Laurent fignon cause de sa mort; Selon l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, l’ancien coureur Laurent Fignon, qui a remporté deux fois le Tour de France (1983 et 1984), est décédé d’un cancer à 50 ans. Il a remporté la compétition à deux reprises. “Nous avons le regret de vous informer que Laurent Fignon s’est éteint aujourd’hui, 31 août 2010, à 12h30 à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
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La maladie de l’ancien champion s’aggrave. De quelle forme de cancer souffre-t-il cependant ? La réponse mettra neuf mois à arriver. Le cancer du poumon touche les personnes qui ne fument pas. Valérie ne comprend pas ce qui se passe. Michel Cymes écrit encore : « Je comprends la colère de Valérie. Le patient souhaite des visites médicales régulières afin de recevoir son scanner quotidien. En revanche, le médecin respecte le temps médical. Il a découvert que la manifestation d’une tumeur peut prendre plusieurs semaines.
Dans les années 1980, Laurent Fignon était une grande star du peloton. Il avait les cheveux blonds et portait des lunettes rondes à petite monture. De plus, il a remporté trois titres du Tour de France avant l’âge de 24 ans. Malgré le fait que Fignon ait remporté deux titres, c’est une défaite notable qui a scellé sa place dans l’histoire de l’athlétisme français.
Il a perdu sa troisième victoire lors de la dernière étape chronométrée entre Versailles et les Champs-Élysées en 1989. Il a été battu par l’Américain Greg LeMond dans l’une des plus grandes courses de tous les temps. Ce fut probablement le moment le plus sombre de l’histoire du Tour en raison de la difficulté à attendre. Avant de pouvoir nous sentir tristes face à quelque chose d’aussi terrible, nous devons d’abord faire face à ses ramifications psychologiques.
Laurent Fignon a perdu son cancer il y a trois ans. En 1983 et 1984, il remporte le Tour de France à deux reprises. Sa femme raconte l’angoisse qu’elle a subie pendant quinze mois. Il examine la relation entre les patients et les médecins.
Un bref coup de téléphone pendant qu’il conduit.
Le récit de ce qui est arrivé à Laurent Fignon est exact. Il prend connaissance des résultats de ses tests. C’est le début d’une conversation douloureuse entre sa femme, Valérie, et le corps médical.
Elle ne comprend pas pourquoi cette information est fournie de manière aussi désinvolte. De plus, elle ne comprendra pas le grand nombre de tests qui n’apporteront aucune nouvelle information sur le cancer dont souffre l’ancien champion du monde cycliste. Elle ne croit pas que l’impuissance des experts persiste. D’autant plus que le nom Fignon ouvre des portes.
Fignon commença avec son honnêteté habituelle qu’il me faisait rire, un trait qu’on notait chez lui depuis très longtemps. Fignon s’est démarqué parce qu’il était énorme, agressif et un grand puncheur. Il excellait dans les représentations théâtrales et les classiques.
Après qu’il ait été déterminé qu’il avait un cancer du tube digestif, il a aggravé les choses en fabriquant un lien entre sa maladie et le dopage. “Puisque ça a marché, je n’affirmerai pas que ça n’a pas marché. Ce qu’il faut faire m’est inconnu. Il n’y a pas de réponse oui ou non. D’après les médecins, cela ne semble pas être le cas”, a-t-il déclaré, rappelant comment il avait auparavant pris des médicaments interdits d’une manière complètement différente.
Ce véritable champion remarquait dans ses mémoires “Nous étions jeunes et insouciants”, publiés en juin 2009, “On ne pleure jamais un événement aussi horrible, tout au plus parvient-on à en contrôler les répercussions psychologiques”. Il aborde également l’avantage technologique que possédait à l’époque son rival américain Greg LeMond.
Parce qu’il venait de subir une opération au genou, Bernard Hinault n’a pu jouer le rôle de “faire-valoir” que cette année-là. Il n’a pas pu lutter contre la supériorité du Parisien avec ses lunettes d’étudiant. Fignon a dit de son ton direct caractéristique: “Il m’a fait rire.” En raison de son honnêteté, il a passé beaucoup de temps dans les ennuis.
“Je n’affirmerai pas qu’il n’a pas fonctionné.
Je l’ignore complètement. La réponse n’est ni affirmative ni négative.” “Du moins, c’est ce que disent les médecins”, a-t-il déclaré, reconnaissant que sa consommation de substances illicites s’était produite dans un contexte sensiblement différent de celui des dernières années. Même si le dopage est utilisé pour tricher à grande ou à petite échelle, a-t-il soutenu, “c’était une façon de penser différente”.
Désireux de changer de carrière, il fonde l’épreuve Paris-Nice mais est contraint de la revendre aux organisateurs du Tour de France en 2002. Puis il rachète un hôtel qui sert de centre d’entraînement pour cyclistes au cœur des Pyrénées. Le consultant de France Télévisions puis d’Eurosport voulait assister au Tour de France en 2010, malgré le fait que son cancer s’aggravait et qu’il devait en prendre soin.
Ce cancer se distingue en ce qu’il se distingue par des métastases, qui sont la dissémination des cellules cancéreuses, par opposition à la tumeur initiale. Comme ce fut le cas avec Laurent Fignon, ces attaques ciblent couramment les ganglions lymphatiques. Cependant, ces lésions peuvent également se manifester dans les os, les poumons et le foie.
Dans un effort pour identifier ces cellules malignes, nous évaluons les biopsies acquises à partir de ces sites secondaires. Concernant l’ancien champion, La notion initiale était qu’il s’agissait d’un cancer du pancréas ou du système digestif. Compte tenu des faits, nous déterminons que le traitement de chimiothérapie le plus approprié pour le cancer primitif du patient sera administré.
L’ancien champion aborde en détail les médicaments améliorant la performance tels que les corticostéroïdes et les amphétamines dans son livre. Cependant, lui et ses médecins spécialistes ont souligné qu’il n’y avait aucun moyen d’établir un lien entre la maladie et l’utilisation de tels médicaments.
Sachant que le dopage des années 1980 n’était rien comparé aux armes lourdes utilisées par plusieurs équipes professionnelles de premier plan au milieu des années 1990, nous ne voudrions pas être les champions de cet âge. Dans les prochaines années, que les dieux du cyclisme (et des autres sports, à l’abri derrière le peloton) trouvent le courage de réfuter nos affirmations.
Quand j’étais plus jeune, tout le monde avait les mêmes comportements.
C’était tout simplement notre mode de vie. Ils étaient assez amusants. J’ai décrit notre stratégie aux médecins. Cela ne peut pas être leur expérience. Ce serait excessivement simple. Si chaque coureur participant avait un cancer, nous le serions tous aussi. De plus, puisque le terme « dopage » ne décrit pas adéquatement ce que nous faisons, nous ne devrions pas en débattre. Nous étions en train de pirater, donc “tricher” serait une expression plus précise.
Dans tous les cas, la participation à des sports de compétition est nocive pour votre santé. Nos vies sont réduites par le stress que nous mettons sur notre corps et le travail acharné que nous attendons d’eux. De plus, il existe des risques associés à l’interruption de votre routine normale. Même si vous avez de l’argent, il est difficile d’acquérir de nouvelles capacités.
Hinault déclare que Fignon “a parlé franchement”. Le Parisien s’était demandé où s’arrêterait le chemin : « Je n’aurais pas beaucoup de regrets s’il s’arrêtait brusquement. J’ai mené une existence joyeuse.
Fignon a affirmé, en référence à ses rencontres avec Cyrille Guimard et Bernard Hinault, que Guimard a non seulement trouvé un champion en Bernard Hinault mais s’en est aussi créé un pour lui-même. Par conséquent, il avait une relation plus profonde avec Guimard qu’avec Hinault.