christine janin famille; les informations sur la famille Christine Janin ne sont pas disponibles mais vous pouvez en savoir plus sur cette personne sur la page Wikipedia. Christine Janin est née le 14 mars 1957 à Rome, en Italie. En plus de devenir médecin, elle est également une grimpeuse qualifiée.
En 1990, après une série de randonnées himalayennes, elle atteint le sommet de l’Everest. Elle a été la première femme en France à réaliser cet exploit. Elle a été la première Française à atteindre le sommet du plus haut sommet du monde en 1990. Christine Janin, médecin devenue alpiniste, a fondé “A chacun son Everest”, une association qui aide les patients et les survivants du cancer à combattre et à guérir.
En 1994, elle a fondé To Each His Everest dans le but d’aider les enfants malades à “mieux se rétablir”. Grâce à ses efforts, les femmes en rémission d’un cancer du sein ont été autorisées à rejoindre le club en 2011. Depuis 1994, un total de 4 676 enfants et 1 460 femmes atteintes d’un cancer du sein ont été déclarés guéris.
En 1997, le voyage de Christine au pôle Nord a duré 62 jours. Seules deux autres femmes dans l’histoire ont accompli cet exploit, et les deux l’ont fait sans chiens de traîneau ni aucune aide mécanique. En 2017, seules deux femmes y sont parvenues.
C’est une dame de plusieurs cultures, ce qui est peut-être l’une de ses plus grandes qualités. Elle reconnaît qu’il ne reste “pas grand-chose” de sa ville natale, Rome. J’y ai vécu dans ma jeunesse et y ai fréquenté l’école jusqu’à l’âge de douze ans. Il ne reste dans ma tête qu’une impression de l’hospitalité et de la manière de vivre des Italiens. Après ça, il y a toujours de la musique !
“Il y a une grande distance entre Douarnenez, la Bretagne, où elle a des racines, et où elle va souvent.” Malgré l’éloignement important de Chamonix, c’est vrai… Durant tout l’été, j’ai été reçu par un grand parent. C’est un endroit merveilleux pour travailler.
Elle poursuit :
“Tu peux aussi rejoindre une équipe !” Au final, elle a réussi à atteindre les deux objectifs… À l’âge de trois ans, elle a commencé à apprendre à skier. Parce que j’avais quatre frères, j’étais vraiment motivé pour exceller. Le sport a toujours joué un rôle important dans ma vie. Mes prouesses physiques semblent aller dans le même sens que celles de ma famille. Cependant, les attentes dans le domaine médical sont encore nombreuses.
Ceux qui me connaissaient reconnaissaient que j’étais une personne difficile. J’étais encore l’un des candidats à l’heure actuelle. On m’a proposé de travailler aux côtés d’un super anesthésiste spécialiste du secours en haute montagne à Grenoble. Avant ma sixième année de médecine, je n’avais jamais visité le Mont-Blanc… Néanmoins, je devais avouer que j’étais d’accord. Je pense que tout en faisant des choix dans la vie, l’intuition et l’émotion doivent être prioritaires.
Christine nous informe en décrivant ses exploits d’escalade : “La vie vous emmène vers des sommets, vers de merveilleuses merveilles.” Aussi difficile que le cancer ou le sommet du mont Everest, c’est réalisable. Néanmoins, cela a un effet sur votre vie.
J’étais dans une situation similaire. Pour cette raison, j’ai effectué un certain nombre de mini-Everests avec des enfants ou des femmes qui ont reçu un diagnostic de cancer et qui ont besoin de mon aide sur leur propre Everest, ainsi que pour les aider à descendre en toute sécurité.
Hélène Voisin, directrice de l’école de l’hôpital Trousseau, propose à Christine de rendre visite aux enfants de l’hôpital pour entendre leurs récits sur les voyages de leur père. Cette expérience avec les enfants peut être rapprochée des difficultés rencontrées par les alpinistes : avalanche, parcours, récupération, chambre stérile.
Suivre ses rêves, c’est vivre, vivre vraiment.
En tant qu’aidant pour les familles des patients atteints de cancer, je le vois souvent. De nombreuses personnes ne parviennent pas à maximiser la vie qui leur a été donnée. Ils cessent d’écouter leurs émotions et de suivre leurs instincts à cause de la peur. Être vraiment vivant, c’est être pleinement conscient de cette grande chance de vivre et être obligé de le faire. Même s’ils ont enduré des souffrances, de nombreux individus décèdent sans se souvenir de leur vie.
C’est la plus belle chose au monde, c’est la vie et c’est apaisant à voir. » Au bout de deux ans, une petite fille a dit : « Vous avez aidé votre rétablissement en vous guidant sur le bon chemin.
» J’avais déterminé qu’il Il était temps de cesser la navigation C’est la raison pour laquelle j’ai décidé d’entreprendre cette entreprise L’étape suivante était d’enquêter, de comprendre et d’établir une organisation corporative Mais j’y suis allé volontairement et non parce que j’y étais contraint.
Pas vrai dans le sens inverse. Plusieurs dames m’ont dit que leurs partenaires les avaient quittées alors qu’elles luttaient contre le cancer. La femme porte le mari, les enfants, la famille et tous les autres membres du ménage. Notre capacité à aider la planète entière sera diminuée. Par conséquent, cette décision n’a pas été une surprise et a été prise sans hésitation. Le cancer du sein touche 53 000 femmes en France.
Les psychiatres et les experts médicaux peuvent se rencontrer seuls ou en groupe avec des patients. L’essence d’un enfant est révélée en le secouant jusqu’à ce qu’il soit obligé de sourire à nouveau. Nous aidons les jeunes à apprécier leur environnement au maximum possible.
To Each His Own Everest” est une organisation à but non lucratif nisation qui aide les enfants atteints de cancer et de leucémie à retrouver le respect de soi et la confiance en soi. Il s’accomplit en participant aux challenges sportifs de Christine Janin organisés dans sa vaste maison chamoniarde pendant les vacances scolaires.
L’incident a laissé la mère de famille avec une fracture du bassin.
En conséquence, elle a été forcée de quitter sa maison et son conjoint. Malgré sa pauvreté et sa vie dans la rue, l’organisme lui prodigue d’excellents soins. Aujourd’hui, le visage de Sumjio a de nouveau brillé. Depuis sa blessure, elle peut à nouveau marcher, ses filles sont scolarisées et sa maison est en reconstruction.
Christine continue d’avoir des idées fantastiques, comme restaurer des bâtiments et des écoles, parrainer l’éducation de jeunes femmes, fournir de l’eau aux communautés… Elle peut compter sur le zèle et la compassion de Bikram pour la tâche.
Pour moi, ces valeurs incluent avoir foi dans le cosmos, tenir compte de son intuition et prendre des risques calculés. Après avoir terminé l’ascension du mont Everest, je voulais partager mon expérience avec les autres. Descendre le mont Everest est à la fois physiquement et mentalement éprouvant.
Tout au long de leur séjour, un groupe de douze dames d’origines culturelles très différentes ont un objectif commun : supporter leurs propres traumatismes personnels. Lorsque nous observons les impacts durables de la générosité, du travail d’équipe et des amitiés créées pendant notre séjour là-bas, il est impossible de nier que la magie a opéré.
Pendant mon ascension rapide de l’Everest, je me suis retiré, j’ai parcouru une courte distance, puis je suis rentré; J’ai défié l’impossible et doublé mon rythme. En raison de la météo, c’était plausible. En surface, rien ne semblait aller mal. Je suis arrivé après 34 heures et 34 minutes de conduite. J’ai choisi de tenter ma chance.
J’ai pris des mesures rigoureuses, mais j’étais aussi prêt à prendre des risques. Les synchronicités, l’instabilité et le fait de suivre ses instincts sont tous nécessaires pour une vie prospère. Ce processus de sublimation est un immense plaisir pour les sens.
Tout au long de ces périodes de récupération, une “aide globale” est fournie sous forme de guérison mentale et physique. En ce dimanche soir, une dizaine de dames avec perruques, turbans ou cheveux ras arrivent avec confiance, mais des regards craintifs.
Lorsque j’ai atteint le sommet, il était évident qu’un chemin devait être tracé et qu’une corde devait être utilisée pour franchir les nombreuses crevasses et étapes de la montagne. De même, la maladie est un voyage long et difficile qui doit être abordé étape par étape. Le sommet est l’endroit le plus haut, le plus beau et le plus réparateur.