Couple retrouve mort rennes; Suite à la découverte des corps des Domagne, des rapports d’autopsie ont soutenu l’idée d’un féminicide privilégié. Une femme de 51 ans a été découverte morte à Domagné dans l’après-midi du 8 juillet 2022. (Ille-et-Vilaine). Son ancienne flamme s’est suicidée. Une enquête sur le meurtre d’un conjoint est en cours.
Latitia Savary, une infirmière de 51 ans, est décédée vendredi soir. Domagné est une commune proche de Rennes, où elle et son compagnon résidaient depuis dix ans avec leurs trois enfants. Son corps y a été retrouvé (Ille-et-Vilaine). Olivier Boot, 52 ans, ancien préposé à l’entretien d’un collège de Rennes, était en instance de divorce depuis au moins six mois. Le corps d’un homme a été découvert au premier étage du pavillon.
Le soir des faits, le procureur de la République de Rennes, Philippe Astruc, a déclaré : “Les premières enquêtes médico-légales aboutissent à un suicide”. Le fait est que personne ne sait ce qui a causé la mort de Madame, selon lui.
En 2022, les autopsies ont été achevées le 11 juillet de cette année-là, un lundi. L’histoire de Latitia Savary se termine par sa mort à la suite des agissements d’un tiers. Lorsqu’un conjoint est assassiné, l’enquête criminelle prime sur l’enquête sur le sort de la victime.
Le parquet de Rennes a ouvert une enquête sur le décès pour déterminer ce qui s’est passé exactement. Il a été découvert vendredi après-midi après que les gendarmes ont été prévenus par le patron de Madame, selon le procureur de la République de Rennes Philippe Astruc. Selon Ouest-France, l’individu s’est suicidé.
Les droits parentaux des parents non mariés ont fait l’objet d’une pétition de la part de la femme décédée en janvier. En avril et juin, il y aura deux audiences. Il a été remis à la Brigade de recherche de Vitré pour complément d’enquête.
Les corps du couple ont été découverts à leur domicile.
Leur procédure de divorce est en cours depuis le début de l’année 2022. Ayant été informés par l’employeur que la femme était absente du bureau, les gendarmes sont allés enquêter. Il avait 52 ans lorsqu’il s’est suicidé, selon les premières preuves de la scène. Il ne comprenait toujours pas pourquoi sa femme était morte à ce moment-là.
Les autorités enquêtent actuellement pour savoir si le mari ou la femme a tué l’autre à la lumière de l’autopsie et de ses conclusions. Un avocat du ministère public pense qu’un meurtre d’un conjoint suivi d’un suicide est le scénario le plus probable.
Les données sur le féminicide commis par des compagnons ou des cadres (CFCE) montrent qu’il s’agissait du 57e meurtre d’un ex-conjoint depuis le 1er janvier 2022, si l’enquête criminelle confirme le féminicide.
Depuis janvier 2022, le processus de séparation est en cours. Les personnes non mariées ont quitté les résidences les unes des autres. A Domagne, une maison inhabitée au moment du drame a été découverte pleine de cadavres.
Un fils adulte, un gamin de 15 ans et un garçon de 8 ans forment la progéniture du couple. Samedi 9 juillet, le procureur a déclaré que les deux enfants avaient été emmenés à l’hôpital immédiatement après l’incident pour s’assurer qu’ils recevaient l’attention dont ils avaient besoin.
Philippe Astruc, procureur de la ville de Rennes, estime que le type s’est engagé sur la base des premiers résultats médico-légaux. Ouest-France est aussi pour lui une source d’information. Cependant, la cause du décès de son compagnon reste un mystère.
Lundi, les autopsies seront pratiquées sur les deux corps.
Deux des trois enfants du couple, qui sont encore mineurs, ont été transportés dans un établissement où ils peuvent recevoir des soins médicaux par le parquet. Ils se séparent et obtiennent le divorce. La femme a demandé l’autorisation parentale à un juge aux affaires familiales en janvier 2022. Une décision du tribunal était attendue avant la fin du mois de juillet.
Samedi 9 juillet, le parquet de Rennes révélait qu’un homme et une femme étaient en train de rompre. “Les corps ont été récupérés par les gendarmes en fin d’après-midi de vendredi”, a précisé Philippe Astruc, procureur de la République de Rennes.
Des autopsies seront pratiquées sur les corps des victimes lundi afin d’en savoir plus sur l’incident. Des preuves médico-légales suggèrent que Monsieur s’est suicidé, selon l’accusation. Au lieu de cela, pourquoi ne pas essayer autre chose ?
La relation du couple était dans un état précaire. Ils avaient trois enfants, dont deux étaient dans un centre de soins parce qu’ils étaient trop jeunes pour s’occuper d’eux-mêmes. La mère avait fait une demande au juge du tribunal de la famille en janvier pour une sorte de soulagement. Deux autres sessions ont eu lieu en avril et en juin par la suite. Selon Philippe Astruc, “le choix a été réfléchi le 22 juillet 2022”. Philippe
“Les corps ont été récupérés par les gendarmes en fin d’après-midi de vendredi”, a précisé Philippe Astruc, le procureur de la République de Rennes. Il n’y avait “aucun signe clair d’influence extérieure” dans la mort de Mme si les tests médico-légaux préliminaires de M. confirment qu’il s’est suicidé”, a noté le coroner.
Il a été constaté que le corps de l’homme, né en 1970, se trouvait au deuxième étage, tandis que le corps de la femme a été retrouvé au premier étage. Deux des trois enfants du couple étaient mineurs et ont été emmenés à l’hôpital pour s’assurer qu’ils recevaient un traitement adéquat.
Une demande d’établissement de l’autorité parentale pour les parents non mariés a été présentée au juge aux affaires familiales en janvier par la femme décédée à la fin de ce mois. Deux audiences étaient prévues en avril et juin.
Les autopsies devraient avoir lieu lundi.
Ils sont tous les deux nés en 1970. La même source indique que le couple a eu trois enfants au total. L’accusation a envoyé deux mineurs à l’hôpital afin qu’ils puissent recevoir les soins médicaux dont ils avaient besoin.
En janvier, la femme décédée a adressé une requête au juge aux affaires familiales sur l’autorité parentale pour les parents non mariés. Elle était décédée en décembre. En avril et juin, deux audiences étaient prévues.
Lui et ses proches géorgiens sont soupçonnés d’avoir ourdi une “association de malfaiteurs” en novembre 2020 pour assassiner Magali Blandin. Ils ont été payés 20 000 euros pour l’assassiner. En gros c’est ce qu’ils font
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Son décès en janvier a suscité une requête de sa succession auprès du juge aux affaires familiales concernant l’autorité parentale pour les parents non mariés, qui a été accordée. Deux audiences étaient prévues en avril et juin.