 2002 et l’a détenu. Le pire pour Antonio Ferrara est encore à venir. Grâce aux efforts d’une dizaine de complices qui ont fait exploser des explosifs à l’intérieur de la prison, il a pu fuir Fresnes huit mois après son arrestation.
Christophe Molmy et ses collègues n’ont capturé le délinquant qu’en novembre 2003, après des mois d’enquête acharnée. Les équipes de la BRB interviennent dans un bar où Ferrara cherche des partenaires. Alors que Christophe Molmy et le voyou se retrouvent face à face, il brise le bras du voyou d’un coup terrible.
L’arsenal comprend des lance-grenades et des armes d’assaut. Un spécialiste de la balistique prédit que huit armes seront utilisées au total. Aux petites heures du matin, le commando se prépare au combat. Damien observe trois types portant des cagoules via une fenêtre dans la troisième tour de guet.
Le superviseur grimace alors que le bruit de trois coups de feu résonnant sur la vitre le fait grincer des dents. « Je suis sur le point d’être fusillé ! Au moins, Damien le prétend alors qu’il agrippe le téléphone qu’il a utilisé pendant qu’il était enchaîné.
Ils ont mitraillé les deux tours de guet pour empêcher les gardes de défendre l’entrée du site du mur d’enceinte. Il peut être abordé au choix de l’artiste. Doumé Battini revient après avoir installé 300 g de pep 500 pour terminer la mission (un explosif très fiable et simple d’utilisation).
Le premier revers majeur est qu’il a manqué de temps pour atteindre la sécurité. Un œil restera intact pendant la procédure. Un membre de l’escouade commando est autorisé à entrer dans la prison, et il bloque maintenant l’entrée. Une barrière le place à quelques mètres seulement des détenus.
Même le commando ignorait sa cible avant de tirer.
Les compagnons de Nino ont été contraints d’utiliser la force physique lorsque le générateur s’est échappé. Le “plan A”, comme l’a indiqué Battini, était d’aveugler les tours de guet avec deux gros projecteurs. D’autres membres du commando ont pris soin d’éviter les rues avoisinantes.
En entrant dans la prison, il se rend au centre de détention de Nino. Parce qu’il avait déjà refusé une recherche, ses assassins n’ont pas pris la peine d’en demander une afin de le garder caché dans la moutarde. Nino sort le pep 500 de sa cellule et le fixe contre la fenêtre dès qu’il entend les premières détonations, puis plonge sous son matelas. Les barres sautent lorsqu’elles sont chargées, mais pas le plexiglas.
Ces visites profitent souvent à l’écrasante majorité des délinquants de la CMQ. Ils peuvent durer entre six et soixante-douze heures et inclure de nombreuses rondes par des gardiens de prison. Selon le CGLPL, « en fonction de la durée,
les ouvriers procèdent à des inspections régulières ». Le premier commence à 8h30, le second à 11h30 et le dernier à 18h30. Il y a trois séances quotidiennes. Les UVF 1 et 3 sont attribuées aux délinquants de la zone d’habitation principale de Réau, selon la même source.
Comme dans le film La grande évasion, elle cachait ses déchets et son travail sous son lit et recouvrait le mur de papier. Après plusieurs jours, elle a atteint un parpaing, l’a ouvert, puis a suspendu des draps pour descendre deux étages le dimanche.
Elle a mis des récipients en plastique sous la forme d’une personne sous ses couvertures. Par conséquent, elle aurait été incapable de s’échapper de sa cage. Dimanche matin, peu avant 7 heures du matin, elle a été capturée par les forces de l’ordre après deux alertes au détecteur de mouvement. Elle se rendit sans un cri ni un cri.
En 2003, un commando tenté de libérer Antonio Ferrara, prisonnier notoire, du pénitencier de Fresnes.
Ferrara utiliserait toutes ses ressources pour échapper à l’arrestation pendant sa fuite. Il maigrit, modifia son apparence et se fit même réparer le nez pour tenter de se rééduquer (d’après Yvan Colonna). Néanmoins, il a été capturé quatre mois plus tard.
Il croyait approcher du bout du tunnel, mais les juges de la Cour d’appel avaient d’autres intentions. Antonio Ferrara a été condamné six fois et acquitté trois fois pour vol à main armée dans une camionnette dans les années 2000. Le jugement est tombé le 18 mai.
Lors de l’audience devant la cour d’appel de Paris, son avocat a souligné la volonté manifeste de son client de “s’interroger” et de “tourner la page de la délinquance”. Le directeur de la maison centrale, qui supervise l’enfermement d’Antonio Ferrara, a également porté plainte auprès des mêmes avocats.
Selon les conclusions de cette étude, malgré sa longue incarcération, il garde une bonne vue et est capable de garder le contact avec la réalité. Pour y aller la tête haute, il semble vouloir partir par la porte d’entrée avec détermination, patience et connaissance du système judiciaire.
M. Bouaou déclare : « La vie en prison symbolise l’espoir et l’anticipation pour les personnes purgeant de longues peines, particulièrement surveillées. Nous détruisons les gens lorsque nous enlevons leur espoir, et la prison n’a jamais été conçue pour être un broyeur.
Antonio Ferrara est certain que la loi sera sa seule arme lorsqu’il sortira par la porte d’entrée. Malheureusement, les juges de la Cour d’appel ont choisi de ne pas se souvenir de lui en tant qu’individu, mais plutôt en tant que personne.
Lorsqu’on lui a demandé s’il avait interjeté appel, son avocat a répondu : “Oui, je l’ai fait, puisque ce jugement a à la fois des problèmes de fond et de forme.” Il espère obtenir un “jugement judiciaire audacieux” en faisant annuler le verdict.