Olivier cousi maladie; Les autorités françaises ont confirmé sa mort le 2 mars à l’âge de 62 ans. Il est décédé après un long combat contre la maladie. Le barman, Olivier Cousi, était considéré comme une légende. Parallèlement à son expertise en droit des médias et des télécommunications, il a fondé Gide, l’un des plus grands cabinets d’avocats internationaux au monde.
Nathalie Roret, sa vice-présidente, a également été élue pour un mandat de deux ans à la tête du barreau de Paris. Lorsque la nouvelle de sa mort est devenue publique, de nombreux avocats et juges ont offert leurs condoléances.
Il aura gardé son sang-froid, sa volonté et sa concentration face aux bouleversements. Avec sang-froid, détermination et résolution, il aura fait face aux changements survenus au cours des nombreuses années précédentes avec le plus grand professionnalisme et aplomb. En 2020 et 2021, il aura été un leader fort et compétent pour notre Ordre.
Olivier cousi maladie
Lui et ses collègues étaient présents à une conférence de l’Association du Barreau de New York pour critiquer l’inaction de l’État et créer un plan de soutien substantiel à la profession. Sa vision envisageait également un avenir dans lequel l’avocat serait crucial, en raison de l’expansion économique et de l’attractivité de Paris.
Il a été élu à la tête du barreau de Paris en 2018 et est devenu le 221e président de l’organisation. Il a été élu pour un mandat de deux ans le 1er janvier 2020, en remplacement de Marie-Aimée Peyron. Olivier Cousi a été chargé de veiller au respect du code d’éthique rigoureux de l’organisation en sa qualité de porte-parole.
Le vice-président Vincent Nioré a rappelé un “type formidable (…) qui nous a servi de boussole tout au long des grèves et de l’épidémie, qui a traversé toutes les tempêtes, toujours là avec Anne, sa femme, et les ouvriers le week-end”.
Il a été président de l’Alliance des avocats des droits de l’homme jusqu’en juillet de cette année. En 2021, le président de la République de Paris s’est vu confier la défense d’un homme accusé d’avoir indûment pris une participation dans le garde des sceaux de la Ville de Paris.
Le président Olivier Cousi,
président du plus grand barreau de France, a été confronté à deux défis importants : premièrement, une grève contre la réforme des retraites ; et deuxièmement, la période Covid, qui débute en mars 2020 et verrait 30 000 avocats se mettre en grève.
Je suis sûr qu’il n’avait pas prévu une telle franchise de la part de ses collègues lorsqu’il a pris ses fonctions en janvier 2020. Les défenses massives des prisons, les manifestations publiques et les arrêts de travail font tous partie de l’équation. Et nous n’avions rien entendu depuis longtemps. Nous étions furieux.
Nous avons eu un vote à main levée à la cour d’appel de Paris pour autoriser une grève totale et totale. Sur les marches de la cour d’assises, il était flanqué de membres du conseil de l’ordre.
Il ne nous a pas abandonnés le 16 mars 2020, lorsqu’on nous a dit de rester chez nous et de cesser nos activités. Il a veillé à ce que l’Ordre prenne au sérieux notre position d’indigents et d’opprimés. Il n’y a pas eu de rupture dans la connexion de l’Ordre avec nous.
Il nous a suppliés avec véhémence d’obtenir des masques faciaux. Il nous a ouvert la voie pour continuer à servir les clients après le couvre-feu. Il a fait face à tous les obstacles sur son chemin vers une défense réussie. Malgré le chaos, il a réussi à lancer la révolution numérique de notre bar. Cela a dû être très difficile pour lui de continuer.
L’histoire personnelle et professionnelle d’une personne
Il est né dans le 9e arrondissement de Paris le 2 juin 1959 et mort le 2 mars 20222. Il était avocat de profession. Il a été président de 2020 à 2021. Son baccalauréat scientifique a été obtenu en 1976 au lycée Carnot de Paris, et il a obtenu des diplômes en 1980 et 1983 de l’Institut français de la presse et de l’Institut d’études politiques de Paris, respectivement. Il est le fils de Pierre Cousin, un avocat qui a une longue histoire en Eure-et-Loir. Il n’a pas réussi à passer l’examen oral de l’administration de l’École nationale.
En 1988, Olivier Cousi est secrétaire de la Conférence des Avocats du Barreau de Paris de Philippe Lafarge. Malgré son refus lors des dernières élections ordinales de 2016, il est élu en décembre 2018 à la tête de l’ordre des procureurs de Paris.
9 Nathalie Roret, la vice-présidente nouvellement élue, l’assistera tout au long de son mandat de deux ans, qui débutera le 1er janvier 2020. Il a succédé à Marie-Aimée Peyron. Il a fait une série d’apparitions publiques dans une tentative de gagner l’élection.
Il est l’un des juristes les plus recherchés en matière de médias, de propriété intellectuelle, de droit à l’image ou de dénigrement et de droit d’usage d’Internet. Il est reconnu comme un expert dans ces domaines du fait de sa longue expérience, notamment en matière de gestion des risques de réputation devant les autorités, organisations et juridictions françaises et internationales. En outre, il travaille comme médiateur dans les domaines de pratique susmentionnés au Centre français de médiation et d’arbitrage.
Olivier est régulièrement reconnu comme l’un des avocats les plus éminents au monde par des répertoires juridiques tels que Chambers, Legal 500 et Who’s Who Legal. Il était également membref le Conseil de l’Ordre des Avocats de Paris et la Société des Jeunes Avocats du Barreau de Paris. Il a été intronisé au Legal 500 Hall of Fame plus tôt cette année.
Le Legal 500 Hall of Fame est destiné aux personnes dont les réalisations à long terme ont été continuellement saluées par leur clientèle. Vous devez avoir été nommé l’un des meilleurs avocats du pays sept années de suite par Legal 500.
Il est responsable du droit des médias et des télécommunications,
ainsi que des problèmes tels que la gestion des droits d’auteur et des droits voisins, le droit de l’art, le parrainage, le mécénat et la publicité, ainsi que l’administration de la propriété intellectuelle.
Il est raisonnable de conclure que ses poursuites pénales et commerciales l’ont établi comme un chef de file dans les secteurs des médias et de la propriété intellectuelle, ainsi que de la diffamation et de la diffamation, de la publicité et des télécommunications. Les talents de Ses dans ces domaines lui ont valu d’être reconnu comme un expert de premier plan, notamment dans le domaine de la gestion du risque de réputation auprès des autorités et des organisations en France, ainsi qu’auprès de la communauté internationale et devant les tribunaux. Il agit également comme médiateur du CMAP dans ces dossiers.
Pour mieux comprendre leur engagement pour notre profession, leur vision de l’unité requise et leurs perspectives sur la pratique du droit, nous avons rencontré les Bâtonniers du Conseil National des Barreaux, la Conférence des Bâtonniers et le Bâtonnier de Paris, Olivier Cousin. Je voudrais prendre ce temps pour exprimer ma gratitude pour avoir accepté d’avoir une interview croisée avec moi.
Cousin, Olivier : Nos institutions ont fait leurs preuves face à la crise financière et politique contemporaine. Ils nous ont aidés à surmonter la crise en coopérant tout en tenant compte des caractéristiques uniques de chaque juridiction. En conséquence, à Paris, nous avons construit une variété d’outils pour aider à atténuer le “bouleversement” de travailler avec des collègues, y compris un vade-mecum institutionnel en temps réel accessible en ligne 24 heures sur 24.
Les membres de notre Barreau tiennent à offrir leurs plus sincères condoléances à la famille du Bâtonnier Olivier COUSI en cette période éprouvante. De plus, nos pensées et nos prières accompagnent nos homologues parisiens.
Nous sommes tous dévastés par le décès d’un avocat de renom et ancien bâtonnier.