Bébé retrouvé mort; Un nourrisson de 4 mois a été découvert mort dans une voiture en Martinique en octobre 2021, après que sa mère soit partie travailler sans le déposer à la crèche. Selon les médias locaux, une fillette de 3 ans est décédée dans les Vosges cet été après avoir échappé à l’attention de son père.
Dans la majorité des cas, la crèche aurait émis l’avertissement avant d’accueillir l’enfant. Selon nos amis de RTL, le père de l’enfant serait parti travailler tôt le matin, laissant l’enfant seul dans la voiture. Dans une interview accordée à RTL, le maire d’Assat a déclaré : “Nous n’avons aucune nouvelle information sur les circonstances du décès”.
A cette période de l’année où la température extérieure est de 35°C, l’intérieur d’une voiture peut atteindre 70°C en une heure, comme l’indique le site Ornikar. L’air devient rapidement excessivement sec, ce qui est particulièrement problématique pour les nourrissons qui ont du mal à maintenir leur température corporelle. Le deuxième groupe est plus sujet à l’hyperthermie.
Même s’il y a des problèmes avec cette pièce, elle n’est pas unique en son genre. Le 20 juin, un parent qui travaillait à l’hôpital de Saint-Nazaire et avait un fils de 14 mois a accepté le service de garde. Lorsque sa mère a découvert que son fils n’était pas arrivé à la garderie, elle a pris peur et a contacté les autorités.
Un deuxième petit jeune est décédé.
Un nourrisson de 14 mois a été découvert mort sur le parking de l’usine Safran de Bordes, dans les Pyrénées-Atlantiques, mercredi, selon BFMTV et le maire de la commune voisine d’Assam.
Mercredi vers 17h00, un gamin non identifié a été découvert mort dans un véhicule, selon un communiqué du parquet de Pau. Les sauveteurs se sont précipités sur le site et ont tenté de ranimer le nourrisson, mais n’ont pas pu.
De toute évidence, son père a négligé de récupérer l’enfant avant de partir travailler le matin. Après avoir reçu des nouvelles de sa femme, il s’est précipité vers sa voiture, où il a découvert son enfant décédé.
Le parquet de Pau a ouvert une enquête pour “homicide involontaire”. Le jeune homme est mort d’asphyxie et de déshydratation, selon les deux premiers critères. L’autopsie de vendredi révélera la cause du décès avec précision.
La crèche Assat a accueilli le jeune durant le week-end en ouvrant ses portes. “Selon Jean-Christophe Raut, “tout le personnel de la crèche est inconsolable” car c’est un jeune garçon “qu’ils ont bien connu et apprécié”.
En réalité, ce n’est pas la première fois que la France tremble profondément. Selon nos confrères de RTL, un nourrisson d’un an a été découvert mort sur un parking de Bordes (Pyrénées-Atlantiques) mercredi après-midi.
Le jeune aurait été laissé seul dans la voiture pendant plusieurs heures par son père, qui devait aller travailler en même temps. Selon le même rapport, il aurait été abandonné à la garderie. Le maire de la ville, Jean-Christophe Rhaut, précise qu’il n’y a pas d’informations fraîches concernant la cause du décès. Le centre de santé de Pau a été inondé de parents de l’enfant décédé et d’un autre enfant, dont aucun n’avait d’antécédents criminels.
Selon le communiqué, le parquet de Pau a rapidement ouvert une enquête pour homicide involontaire. Des chercheurs de Pau-Lescar ont également été chargés de mener à bien ce travail.
Le vendredi 22 juillet,
une autopsie sera pratiquée pour déterminer la cause du décès. Selon le procureur, qui l’a déclaré à ce moment-là, d’autres enquêtes tenteront de déterminer des faits tels que la manière et la cause du décès.
La procureure de la République de Pau, Cécile Gensac, a indiqué dans un communiqué que le nourrisson s’est probablement étouffé et s’est déshydraté. Mercredi soir, après s’être rendu compte que son enfant avait été volé à la crèche d’Assat, un petit hameau à l’extérieur de Pau près de l’emploi du père, la mère a envoyé l’alerte.
A 17 heures, les sauveteurs sont arrivés sur le site, mais ils n’ont pas pu ranimer l’homme. Selon le procureur de Pau, personne n’a été témoin du moindre dérangement sur le parking en raison de son immensité. L’équipe de recherche de Pau-Lescar enquête sur l’homicide.
Les parents du bébé ont été amenés par le personnel médical du centre de santé de Pau. Ils ont été qualifiés de “parents d’un enfant plus âgé sans antécédents criminels”. Cécile Gensac explique : “Pour le moment, on ne peut pas passer d’audition.”
Vendredi, une autopsie sera pratiquée pour identifier la cause exacte du décès. De plus, les 26 membres du personnel et environ 80 enfants de la crèche Assat ont organisé un groupe de soutien psychologique.
Selon le maire Jean-Christophe Raut, l’établissement était fermé jeudi et resterait fermé vendredi. Selon des informations, “des cellules psychologiques ont également été ouvertes pour les parents” des autres enfants qui ont été envoyés dans des structures intercommunales à proximité.
Dans un communiqué,
le magistrat précise que l’enquête sur la disparition d’un enfant de garde alors que sa mère est venue le chercher dans la nuit serait accélérée. Selon la preuve acquérir Dans la famille, le père, un homme de 40 ans, aurait oublié de déposer son fils à la crèche adjacente en se rendant au travail.
Le père de famille a découvert le corps de son enfant décédé dans le véhicule. Quand sa compagne lui aurait dit que leur enfant n’était pas à la garderie, il aurait compris. Il n’y a plus aucun moyen pour les gendarmes d’interroger l’un ou l’autre des parents, car tous deux sont encore sous le choc de ce qui s’est passé.
Selon un communiqué du procureur, ils ont été envoyés au Centre Hospitalier de Pau. Les premiers, en comparaison, ont un enfant majeur et aucun antécédent criminel. Notamment, souligne le procureur, “la suite des enquêtes cherchera à déterminer comment et pourquoi l’oubli s’est produit”.
Assat, la pépinière accueillante du bébé, a choisi de fermer le jeudi et le vendredi. Le maire de la commune, Jean-Christophe Rhaut, est cité par BFMTV comme disant, “tout le personnel de la crèche s’est effondré”.
Les pairs le considèrent favorablement et le tiennent en haute estime. Pour accompagner les salariés du père, une cellule psychologique a été développée à la fois à la crèche et à l’usine Safran.
Elle a affirmé que les sanglots du bébé l’avaient “submergée” pendant sa garde à vue, l’incitant à empoisonner l’enfant. Philippe Duplan, son avocat, a décrit l’incident comme un “geste de colère sans aucune envie de tuer”.
« Dans sa tête, le nourrisson irait bien. Depuis mercredi, elle est complètement distraite. C’est une jeune femme qui semble fragile. a été affecté à son CAP petite enfance », raconte-t-il.
Depuis 2021, Myriam est CAP petite enfance. De plus, selon Philippe Duplan, parce qu'”elle a eu des rencontres antérieures” avec des enfants, elle a été exposée à un environnement “d’accumulation”. Même s’il est insuffisant pour “justifier son geste”,