Qui Est Sophie Tissier: Sophie Tissier est née à Moulins, en France, le 23 février 1979, d’un parent qui était autrefois affilié au Parti de gauche et a participé au mouvement des gilets jaunes (Allier). L’arrière-petite-fille de l’organisateur syndical Marcel Kirsch et l’arrière-petite-fille de Maurice Lime ont collaboré à cette entreprise. En 2019, mère célibataire de deux enfants, elle est éligible au revenu de solidarité active 1.
Ses postes passés incluent Le Magazine de la santé, +Clair, Les Maternelles, Dimanche + sur Canal+ et TPMP sur C8, où elle a été licenciée puis accusée d’escroquerie au jugement. Depuis, elle a quitté chacun de ces postes. Sa demande de licenciement abusif à l’encontre de Vincent Bolloré a été accueillie par le conseil des prud’hommes.
Sur France Info dimanche 3 juillet, Sophie Tissier a déclaré. Mediapart rapporte que le militant, ancien membre de LFI qui a depuis quitté le parti, affirme avoir pris le contrôle du comité de LFI contre les violences sexuelles en 2014 après qu’Eric Coquerel ait fait un soir des “gestes déplacés”.
Elle s’identifie comme écoféministe et appartient au Parti de gauche 4. Elle travaille dans l’industrie du divertissement et défend les droits des travailleurs. Elle affirme être à l’origine du mouvement Nuit Debout. En 2016 et 2017, elle a fait partie du mouvement Stop Corruption. Elle a ensuite approuvé les déclarations officielles faites en réaction aux manifestations des Gilets jaunes sur les Champs-Élysées.
En juillet 2022, elle signale Éric Coquerel à la commission La France insoumise 8 et 9 pour agressions sexuelles pour “gestes déplacés”. Tatiana Ventôse, vidéaste, affirme avoir vu Sophie Tessier raconter les événements dans son livre. Selon la candidate européenne LFI Marie-Laure Darrigade, ces accusations sont infondées.
Elle s’engage alors dans un conflit brutal. Les droits légaux des travailleurs contractuels dans les secteurs du cinéma, du divertissement et de l’audiovisuel doivent être préservés. Elle est également une militante communautaire pour les droits des femmes et contre le patriarcat. Elle s’identifie également comme une écoféministe qui soutient le changement climatique et la conservation de l’environnement.
Elle crée l’Union citoyenne pour la liberté (UCPL) en 2021,
qui devient un nouveau parti politique l’année suivante. En tant que co-présidente et porte-parole des élections législatives du mouvement pour le 10e arrondissement de Paris en 2022, elle n’a recueilli que 0,45 % des suffrages au premier tour.
Elle a suivi tous ses cours en Auvergne jusqu’à l’obtention de son baccalauréat, date à laquelle elle a été transférée à Vincennes. Son histoire, détaillée dans Le Club de Mediapart, comprend une éducation difficile et une fuite du domicile familial. À la Sorbonne, Sophie Tissier se spécialise en cinéma et télévision.
Elle a rejoint “1 mais pas 3 pour l’union” en faveur de l’unité de gauche entre Hamon et Mélenchon. En tant que “figure du pacifisme”, elle participe également au mouvement des gilets jaunes et fait des déclarations officielles concernant les rassemblements organisés sur les Champs-Élysées.
Dimanche, elle a révélé qu’elle était devenue dirigeante du comité LFI sur les agressions sexuelles et les violences sexistes. Cette agence est chargée d’analyser les alarmes des membres du mouvement, de mener des enquêtes, puis de fournir des informations complètes aux responsables du parti au pouvoir.
Plusieurs féministes notables ont attaqué Éric Coquerel depuis sa nomination à la présidence de la commission des finances. Rokhaya Diallo de RTL a été “stupéfaite” par ce qu’elle a entendu sur le comportement du patron de LFI envers les femmes, citant “plusieurs sources” au sein de l’organisation.
Dimanche matin, la militante de gauche Sophie Tissier
a déclaré officiellement sa prise de contrôle du comité de suivi contre le sexe et les agressions sexuelles de La France Insoumise. “La vérité est ce qu’elle est. Même s’il n’y a pas eu de contact physique, les gestes étaient néanmoins grossiers.
Dimanche midi, Coquerel a publié un communiqué démentant tout « flirt agressif » ou « geste déplacé » envers Sophie Tissier. Il avait le soutien notable de Jean-Luc Mélenchon. Sophie Tissier critique des comportements “lourds” dans Libération.
En 2014, elle a passé la nuit à Grenoble, en France, ce qui, selon elle, constituait une “agression sexuelle”. Elle a exprimé à la fois l’espoir qu’Eric Coquerel « reconnaisse » la vérité et la fureur contre plusieurs chefs de parti qui ont défendu l’élu.
La précédente fois qu’Eric Coquerel avait été interrogé sur BFMTV, il avait nié tout comportement répréhensible envers les femmes et avait répondu : “Je vais étudier le dossier et vous dirai ce que j’ai trouvé. Je n’exclus pas de porter plainte pour diffamation.” Il a estimé qu’un procès serait vain en l’absence d’action en justice de son accusateur.
Terminant sur une note positive, le leader de LFI, Jean-Luc Mélenchon, a blogué en faveur d’Eric Coquerel, dénonçant une “campagne de diffamation notoire” et se disant choqué par “ce niveau de mensonge effroyable”.
Il a précisé que des députés LREM avaient voté pour des candidats RN à des sièges importants à l’Assemblée nationale et que les accusations avaient été “immédiatement communiquées sans retenue, enquête, ni preuve”. Ils ont été autorisés à discuter de sujets alternatifs.
Dans un je Entretien accordé à Europe 1,
CNews et Les Echos, Jordan Bardella, leader du Rassemblement national, a tourné en dérision “l’indignation variable” de la gauche face aux agressions sexuelles. Comme il le précise dans les chroniques du JDD diffusées par la suite sur BFMTV, “je n’ai jamais utilisé la violence ou la contrainte physique/psychologique pour faire un reportage qui montre la porte d’entrée des conduites délictueuses dans le domaine des agressions sexistes et sexuelles”.
La militante a raconté les “agressions inappropriées” dont elle accuse Éric Coquerel dans une lettre ouverte aux médias Médiapart et BFMTV. Sophie Tissier a exploré les revendications de 2014 contre l’élu insoumis dans un article de samedi pour Médiapart. Selon son évaluation, les actes d’Éric Coquerel “n’étaient pas une agression”, elle n’est donc pas entrée dans la cellule de LFI. La situation manquait de « sévérité » suffisante pour Sophie Tissier.
Après une journée de séminaires politiques dans les universités d’été de La Gauche à Grenoble, le coordinateur de l’époque PG aurait été particulièrement impitoyable.
Sans inviter Sophie Tissier à danser, il n’aurait pas été “la main baladeuse toute la nuit”. Elle est citée par Médiapart comme disant : « Il a continué à me faire danser ; il m’a attrapée par la taille ». Elle dit que le député a trouvé la danse “un peu trop pour le corps”.
Ce dernier a déclaré dimanche soir sur BFMTV qu’il a le droit de porter plainte. “Si nécessaire, je porterai plainte. Une pré-plainte en ligne a été déposée. Je n’ai pas encore pris de décision définitive. Je pourrais être en attente d’informations de cette commission. Mon but est de révéler la vérité, pas d’être injustement accusé.
Eric Coquerel lui aurait également envoyé un SMS lui proposant de le raccompagner à son hôtel. Même si elle n’a pas subi d’agression physique, elle a trouvé le harcèlement pénible.
Aux élections législatives de 2022 à Paris, elle s’est présentée sous la bannière de son parti nouvellement fondé, l’Union citoyenne pour la liberté (UCPL), mais n’a obtenu que 0,45 % des voix au premier tour.