Rapport giec 2021 résumé you; Il y a eu beaucoup plus de dégâts causés à la nature et à la vie des gens par le changement climatique et d’autres événements extrêmes depuis la publication du premier rapport du GIEC.” Dans l’un des documents qu’il utilise pour étayer son nouveau rapport, il parle du GIEC.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été très occupé ces dernières semaines. Ils se sont beaucoup réunis (GIEC). Cette fois, l’accent est mis sur les effets du changement climatique, la façon dont les gens peuvent s’y adapter et leur vulnérabilité. Conséquences négatives accrues, mauvaises adaptations, plus d’attention à l’Afrique, et plus encore… Dans cette étude, quelles sont les cinq choses les plus importantes qui se sont produites ?
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a qualifié le rapport de “collection de souffrances humaines” lors d’une présentation à midi lundi. Il a déclaré que les dirigeants mondiaux ont été “criminels” en ne faisant pas assez pour lutter contre le réchauffement climatique. La moitié de la population mondiale est en danger. Aujourd’hui et maintenant, a-t-il déclaré, “de nombreux écosystèmes ont atteint le point où il n’y a plus de retour en arrière.”
Le rapport 2013 du groupe de travail I (GTI) et le rapport spécial 1.5 ont été les mises à jour les plus complètes sur la science du climat et la compréhension physique depuis lors, mais ce rapport est encore plus complet (SR1.5). La paléoclimatologie, les observations, la connaissance des processus et les simulations climatiques jouent tous un rôle dans cette étude. Ils jouent tous un rôle.
La nouvelle que tout le monde avait peur d’entendre est enfin arrivée. C’est vrai même si nous le savions déjà. Il y a 3949 pages de preuve. Il est important de noter que le changement climatique causé par l’homme a des effets à la fois à long terme et à court terme.
Christophe Cassou dit que le premier rapport,
qui est celui dont nous parlons en ce moment, parle de la façon dont nous connaissons le système climatique et ce que cela signifie pour le changement climatique. Ce rapport parle de cela. Il examinera comment le changement climatique affecte les personnes et l’environnement, comment ils peuvent s’y adapter et comment ils deviennent plus vulnérables à cause de cela.
quelques mois avant la première réunion mondiale de bilan de la CCNUCC (CCNUCC). Pour déterminer si les pays sont ou non sur la bonne voie pour atteindre leur objectif de maintenir le réchauffement climatique bien en dessous de 2°C, les pays doivent réfléchir à la manière dont ils peuvent maintenir la hausse de la température à 1,5°C. Il sera possible de voir les travaux de trois groupes de travail en 2021.
La dernière partie parlera de la façon de faire face au changement climatique mondial. Il est important que les groupes 2 et 3 s’accordent sur leurs conclusions en février et mars 2022. Il y aura un rapport de synthèse en septembre 2022, et cela devrait être fait.
Elle a augmenté de 1,09°C depuis l’ère préindustrielle (depuis 1850-1900 environ). Cela comprend à la fois ce qui pourrait arriver dans le futur et ce qui s’est déjà produit, comme les animaux et les plantes déplacés en raison du changement climatique ou de la menace d’extinction. Selon le rapport, environ la moitié de la population mondiale connaît des pénuries d’eau à un moment donné de l’année en raison du changement climatique.
Un groupe international appelé le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a été formé en 1988 dans le but de publier des rapports complets sur l’état actuel des connaissances scientifiques, techniques et socio-économiques sur le changement climatique et ses causes, ses effets et ses stratégies d’atténuation. Le GIEC le fait depuis lors.
Le GIEC ne fait pas de nouvelles recherches. Au lieu de cela,
il examine ce que nous savons déjà à travers des revues critiques d’articles scientifiques. Ces évaluations, qui sont remises aux États pour les aider à élaborer des politiques et à établir des normes, aident la COP (Conference of the Parties) à prendre des décisions.
Plus de 78 000 commentaires et plus de 14 000 articles universitaires écrits par 234 personnes de 65 pays ont été examinés pour rédiger ce rapport pour le premier groupe.
Les activités humaines sont indéniablement à l’origine du changement climatique, ce qui rend plus probable que les événements météorologiques extrêmes comme les vagues de chaleur, les fortes pluies et les sécheresses se produisent plus souvent. Cela rend également plus probable que les conditions climatiques favorables aux incendies se produisent plus souvent.
Obtenir une idée générale pour les décideurs est également un bon point de départ. Le rapport sommaire, qui compte 42 pages, est très facile à lire et à comprendre. Il est préférable pour les personnes qui souhaitent en savoir plus sur le sujet de lire l’aperçu technique (159 pages). Enfin, vous pouvez lire le rapport complet ici (3949 pages).
À la suite de ces découvertes, la preuve que les humains ont changé les événements extrêmes comme les vagues de chaleur, les pluies torrentielles et les sécheresses est devenue plus forte. Avoir une meilleure compréhension du fonctionnement du climat et examiner les données du passé peut nous aider à faire de meilleures estimations de la sensibilité du climat à 3°C avec une plage plus petite que l’AR5.
Lundi, le GIEC a publié un nouveau rapport, et Antonio Guterres,
le secrétaire général de l’ONU, est très inquiet des résultats, qu’il juge très mauvais. “C’est une collection de douleur humaine et la preuve que les dirigeants mondiaux n’y prêtent pas attention.” Selon un rapport du GIEC, le changement climatique a déjà causé des dommages irréversibles dans certains endroits et a conduit à big différences de revenus entre les pays.
Avec 2,5 milliards de personnes supplémentaires vivant dans les villes, nous serons en mesure de changer la façon dont nous planifions les villes, l’urbanisme et construisons des villes pour faire face aux effets du changement climatique, ce que nous pouvons faire maintenant.”
Selon Gonéri Le Cozannet, une façon d’éviter que les villes ne deviennent des hot spots est de leur ajouter plus de verdure. Il est également possible d’utiliser des systèmes de drainage pour récupérer l’eau de pluie.
Ce n’est pas vrai, cependant. Le GIEC affirme que les preuves du réchauffement climatique causé par l’homme sont “sans ambiguïté”. Ceci est basé sur les recherches et les statistiques climatiques les plus récentes. Les deux études indiquent que les humains sont responsables de l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre depuis environ 1750.
Dans l’analyse la plus récente, seuls quelques-uns des cinq scénarios d’évolution socio-économique (SSP, de l’anglais, Shared socioeconomic paths) identifiés dans le nouveau rapport du GIEC semblent être bons pour le monde.
À l’exception du scénario le plus optimiste, même si de nombreuses émissions de gaz à effet de serre sont immédiatement réduites, le seuil de réchauffement de 1,5 °C pourrait être franchi d’ici 2030, soit dix ans plus tôt que le précédent chiffre du GIEC (SSP1).
Entre 1850 et 1900, les gens ne vivaient pas dans un endroit où il faisait 1,1 °C de plus qu’aujourd’hui. Nous pouvons maintenir notre hausse de température à moins de +1,5°C si nous n’émettons pas plus de 300 gigatonnes de CO2 d’ici 2100, indique le GIEC (CO2).
La fonte des calottes glaciaires entraînera une élévation du niveau de la mer pendant des années, voire des millénaires. Cela se produira parce que les calottes glaciaires fondront. A partir de 1900, le niveau de la mer a monté de 20 centimètres. Si les tendances actuelles se poursuivent, il devrait encore augmenter de 20 centimètres ou plus d’ici 2100.
Selon le dernier rapport du GIEC sur le changement climatique, l’efficacité des puits de carbone est également en baisse. Le CO2 de l’air est aspiré et stocké dans un puits de carbone par des processus physiques et biologiques.
Lorsque les forêts font bien leur travail, elles agissent comme des puits de carbone, absorbant plus de carbone qu’elles n’en émettent. Ils peuvent éliminer le dioxyde de carbone de l’air car ils utilisent la photosynthèse. Parce que l’océan absorbe beaucoup de CO2, c’est un bon exemple de puits de carbone.